Virus, malwares : mon ordi est-il malade ?

Pourtant , j'ai déjà posé la question (sur ce forum) , et on m'a répondu qu'il est préférable d'utiliser Chrome pour les sites utilisant encore Flash (TF1,Cora .....) et Safari pour le surf normal

Moi j'utilise Safari, Flash est installé mais désactivé (c'est le réglage par défaut désormais), et je ne l'active que lorsque c'est totalement indispensable et uniquement sur des sites dont je pense qu'ils sont sûrs. (Ce qui revient au même que de passer par Chrome pour ces seuls sites)
 
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Réactions: Moonwalker
Je suis du même avis que Remy concernant Chrome et Flash. Les gens doivent mettre à jour le navigateur au lieu de mettre à jour Flash. C'est la seule différence technique.

Je n'ai qu'une seule machine qui embarque encore Flash, et c'est parce que je n'en suis pas l'usager principal.

Idem, via Safari 10 l'utilisateur l'active quand il en a besoin (rarement). Le reste du temps il est hors service.
 
Le nombre d'appels à l'aide sur ces forums après un nettoyage un peu trop violent de CleanMyMac.... voilà ce qu'on a contre cet utilitaire.
(D'autant que la seule solution est une réinstallation complète du système et des logiciels touchés...)

Quand on sait ce qu'on fait CleanMyMac peut être utile (quoique je vais aussi vite manuellement....)
Quand on ne sait pas ce qu'on fait, CleanMyMac peut creer de gros dégâts.
 
CQFD.

En fait, l'ennui vient de ce besoin compulsif de vouloir tout nettoyer partout, tout le temps, sans bien saisir ce qui se passe. Alors que, sur macOS, sauf vrai bug (genre Mail qui occupe des GB sans raison), les données à nettoyer sont de très faible volume, tandis que nos photos, films, applications etc. sont, eux, ce que l'on aurait à surveiller. On utilise donc CleanMyMac pour enlever quelques fichiers de préférences innocents, ou un peu de cache ici et là, et on en profite pour le laisser faire n'importe quoi à l'occasion (désinstaller brutalement des applications non standard, supprimer des langues etc.)

On a donc un paradoxe qui est de psychoter pour tout et rien et, dans le même mouvement, de faire confiance en des logiciels qui ne sont pas inoffensifs.