Parlons blog
--- Si jamais cette discussion a eu lieu, je men excuse davance. Faite sauter ou intégrez-la avec le fil que je nai pas trouvé. Jai fait une mini recherche avant sur MacG ---
---
Avant-hier, jécoutais un reportage sur TV5: 30 millions de blogs circulent actuellement sur la plus grande toile du monde, chiffre qui double aux 6 mois. Bien sûr, plusieurs de ces blogs meurent du peu dintérêt accordé par leur créateur.
Malgré tout, nest-ce pas beaucoup, peut-être même beaucoup trop sites personnels on line? Et en même temps, n'est-ce pas fantastique, tous ces écrits libérés, qui ne pouvaient être autrefois lus, entendus, car le monde de l'édition est quand même moins libre que le net?
Cest une question qui mobsède : pourquoi ces millions de petits morceaux de vie intime, didées de toutes sortes techniques, actualités, macramés, déversoirs d'émotions impudiques de discussions qui courent, partout dans le monde avec une infime fraction en français, on sen doute?
Une autre mode qui passera?
Pourquoi ce besoin de se faire entendre, reconnaître (surtout), de se montrer publiquement, ainsi, et en si grande quantité? Toute qualité confondue quoique je ne devrais pas confondre. Pour quil y en ait autant, est-ce la réponse à un besoin trop longtemps contenu?
Ne deviendrait-on pas désabusé du ce joli mot, autrefois si précieux? Certes, liberté du mot, de la pensée, mais perte de sa beauté? Écoeurement dun flot déversé, mal contenu? Ou bien, (r)enseignements maintenant disponible pour tous, sans plus de discrimination?
Je ne sais trop quen penser: mal de cur et/ou réjouissance?
--- Si jamais cette discussion a eu lieu, je men excuse davance. Faite sauter ou intégrez-la avec le fil que je nai pas trouvé. Jai fait une mini recherche avant sur MacG ---
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Avant-hier, jécoutais un reportage sur TV5: 30 millions de blogs circulent actuellement sur la plus grande toile du monde, chiffre qui double aux 6 mois. Bien sûr, plusieurs de ces blogs meurent du peu dintérêt accordé par leur créateur.
Malgré tout, nest-ce pas beaucoup, peut-être même beaucoup trop sites personnels on line? Et en même temps, n'est-ce pas fantastique, tous ces écrits libérés, qui ne pouvaient être autrefois lus, entendus, car le monde de l'édition est quand même moins libre que le net?
Cest une question qui mobsède : pourquoi ces millions de petits morceaux de vie intime, didées de toutes sortes techniques, actualités, macramés, déversoirs d'émotions impudiques de discussions qui courent, partout dans le monde avec une infime fraction en français, on sen doute?
Une autre mode qui passera?
Pourquoi ce besoin de se faire entendre, reconnaître (surtout), de se montrer publiquement, ainsi, et en si grande quantité? Toute qualité confondue quoique je ne devrais pas confondre. Pour quil y en ait autant, est-ce la réponse à un besoin trop longtemps contenu?
Ne deviendrait-on pas désabusé du ce joli mot, autrefois si précieux? Certes, liberté du mot, de la pensée, mais perte de sa beauté? Écoeurement dun flot déversé, mal contenu? Ou bien, (r)enseignements maintenant disponible pour tous, sans plus de discrimination?
Je ne sais trop quen penser: mal de cur et/ou réjouissance?