Parce que nos vies sont trépidantes et tout particulièrement la tienne. Parce que l’actualité du monde ne vaut pas la tienne et encore moins la notre. Ton mot du jour nous informera. Et en retour nos mots d’un jour te renseigneront sur nos actions, nos intentions, nos illusions et autre illustrations des mots qui font notre jour.
Et pour ça, tu connais comme moi le dicton : c’est çui qui dit qui y est ! Donc…
Aujourd’hui j’ai écrasé un baigneur ! Pas un de ceux qui s’agglutinent face à la mer. Non. La poupée qu’on donne au petites filles pour qu’elles jouent à la maman.
C’était tout à l’heure… Il faisait noir. Alors que Médor et moi empruntions une allée bordée d’habitations, l’éclairage public se coupa. Comme tous les soirs à minuit, le maire éteignait la lumière.
Rassurez-toi, il n’a pas eu cette idée tout seul. C’est à plusieurs qu’ils ont décidé que ça serait mieux pour la faune sauvage. Libérée du jour artificiel, ces représentants vivront pleinement leur nuit.
C’est comme ça que je me suis retrouvé à écraser un baigneur dans cette allée sombre. Et c’est grâce à la lampe de poche de mon iPhone que je peux te renseigner sur l’objet écrasé. Un baigneur.
Un mère excédée de voir le baigneur de sa fille traîner aura-t-elle eu un coup de sang propulsant le pauvre jouet par-delà ses murs ? Une enfant capricieuse comme pas deux aura-t-elle poussé une colère nocturne ? Je n’en sais foutre rien. Je sais juste que j’ai écrasé un baigneur.
C’est en voyant Médor s’arrêter pour renifler l’objet écrabouillé sous ma chaussure que l’idée d’éclairer la zone du crime m’intéressa. Quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître un baigneur. Identique à celui qui dormait dans le couffin de ma sœur, des membres et une tête en latex cousus sur un corps en tissu crème. Je le trouvais moche le baigneur de ma sœur. Mais elle l’adorait.
Et vas-y que je te promène, que je te donne le biberon, change ta couche et te couche. C’était marrant les histoires qu’elle s’inventait pour donner vie à son baigneur.
Bref… Ça faisait un bail qu’un baigneur ne s’était pas retrouvé sous ma semelle !
………
Mon mot du jour était baigneur ! Et tu sais quoi ?! Par le plus grand des mystères de l’univers, je suis dans ma periode : je regarde mes différents modèles de baignoires… Dingue !? Et le truc… Je n’arrive pas à me décider entre une coquille arrondie ou angulaire. Les deux me plaisent. Et pas question de pouffer ou tirer à la courte paille. Non. Je dois me décider pour un modèle ! Ce baigneur malmené renfermait-il la solution à mon problème ? Mystère…
Et pour ça, tu connais comme moi le dicton : c’est çui qui dit qui y est ! Donc…
Aujourd’hui j’ai écrasé un baigneur ! Pas un de ceux qui s’agglutinent face à la mer. Non. La poupée qu’on donne au petites filles pour qu’elles jouent à la maman.
C’était tout à l’heure… Il faisait noir. Alors que Médor et moi empruntions une allée bordée d’habitations, l’éclairage public se coupa. Comme tous les soirs à minuit, le maire éteignait la lumière.
Rassurez-toi, il n’a pas eu cette idée tout seul. C’est à plusieurs qu’ils ont décidé que ça serait mieux pour la faune sauvage. Libérée du jour artificiel, ces représentants vivront pleinement leur nuit.
C’est comme ça que je me suis retrouvé à écraser un baigneur dans cette allée sombre. Et c’est grâce à la lampe de poche de mon iPhone que je peux te renseigner sur l’objet écrasé. Un baigneur.
Un mère excédée de voir le baigneur de sa fille traîner aura-t-elle eu un coup de sang propulsant le pauvre jouet par-delà ses murs ? Une enfant capricieuse comme pas deux aura-t-elle poussé une colère nocturne ? Je n’en sais foutre rien. Je sais juste que j’ai écrasé un baigneur.
C’est en voyant Médor s’arrêter pour renifler l’objet écrabouillé sous ma chaussure que l’idée d’éclairer la zone du crime m’intéressa. Quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître un baigneur. Identique à celui qui dormait dans le couffin de ma sœur, des membres et une tête en latex cousus sur un corps en tissu crème. Je le trouvais moche le baigneur de ma sœur. Mais elle l’adorait.
Et vas-y que je te promène, que je te donne le biberon, change ta couche et te couche. C’était marrant les histoires qu’elle s’inventait pour donner vie à son baigneur.
Bref… Ça faisait un bail qu’un baigneur ne s’était pas retrouvé sous ma semelle !
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Mon mot du jour était baigneur ! Et tu sais quoi ?! Par le plus grand des mystères de l’univers, je suis dans ma periode : je regarde mes différents modèles de baignoires… Dingue !? Et le truc… Je n’arrive pas à me décider entre une coquille arrondie ou angulaire. Les deux me plaisent. Et pas question de pouffer ou tirer à la courte paille. Non. Je dois me décider pour un modèle ! Ce baigneur malmené renfermait-il la solution à mon problème ? Mystère…
