ZURICH (AP) - La consommation d'alcool a atteint l'an dernier en Suisse son plus bas niveau depuis 20 ans. Les Helvètes ont bu moins de spiritueux, de vin et de bière, selon les statistiques 2004 de la Régie fédérale des alcools rendues publiques sur Internet. Au total, chaque Suisse a avalé en moyenne l'équivalent de 8,9 litres d'alcool pur, soit un décilitre de moins que l'année précédente.
Les Suisses ont bu en moyenne environ une bouteille de vin de moins. La consommation par habitant est passé de 40,9 litres à 40,2 litres. Quant au cidre, il s'en est bu 2,2 litres par personne en 2004 contre 2,3 l'année précédente. Chaque habitant a bu en moyenne deux chopes de bière de moins, la consommation reculant à 57 litres. Pour ces trois catégories de boissons, il s'agit du plus bas niveau enregistré depuis 20 ans.
Les spiritueux ont aussi connu une baisse, avec une consommation qui est passée de 4 à 3,9 litres l'an dernier. Entre 1994 et 2000, elle était toutefois encore plus faible. Selon une porte-parole de la Régie fédérale des alcools, cette évolution pour les alcools forts est liée à la baisse de consommation des alcopops, désormais plus fortement taxés.
Pour le Groupement suisse des spiritueux de marque, ces chiffres confirment l'opinion maintes fois exprimée par les professionnels du secteur: la tendance est clairement au recul et ne peut être infléchie ni par le niveau de prix ni par la publicité, selon le communiqué de mercredi. AP
bon ben Sébastien, tu dois faire remonter cette moyenne national :o
Les Suisses ont bu en moyenne environ une bouteille de vin de moins. La consommation par habitant est passé de 40,9 litres à 40,2 litres. Quant au cidre, il s'en est bu 2,2 litres par personne en 2004 contre 2,3 l'année précédente. Chaque habitant a bu en moyenne deux chopes de bière de moins, la consommation reculant à 57 litres. Pour ces trois catégories de boissons, il s'agit du plus bas niveau enregistré depuis 20 ans.
Les spiritueux ont aussi connu une baisse, avec une consommation qui est passée de 4 à 3,9 litres l'an dernier. Entre 1994 et 2000, elle était toutefois encore plus faible. Selon une porte-parole de la Régie fédérale des alcools, cette évolution pour les alcools forts est liée à la baisse de consommation des alcopops, désormais plus fortement taxés.
Pour le Groupement suisse des spiritueux de marque, ces chiffres confirment l'opinion maintes fois exprimée par les professionnels du secteur: la tendance est clairement au recul et ne peut être infléchie ni par le niveau de prix ni par la publicité, selon le communiqué de mercredi. AP
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