Et avec la tête ? [V.4]

Mes plus profonds et sincères remerciements pour ce coup de coeur à ces mots empreints de beaucoup de réel enveloppé d'imaginaire, d'un manque sincère et profond.

Thème : Un instant de magie au creux de la nuit

mots : lumière, laine, soleil , évanescence, flamboyaient

date limite: 31 décembre


Je venais d'éteindre la lumière et n'espérais plus qu'un sommeil paisible, éventuellement peuplé de rêves agréables... Surtout pas de cauchemars ou de quoi que ce soit qui gâcherait ma nuit...

Une épaisse couverture de laine, des draps de flanelle et un édredon recouvrant le tout, garantissaient la chaleur et le confort que je recherchais.

Sans savoir si je me réveillais ou si au contraire je plongeait dans un rêve profond d'un réalisme parfait, je vis une fée sourire en flottant au-dessus de mon lit, comme illuminée d'une étrange lumière semblant diffuser de la bienveillance...
Son visage rayonnant, ses yeux bleus, le tout enveloppé d'une chevelure blonde à la fois douce et lumineuse évoquaient une sorte de mystérieux soleil...

La fée disparu et réapparut et reapparut devant moi comme par jeu, dans une sorte d'évanesce, son visage magnifique et ses yeux bleus pétillants n'exprimaient plus qu'une sympathique malice...

Je finis par me persuader que ce charmant rêve allait prendre fin bientôt, et que j'allais doucement me réveiller...
Dans le meilleur des cas, j'emporterais jusqu'à mon réveil d'agréables souvenirs de la visite enchanteresse de ma fée taquine...

Mais pendant une seconde, il me sembla alors que ma chambre prenait feu...
Je regardais ma fée flotter dans les airs, son visage s'étant rapprochée du mien... Elle me regardait dans les yeux et me souriait...
Elle semblait avoir deviné mes doutes et semblait décidée à me persuader de la réalité de son existence...
Son visage resplendissait et ses cheveux, littéralement, flamboyaient...
 
La fin de l'année et de ce tour approche...
 
Bonjour à tous,
Je vous propose les 5 mots suivants (tirés presque au hasard, je pars de coordonnées de lieux que j’apprécie, repérés dans what3words…)
- camembert
  • foin
  • armure
  • saison
  • empereur

Le thème en ce début d’année est : les bonnes résolutions

Fin du jeu le 16 janvier prochain
 
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Réactions: Human-Fly
Le matin, avant la fête du lendemain...

Le camembert de la lune venait de s'ouvrir
Encore pris par les bulles de champagne,
Il se retrouvait sous le ciel de la campagne.
Il avait passé la nuit entière à courir
Après les belles et lumineuses étoiles.
Les nuages étaient devenus ses voiles
Et l'avaient guidé et doucement emporté
Comme autant d'éclats de sa vie passée.

Les belles lumières aux reflets extraordinaires
Prises dans le vent des souvenirs amoureux
Etaient revenus de ses lointains jours heureux.

Et là, en ce petit matin, couvert par la chaleur
Etrange d'un hiver ressemblant à une nuit d'été.
Il ouvrait les yeux et il était tel un empereur
Contemplant le terrain immense où il avait fêté,
Sans avoir à lutter mais juste à s'enivrer,
Les résolutions heureuses de cette nouvelle année.

Il découvrait qu'après les dangers, il gardait un peu de force au coeur
Il avait désormais la conscience parfaitement claire des malheurs
Qui fermentaient et se développaient dans ce monde d'horreur.
Et pourtant, il voulait encore croire qu'il pourrait se relever et partager
Un peu de bonheur et de sourire auprès de doux coeurs riches de fragilité.

Il se leva et décida de retourner vers la ville au loin déjà éclairée
Afin d'y apporter les derniers espoirs de son âme revigorée.
 
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Réactions: jmquidet et Human-Fly
Je ne sais pas si ce sont mes yeux qui fatiguent, mais il ne me semble voir que camembert et empereur dans le texte ci-dessus ?
 
À Champsecret mon pote Bébert
Va chercher le bon camembert
D'un vrai fromager pas chafouin
Qui nourrit ses belles vaches au foin.
Goûté sans le moindre murmure
Nul n'a osé mettre une armure.
Mais est-ce une bonne raison
D'en vouloir en toute saison ?
Camembert est notre bonheur
Des fromtons qu'il reste l' empereur !
 
Saison pluvieuse comme souvent cette époque, j'en profite pour ranger le foin qui traîne dans le débarras. Enfin ranger est un bien grand mot. Armé d'un grand sac poubelle, j'y enfourne des vieilleries poussiéreuses , une peluche mitée de manchot empereur qui a servi de nid aux souris, un plastron d'armure en plastique pour les enfants, un "trivial pursuit" incomplet qui a perdu ses camemberts. Et là en regardant ces vestiges d'un autre temps la nostalgie m'envahit. Plus envie... Je vais me jeter une bière et on verra demain, je suis en retraite, bordel! Rien n'urge après tout...
 
Bonjour à tous,
Je vous propose les 5 mots suivants (tirés presque au hasard, je pars de coordonnées de lieux que j’apprécie, repérés dans what3words…)
- camembert
  • foin
  • armure
  • saison
  • empereur

Le thème en ce début d’année est : les bonnes résolutions

Fin du jeu le 16 janvier prochain



Chaque année, je me pose vers le début du mois de janvier la même question : vais-je prendre de bonnes résolutions ? Et inévitablement, en cas de réponse positive : vais-je les respecter ?

Cette année, j'ai de la "chance", si l'on peut dire.
Tant de choses sont à rectifier dans ma vie que je suis bien obligé de tout faire pour obtenir dans différents domaines des améliorations significatives.
Je pourrais presque faire une liste, un tableau, ou un schéma circulaire et coloré type "camembert" pour me représenter les tâches en question, éventuellement en essayant de hiérarchiser les priorités.
Donc, oui, les bonnes résolutions me donnent l'occasion de formaliser ce qu'il me faut faire, et forcément je ferai de mon mieux pour atteindre mes objectifs.

Une partie de mes objectifs concerne ma santé.
Avec certains rendez-vous que je ne risque pas d'oublier.
Je pourrais là encore, ne serait-ce que pour hiérarchiser les priorités, organiser tout ceci en une liste ou un tableau...
Mais foin de tout ceci !
Je sais bien ce que j'ai à faire et, dans les grandes lignes au moins, je sais parfaitement quelles sont mes priorités.

Il me faut prendre du recul avec pas mal de choses, de personnes.
Ne pas nécessairement vouloir ressusciter des relations ayant déjà rendu leur dernier souffle, ne pas m'encombrer, si possible, de relations toxiques ou même dangereuses.
Ne pas accorder plus d'importance qu'il en mérite à cet ancien "ami", pervers narcissique "chimiquement pur", et qui depuis le mois de juin a promis de nombreuses fois de me tuer. Je pourrais, presque au sens littéral, être tenté de m'équiper d'une armure.
Il me suffit de redoubler de prudence, notamment concernant les informations que je révèle ou non à mon sujet sur le net.
Et rester sur mes gardes d'une façon plus générale.

L'hiver est une saison que j'adore et dont j'entends bien profiter.
Mais à la réflexion, avec le temps, je me suis moi-même étonné en réalisant que je les aimais toutes, voyant en chacune un charme spécifique, et des avantages que les autres n'ont pas.
La neige en hiver, et même la précocité de la nuit, que j'aime tant...
Les bourgeons du printemps, une atmosphère semblant rendre les gens plus heureux, sans doute du fait de l'ensoleillement...
L'été et ses soirées encore chaudes et ses nuits étoilées.
Autant de choses dont j'espère profiter cette année bien davantage que les précédentes, n'en déplaise à mon "assassin", auquel j'ai bien l'intention de survivre de longues années.

Décidément, ces bonnes résolutions et surtout les effets concrets qu'elles auront dans ma vie m'offriront l'opportunité de faire des choses que je ne faisais plus depuis un certain temps, et m'offriront de réaliser un projet qui décidément me tient à cœur. Reprendre l'écriture de mon roman, pour lequel j'ai de plus en plus d'idées....
Il ne "reste" plus qu'à rédiger de mon mieux et vraiment viser une publication.
Ce modeste projet en gestation n'appartient qu'à moi.
Avec un peu d'emphase et sans trop de modestie, je dirai de ce petit projet que j'en suis le roi, sinon l'empereur.
 
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Réactions: jmquidet et Gerapp38
( à présent tout y est... );)


Le matin, avant la fête du lendemain...

Le camembert de la lune venait de s'ouvrir
Encore pris par les bulles de champagne,
Il se retrouvait sous le ciel de la campagne.
Il avait passé la nuit entière à courir
Après les belles et lumineuses étoiles.
Les nuages étaient devenus ses voiles
Et l'avaient guidé et doucement emporté
Comme autant d'éclats de sa vie passée.

Les belles lumières aux reflets extraordinaires
Prises dans le vent des souvenirs amoureux
Etaient revenus de ses lointains jours heureux.

L'amour de la vie était sa plus belle parure,
Il n'avait plus besoin de porter d'armure.
Son regard n'avait plus besoin de rêver de pays lointain,
Il était heureux, là, allongé dans les bottes de foin.

Et là, en ce petit matin, couvert par la chaleur
Etrange d'un hiver ressemblant à une nuit d'été.
Il ouvrait les yeux et il était tel un empereur
Contemplant le terrain immense où il avait fêté,
Sans avoir à lutter mais juste à s'enivrer,
Les résolutions heureuses de cette nouvelle année.

Il découvrait qu'après les dangers, il gardait un peu de force au coeur
Il avait désormais la conscience parfaitement claire des malheurs
Qui fermentaient et se développaient dans ce monde d'horreur.
Et pourtant, il voulait encore croire qu'il pourrait se relever et partager
Un peu de bonheur et de sourire auprès de doux coeurs riches de fragilité.

Il se leva et décida de retourner vers la ville au loin déjà éclairée
Afin d'y apporter les derniers espoirs de son âme revigorée.
Son âme était portée par les sentiments d'une nouvelle saison,
Celle qui lui donnait un bonheur pur seulement fait de chansons.
 
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Réactions: Gerapp38 et jmquidet
Thème : une rencontre inattendue.


Mots obligatoires :

  • rêve
  • alchimie
  • assassin
  • manipulation
  • femme




Jusqu'au 5 février vers 20h.


Je le rappelle, toutes les personnes voulant participer sont les bienvenues.
Les habitués de ce thread, comme de nouvelles personnes récemment inscrites et que ce jeu tenterait.

Toutes et tous, n'hésitez pas à vous lancer ! :)
 
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Réactions: Gerapp38
Elle se promenait sur la grève
Sous le soleil comme dans un rêve
De la mer elle était l'amie
Sans redouter son alchimie
Le sable chaud est un coussin
Qui n'accueille aucun assassin
Pour éviter l'insolation
Elle fit une manipulation.
Grimaçant tel un monstre infâme
Un requin fit peur à la femme
 
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Une rencontre inattendue.

Le vieillard s’agitait sur son grabat ; son corps vigoureux, bien que décharné par le jeûne, se révoltait encore. Mais le temps est assassin ; il avait trop longtemps caressé le rêve de s’évader, et il avait travaillé à cette évasion pendant plus de vingt ans.

Vingt ans ! La même durée que ses recherches acharnées dans de vieux grimoires médiévaux glanés dans toutes les bibliothèques du Vieux Continent. Il avait fini par réussir dans sa quête, lui, le petit curé issu d’une famille pauvre, instruit et endoctriné par les Jésuites : il avait fini par trouver LE trésor tant cherché. C’est le Supérieur général de la Compagnie en personne qui avait observé sa curiosité intellectuelle et son opiniâtreté à sa sortie du séminaire, et qui avait décidé lui confier cette mission délicate ; mais il avait surestimé son emprise sur le petit curé. Ce dernier s’était vite rendu compte que la Compagnie cherchait juste les moyens financiers pour s’opposer aux événements vers lesquels se précipitait le Royaume de France ; issu d’un milieu modeste, le cureton partageait la soif de liberté et de justice des plus humbles, et il ne laisserait pas ces richesses servir pour l’oppression et la manipulation des peuples.

Alors il avait caché sa découverte à ses supérieurs, puis, prétextant avoir contracté une peste lors de ses pérégrinations, il avait rompu tout contact avec eux et avait projeté de déplacer le trésor. Ayant chargé une charrette avec une petite partie de ce trésor, il avait filé, se faisant passer pour un simple colporteur, vers un port sûr, où il avait embarqué avec sa cargaison pour la débarquer et la cacher sur une petite île qu’il connaissait depuis son enfance. Puis, de retour sur le continent, il avait tenté un nouveau voyage avec une nouvelle cargaison, mais cette fois, il fut repéré et arrêté ; on tenta de le faire parler pour savoir d’où provenaient les richesses qu’il transportait, et à quel parti il les destinait. Il s’emmura dans le silence : ce qu’ils lui avaient pris n’était qu’une goutte dans l’océan d’or et de pierres précieuses dont lui seul connaissait l’emplacement, et il comptait bien garder son secret.

Interrogé et emprisonné, il n’avait jamais parlé. Pour le faire craquer, ils l’avaient embastillé et mis au secret sans autre forme de procès. Dès son arrivée dans sa geôle, il avait cherché un moyen de s’évader. Pendant les trois premières années de prison, cela lui parut impossible tant il avait fait l’objet d’une surveillance de chaque instant, et tant les interrogatoires étaient fréquents ; puis il lui sembla que la surveillance s’était relâchée. Oh, le mur de façade était toujours là, toujours aussi épais, et l’unique lueur et ventilation dans sa cellule provenait d’un trou à peine assez large pour passer tout son bras, sa main arrivant alors à peine à la moitié du mur. Non, quelque chose avait dû changer à l’extérieur, il y a dix-sept ans, car depuis lors, plus personne n’était venu le questionner ; peut-être ses inquisiteurs eux-mêmes avaient été arrêtés, ou étaient tombés en disgrâce. Toujours est-il que les gardiens, qui ignoraient tout du motif de son emprisonnement, se contentaient de faire en sorte de le maintenir en vie. Il leur faisait l’effet d’un vieux fou sans grand intérêt, mais, en ces périodes troublées, qui pouvait savoir si quelque autorité ne viendrait pas le chercher de nouveau, pour reprendre les interrogatoires ou, au contraire, pour libérer ce pauvre diable.

Laissé plus tranquille, ce dernier avait réussi, avec une cuillère, à desceller et à cacher une grosse agrafe en fer forgé qui solidarisait deux pierres du mur de façade, et il s’en était servi de piolet pour desceller une dalle de sol et creuser le remblai remplissant l’espace entre l’extrados de la voûte sous-jacente et le dallage de sa cellule, puis s’était attaqué au mur perpendiculaire à la façade pour atteindre la pièce attenante. Avec un peu de chance, ce serait un local de service depuis lequel il serait plus aisé de sortir : si il disposait d’une meurtrière assez large, il pourrait s’y glisser pour descendre le long de la façade, et s’il avait une porte facile à ouvrir, il pourrait, au moins, rejoindre le labyrinthe des corridors internes par lesquels il pourrait peut-être se frayer un chemin vers le pied de la forteresse.

Une grosse difficulté fut de se débarrasser de manière progressive et discrète des volumes excavés, au point qu’il avait mis sept ans pour atteindre la pièce voisine. Contrairement à ses espérances, cette dernière était une autre cellule, identique à la sienne, et dont la porte était verrouillée : en effet elle était occupée par un jeune homme, à l’époque emprisonné depuis peu, pour une sombre affaire politique, à moins que ce ne soit à cause d’une femme. C’est ainsi que le vieil homme rencontra celui qui devint, pendant dix autres années, son collaborateur pour poursuivre la construction d’une voie d’évasion, son soignant lors de ses accès de fièvres, et son élève pour partager ses vastes connaissances. Le jeune homme avait en effet un esprit vif, et un caractère généreux ; bien qu’issu d’un milieu modeste, par son travail et son intelligence, il avait su, juste avant sa disgrâce, se procurer une situation en vue et une promesse de riche et heureux mariage.

Une alchimie était née de cette rencontre, et chacun avait indéniablement beaucoup apporté à l’autre. Mais maintenant, le vieux curé éprouvait de plus en plus de remords de ne pas avoir tout dit à son compagnon sur ses richesses, d’autant que le jeune homme lui avait de nouveau sauvé la vie lors de sa récente attaque d’apoplexie qui lui avait laissé une méchante fièvre. Dans leurs longues conversations, il avait jusqu’alors parlé seulement de la fraction du trésor caché dans l’île, qu’il lui avait d’ailleurs proposé de partager dès qu’ils se seraient évadés de cette prison. Il lui avait même menti en inventant une origine plus modeste à ce magot, qu’il lui avait ainsi présenté comme ce qu’il restait de la fortune cachée de la riche famille romaine des Spada.

Avec la mort qui lui rodait autour, ce mensonge rongeait son âme de religieux : il devait dire la vérité, se confesser avant de paraître devant le Créateur ! Le vieillard tenta de se redresser et cria d’une voix rauque : À l’aide, mon fils ! Il entendit son compagnon enlever la dalle masquant le tunnel pour se glisser vers la cellule de son mentor. Le vieillard sentit que son esprit s’embrumait et que son cœur se serrait dans sa poitrine : Edmond Dantès arriverait trop tard : il ne saurait jamais que l’île de Montecristo n’abritait qu’une infime partie du trésor, et que ce pauvre abbé Faria avait laissé, bien loin de là, sous l’autel de la chapelle de Rennes-le-Chateau, toutes les indications pour retrouver la totalité du fabuleux trésor des rois wisigoths !​
 
Désolé pour mon retard.


loustic, j'aime beaucoup ton texte, vraiment.
Le tout et peut-être surtout la chute inattendue, inquiétante, sans toutefois s'avérer fatale pour la dame.

Mais je choisis de récompenser l'originalité du texte de Gerapp38.
Plus qu'intéressant par son propos et par son style.
Ce texte regorge manifestement de culture, d'ailleurs associée à de multiples références au Comte de Monte-Cristo.
Les allusions à l'œuvre d'Alexandre Dumas devenant explicites à la fin du texte.



Bravo Gerapp38 ; à toi d'organiser la prochaine session ! :merci:
 
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Réactions: loustic et Gerapp38
Merci Human-Fly, mais culture est un bien grand mot, cela relève plutôt l’émulsion de saines lectures dans des réminiscences d’autres lectures de mon adolescence (j’adorais la collection L’aventure mystérieuse de J’ai lu, avec ses thèmes dédiés aux trésors perdus, aux sociétés secrètes, aux continents disparus, aux civilisations fabuleuses… le tout étant traité de manière sérieuse : une mine d’idées pour les théories complotistes d’aujourd’hui …)
Bref, venons-en à la suite :

Le thème : Dans le besoin
Avec les 5 mots suivants :
  • Antivol
  • Chevalier
  • Musicienne
  • Digérer
  • Goulot
Réponses pour le 26 février au soir…
 
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Réactions: loustic et Human-Fly