Chers habitants du Château.
Notre nation vient de vivre sa plus terrible épreuve.
Des fourbes, s'appuyant sur une faiblesse intrinsèque de notre démocratie, et une lassitude partagée par beaucoup devant les luttes électorales sans fondement, se sont emparés du pouvoir, et l'ont détourné et perverti à leur seul profit, érigeant, contre la volonté souveraine du peuple, un empire inutile et parasite.
Cet épisode tragique, mais ô combien instructif, nous a montré, je crois, la fatigue profonde de notre régime passé.
Puisqu'il nous faut reconstruire, reconstruisons, mais sur d'autres bases !
Durant la lutte pour la reconquête, nous avons, nous, la dizaine d'officiers résolus de la résistance démocratique, dressé le bilan de nos faiblesses passées, et longuement échangé sur l'avenir du Château.
Nous avions proposé à nos ennemis, dans les dernières heures de la lutte, une alternative simple :
- Nous reprenions le Château par la force, forts de nos armées populaires nombreuses, et de l'assentiment de l'armée, lassée d'être les gardes chiourmes des autocrates incultes.
- Nous assurions ensemble un scénario de transition, à la Juan Carlos, où l'empereur nommait un héritier, qui créait une monarchie parlementaire, et donc un château sur d'autres bases.
Convaincus de leur profond échec, l'empereur et ses sbires se sont fait la malle, laissant le château exsangue, et dans une saleté repoussante.
Faisons donc le ménage !
Notre nation vient de vivre sa plus terrible épreuve.
Des fourbes, s'appuyant sur une faiblesse intrinsèque de notre démocratie, et une lassitude partagée par beaucoup devant les luttes électorales sans fondement, se sont emparés du pouvoir, et l'ont détourné et perverti à leur seul profit, érigeant, contre la volonté souveraine du peuple, un empire inutile et parasite.
Cet épisode tragique, mais ô combien instructif, nous a montré, je crois, la fatigue profonde de notre régime passé.
Puisqu'il nous faut reconstruire, reconstruisons, mais sur d'autres bases !
Durant la lutte pour la reconquête, nous avons, nous, la dizaine d'officiers résolus de la résistance démocratique, dressé le bilan de nos faiblesses passées, et longuement échangé sur l'avenir du Château.
Nous avions proposé à nos ennemis, dans les dernières heures de la lutte, une alternative simple :
- Nous reprenions le Château par la force, forts de nos armées populaires nombreuses, et de l'assentiment de l'armée, lassée d'être les gardes chiourmes des autocrates incultes.
- Nous assurions ensemble un scénario de transition, à la Juan Carlos, où l'empereur nommait un héritier, qui créait une monarchie parlementaire, et donc un château sur d'autres bases.
Convaincus de leur profond échec, l'empereur et ses sbires se sont fait la malle, laissant le château exsangue, et dans une saleté repoussante.
Faisons donc le ménage !