Moi je m'abonne, tiens...
Il est marrant ce fil en fait.
Merde, voilà bobby, je me désabonne !
:siffle:
Ecoute mon grand, tu sais ce que tu vas faire ?
Tu prends ton petit poème dans ta poche et tu trouves un bar mal fréquenté. Tu attends 22h (heure de ton post), tu demandes l'attention de tous les
Ensuite tu reviens ici nous raconter leur réaction. :rateau:
Tu verras que finalement ici, on n'est pas si méchants que tu le crois.
:style:
Il ne faut pas croire, il y a encore des beaux instants de poésie dans ce forum
Peut-être pas en alexandrins
Mais avec un sens de la concision, de la précision, du mot juste, qui fait que tout est dit :
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Peut-être pas en alexandrins
Mais avec un sens de la concision, de la précision, du mot juste, qui fait que tout est dit :
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Moi je m'abonne, tiens...
Il est marrant ce fil en fait.
pareil!! concombre et kristof! Bon à moi de me foutre la honte avec un de mes poèmes
AMOUREUX DUN RÊVE
Je la sens près de moi, je la regarde, elle me sourit Elle se trouve pourtant à lautre bout de la pièce face à moi et à ma mesure Son visage est trouble, je suis évanoui par sa présence qui me procure des indices Elle ne voit plus que moi et je lui trouve des mots complices quà cinq cents pas, je lui susurre La foule qui nous entours nous repousse et sans aucun vices nous nous en amusons À ne pas lentendre, à ne pas la voir, à ne pas la sentir, la foule qui nous saoule Nous communiquons et nous nous comprenons par des regards complices Comme des jumeaux, notre fusion cérébrale est télépathique Je lui appartenais et elle pour vivre navait besoin et ne voulait que moi Nous nattendions quune chose, nous retrouver seul, loin de cette foule vaniteuse, idiote, stupide Je suis heureux car je sais quelle est mienne et quelle le sera pour tout le temps Ce sentiment qui memplit, je comprends comme si jétais en elle, quelle aussi le ressent Une osmose, une aura, un ensemble, un tout, cest étrange, je suis ci bien Elle accapare et remplis mon esprit, les gens me parlent et bêtement je souris pour les laisser dans loubli Je nentends rien à par sa télépathie qui me câline, membrasse et mexcite Je mapproche pour lemmener loin de ce lieu impersonnel, intemporel, repoussant Je veux la serrer, la cajoler, lembrasser et léloigner de tous ces parasites qui nuisent à mon bien être Je veux la sauver de ces chiens qui polluent latmosphère de leur indigence Je veux léloigner de tous ces bâtards, ces moutons de panurge, qui veulent la séduire et la couper de moi Alors quils ne savent pas quelle comme moi nous ne les écoutons pas Je mapproche delle, mais cela méloigne, je ne comprends pas Mon bonheur, ma joie, mon aura méchappe, je suis froid deffroi Je sors de mon état de somnolence et je perds tout Ce nétait quun rêve, un rêve, un doux et merveilleux rêve
AMOUREUX DUN RÊVE
Je la sens près de moi, je la regarde, elle me sourit Elle se trouve pourtant à lautre bout de la pièce face à moi et à ma mesure Son visage est trouble, je suis évanoui par sa présence qui me procure des indices Elle ne voit plus que moi et je lui trouve des mots complices quà cinq cents pas, je lui susurre La foule qui nous entours nous repousse et sans aucun vices nous nous en amusons À ne pas lentendre, à ne pas la voir, à ne pas la sentir, la foule qui nous saoule Nous communiquons et nous nous comprenons par des regards complices Comme des jumeaux, notre fusion cérébrale est télépathique Je lui appartenais et elle pour vivre navait besoin et ne voulait que moi Nous nattendions quune chose, nous retrouver seul, loin de cette foule vaniteuse, idiote, stupide Je suis heureux car je sais quelle est mienne et quelle le sera pour tout le temps Ce sentiment qui memplit, je comprends comme si jétais en elle, quelle aussi le ressent Une osmose, une aura, un ensemble, un tout, cest étrange, je suis ci bien Elle accapare et remplis mon esprit, les gens me parlent et bêtement je souris pour les laisser dans loubli Je nentends rien à par sa télépathie qui me câline, membrasse et mexcite Je mapproche pour lemmener loin de ce lieu impersonnel, intemporel, repoussant Je veux la serrer, la cajoler, lembrasser et léloigner de tous ces parasites qui nuisent à mon bien être Je veux la sauver de ces chiens qui polluent latmosphère de leur indigence Je veux léloigner de tous ces bâtards, ces moutons de panurge, qui veulent la séduire et la couper de moi Alors quils ne savent pas quelle comme moi nous ne les écoutons pas Je mapproche delle, mais cela méloigne, je ne comprends pas Mon bonheur, ma joie, mon aura méchappe, je suis froid deffroi Je sors de mon état de somnolence et je perds tout Ce nétait quun rêve, un rêve, un doux et merveilleux rêve
