10mn de votre temps pour une jeune fille en détresse =D

Baaah 4 :-/ Tous les autres sont des nuls :D

Il me manque 5 mâles, je vais aller voir sur un forum de muscu pour voir s'ils feront mieux qu'ici, ahah :D

Sur un forum de muscu, la pèche sera sans doute plus prolifique car les neurones y sont un peu moins au rendez-vous que sur MacGé. ;)

Pour ma part, je demeure perplexe en lisant un questionnaire destiné a perfectionner des techniques de RH, au vu des conséquences souvent humainement dommageables de la "culture du résultat". :siffle:

Quant au charme d'une jeune fille "en détresse", je suis plus disposé a y répondre lorsque le hasard fait en sorte que la situation se présente dans la vraie vie. :D
 
Pour répondre à tous :

- On peut considérer ça comme une enquête (à la TF1) ou comme un coup de main dans les études de quelqu'un, c'est un parti pris...
- Et le but du questionnaire n'est pas d'améliorer les techniques en RH (je ne suis pas doctorante, je ne suis pas chercheuse). L'unique but est que j'obtienne des résultats avec une parité sexuelle, que je les analyse et que ma prof évalue si ma méthodologie est la bonne. Ca ne va pas sortir dans un magasine de RH, c'est juste une évaluation.

C'est à vous de voir. Ca vous prend 10mn, ça m'aide énormément et vous aidez quelqu'un dans ses études. Enfin, vous faites comme vous le souhaitez bien sûr mais à une époque où nombreux sont ceux qui se plaignent du taux de chômage chez les jeunes (diplômés ou non), un tel manque d'entraide de la part de certains me laisse perplexe...

Voilà voilà :)

P.S. : maintenant je vais bosser à mon job étudiant jusque 15h, peut-être qu'en revenant y aura d'autres gens motivés :D
 
On va te motiver ça !






:o Allez les mâles.

Ah oui, quand même, mais en souhaitant qu'elle s'alimente correctement, parce que le coup de l'invitation a diner avec la fille qui commande une demi cuillérée a café de graines pour oiseau, cela ne le fait pas. ;)

:D

blague a part : ceux qui sont déjà tombés sur une anorexique savent qu'il s'agit d'une situation particulièrement triste. Il est a souhaiter qu'il ne s'agisse pas de cela.
 
Dernière édition:
  • J’aime
Réactions: JPTK
Enfin, vous faites comme vous le souhaitez bien sûr mais à une époque où nombreux sont ceux qui se plaignent du taux de chômage chez les jeunes (diplômés ou non), un tel manque d'entraide de la part de certains me laisse perplexe...

Certains pourraient te répondre qu'il ne s'agit pas d'entraide mais d'aide - mais ce serait chipoter.

La question reste entière, face aux questionnaires baclés, mal écrits et bancals qui nous sont en général proposés de savoir qu'est-ce qui aide le plus leur créateur : le faire progresser en lui signalant les manques (souvent navrants) de son étude quitte à le faire de façon parfois moqueuse voire un peu... violente ou juste répondre n'importe quoi parce que le questionnaire est tellement mal gaulé qu'il est impossible de répondre autre chose que n'importe quoi ?

Je ne suis pas sûr que l'on résorbe beaucoup le chômage des jeunes en les encourageants à bâcler des questionnaires pourris dont ne sont extractibles que la note pitoyable qu'ils ont dû en retirer.
 
calendrier-aubade-2010-11.jpg

une histoire de mouches et de vinaigre... :rateau:
 
Certains pourraient te répondre qu'il ne s'agit pas d'entraide mais d'aide - mais ce serait chipoter.

La question reste entière, face aux questionnaires baclés, mal écrits et bancals qui nous sont en général proposés de savoir qu'est-ce qui aide le plus leur créateur : le faire progresser en lui signalant les manques (souvent navrants) de son étude quitte à le faire de façon parfois moqueuse voire un peu... violente ou juste répondre n'importe quoi parce que le questionnaire est tellement mal gaulé qu'il est impossible de répondre autre chose que n'importe quoi ?

Je ne suis pas sûr que l'on résorbe beaucoup le chômage des jeunes en les encourageants à bâcler des questionnaires pourris dont ne sont extractibles que la note pitoyable qu'ils ont dû en retirer.

Ergu, je te remercie d'avoir répondu au questionnaire. Toutefois, avant d'insinuer que ce travail a été bâclé, tu pourrais t'interroger sur comment a été fait le questionnaire. En effet, ce ne sont pas des étudiants qui ont formulé les questions mais ces échelles sont reprises d'auteurs reconnus sur la scène internationale en psychologie et en gestion. Il est plutôt rare que les chercheurs et étudiants formulent eux-mêmes les échelles quand d'autres auteurs ont très bien fait ce travail auparavant. Mais ça, j'imagine que tu le sais déjà si tu as fait l'université et que tu as toi-même mené des études.

Après, si le questionnaire est "mal gaulé" comme tu le dis, je prendrai volontiers note de tes commentaires pertinents puisque tu sembles être un expert en la matière. Je suppose d'ailleurs qu'en ta qualité de licencié (ou doctorant), tu dois en faire régulièrement.

:zen:
 
  • J’aime
Réactions: TimeCapsule
[…] ce ne sont pas des étudiants qui ont formulé les questions mais ces échelles sont reprises d'auteurs reconnus sur la scène internationale en psychologie et en gestion. Il est plutôt rare que les chercheurs et étudiants formulent eux-mêmes les échelles quand d'autres auteurs ont très bien fait ce travail auparavant. Mais ça, j'imagine que tu le sais déjà si tu as fait l'université et que tu as toi-même mené des études.

Après, si le questionnaire est "mal gaulé" comme tu le dis, je prendrai volontiers note de tes commentaires pertinents puisque tu sembles être un expert en la matière. Je suppose d'ailleurs qu'en ta qualité de licencié (ou doctorant), tu dois en faire régulièrement.

:zen:

Il me semble que la critique d'ergu ne s'adressait pas à toi, mais au contenu même du questionnaire. Que tu en sois l'auteur ou qu'il ait été produit par un universitaire reconnu n'y change rien.

Je pense par ailleurs que même quelqu'un qui n'a pas poussé ses études, ou qui n'a pas eu l'occasion de manipuler couramment de questionnaires durant les siennes (c'est mon cas) peut disposer du bon sens nécessaire pour critiquer un document de ce type et mettre en question la pertinence de ses formulations. De plus, je crois savoir que beaucoup d'universitaires ont la fâcheuse habitude de faire faire certains travaux peu valorisants à leurs étudiants : d'ici à supposer que les questionnaires produits par des chercheurs renommés auxquels tu fais allusion aient pu être pondus en réalité par leurs étudiants utilisés comme « nègres », il n'y a qu'un pas que, dans mon outrecuidance, je n'hésite pas un instant à franchir… :D

Ceci étant dit, je n'ai rien contre ce questionnaire en particulier. Je n'y réponds pas parce que je n'aime pas les questionnaires et parce que le stress au travail est un sujet dont je ne veux pas parler à titre personnel. :zen:
 
Il me semble que la critique d'ergu ne s'adressait pas à toi, mais au contenu même du questionnaire. Que tu en sois l'auteur ou qu'il ait été produit par un universitaire reconnu n'y change rien.

Je pense par ailleurs que même quelqu'un qui n'a pas poussé ses études, ou qui n'a pas eu l'occasion de manipuler couramment de questionnaires durant les siennes (c'est mon cas) peut disposer du bon sens nécessaire pour critiquer un document de ce type et mettre en question la pertinence de ses formulations. De plus, je crois savoir que beaucoup d'universitaires ont la fâcheuse habitude de faire faire certains travaux peu valorisants à leurs étudiants : d'ici à supposer que les questionnaires produits par des chercheurs renommés auxquels tu fais allusion aient pu être pondus en réalité par leurs étudiants utilisés comme « nègres », il n'y a qu'un pas que, dans mon outrecuidance, je n'hésite pas un instant à franchir… :D

Ceci étant dit, je n'ai rien contre ce questionnaire en particulier. Je n'y réponds pas parce que je n'aime pas les questionnaires et parce que le stress au travail est un sujet dont je ne veux pas parler à titre personnel. :zen:

Evidemment, tout le monde peut avoir une opinion sur un questionnaire, pas besoin de faire de grandes études pour cela ;) Mais dire que le travail est bâclé, bancal et peu pertinent, c'est autre chose.
Un ami m'a dit qu'il était dommage que les questions ne prennent pas en compte la vie privée des individus, c'était une critique légitime. Or, il y a une raison à cela : notre revue de la littérature ne nous a pas permis d'émettre d'hypothèses sur le lien avec la vie privée. DONC on ne le teste pas. Certes, ça doit être très intéressant et pertinent mais les hypothèses que nous testons ne sont pas celles-là. C'est un exemple pour dire qu'on peut émettre des critiques mais de là à dire que le travail est carrément mal fait, c'est un peu fort dans la mesure où pour critiquer, il faut tout connaître du sujet, de la méthodologie utilisée, les hypothèses testées...

Bref, je ne me permettrais pas de dire d'une personne que son travail est "bâclé, mal écrit, bancal, navrant" si je ne connais pas le sujet aussi bien qu'elle. C'est une simple question d'humilité et de respect.

Quant au fait que les questionnaires soient faits par des étudiants, j'en doute. Certes, la soumission peut être faite par des étudiants mais la construction du questionnaire, non. Quel en serait l'intérêt ? Les auteurs chercheurs cherchent à produire un travail valide et se basent sur leur savoir, expérience, leurs lectures... pour produire le questionnaire. C'est un travail de longue haleine, ça ne se fait pas comme un questionnaire de magazine donc ils ne font pas ça à la légère. Surtout que ces travaux sont très souvent publiés et donc ça engage leur légitimité de chercheurs !

Enfin, je sais que les sciences sociales et humaines peuvent laisser certaines personnes dubitatives (dans la mesure où ça étudie l'humain qui n'est pas aussi prévisible que les sciences dures) et les questions aussi ma foi. Mais il ne faudrait quand même pas penser que le questionnaire a été construit en 5mn en se disant "Tiens, on poserait bien cette question là".
_

En tous cas merci aux personnes qui ont répondu, même si vous avez été peu nombreux.

Autre chose, un peu hors sujet : sans vouloir donner de leçon, je pense que pas mal de choses en société iraient bien mieux si on apprenait à réfléchir avant de parler, à se renseigner avant de critiquer et à être plus humble en reconnaissant ses propres limites intellectuelles et en demandant des explications plutôt qu'en formulant des conclusions et critiques hâtives qui ont pour seul but de montrer une pseudo-supériorité intellectuelle mais surtout un mépris des autres qui peut faire froid dans le dos (oui les critiques ouvertement méprisantes - parce qu'on est sur internet et qu'on n'a pas de limite - de quelqu'un qui a le double de mon âge, c'est toujours assez attristant).
 
Autre chose, un peu hors sujet : sans vouloir donner de leçon, je pense que pas mal de choses en société iraient bien mieux si on apprenait à réfléchir avant de parler, à se renseigner avant de critiquer et à être plus humble en reconnaissant ses propres limites intellectuelles et en demandant des explications plutôt qu'en formulant des conclusions et critiques hâtives qui ont pour seul but de montrer une pseudo-supériorité intellectuelle mais surtout un mépris des autres qui peut faire froid dans le dos (oui les critiques ouvertement méprisantes - parce qu'on est sur internet et qu'on n'a pas de limite - de quelqu'un qui a le double de mon âge, c'est toujours assez attristant).

sipa-ap-398946-jpg_262799.JPG
 
Evidemment, tout le monde peut avoir une opinion sur un questionnaire, pas besoin de faire de grandes études pour cela ;) Mais dire que le travail est bâclé, bancal et peu pertinent, c'est autre chose.
Un ami m'a dit qu'il était dommage que les questions ne prennent pas en compte la vie privée des individus, c'était une critique légitime. Or, il y a une raison à cela : notre revue de la littérature ne nous a pas permis d'émettre d'hypothèses sur le lien avec la vie privée. DONC on ne le teste pas. Certes, ça doit être très intéressant et pertinent mais les hypothèses que nous testons ne sont pas celles-là. C'est un exemple pour dire qu'on peut émettre des critiques mais de là à dire que le travail est carrément mal fait, c'est un peu fort dans la mesure où pour critiquer, il faut tout connaître du sujet, de la méthodologie utilisée, les hypothèses testées...

Bref, je ne me permettrais pas de dire d'une personne que son travail est "bâclé, mal écrit, bancal, navrant" si je ne connais pas le sujet aussi bien qu'elle. C'est une simple question d'humilité et de respect.

Quant au fait que les questionnaires soient faits par des étudiants, j'en doute. Certes, la soumission peut être faite par des étudiants mais la construction du questionnaire, non. Quel en serait l'intérêt ? Les auteurs chercheurs cherchent à produire un travail valide et se basent sur leur savoir, expérience, leurs lectures... pour produire le questionnaire. C'est un travail de longue haleine, ça ne se fait pas comme un questionnaire de magazine donc ils ne font pas ça à la légère. Surtout que ces travaux sont très souvent publiés et donc ça engage leur légitimité de chercheurs !

Enfin, je sais que les sciences sociales et humaines peuvent laisser certaines personnes dubitatives (dans la mesure où ça étudie l'humain qui n'est pas aussi prévisible que les sciences dures) et les questions aussi ma foi. Mais il ne faudrait quand même pas penser que le questionnaire a été construit en 5mn en se disant "Tiens, on poserait bien cette question là".
_

En tous cas merci aux personnes qui ont répondu, même si vous avez été peu nombreux.

Autre chose, un peu hors sujet : sans vouloir donner de leçon, je pense que pas mal de choses en société iraient bien mieux si on apprenait à réfléchir avant de parler, à se renseigner avant de critiquer et à être plus humble en reconnaissant ses propres limites intellectuelles et en demandant des explications plutôt qu'en formulant des conclusions et critiques hâtives qui ont pour seul but de montrer une pseudo-supériorité intellectuelle mais surtout un mépris des autres qui peut faire froid dans le dos (oui les critiques ouvertement méprisantes - parce qu'on est sur internet et qu'on n'a pas de limite - de quelqu'un qui a le double de mon âge, c'est toujours assez attristant).

Hum, hum… Il y a du malentendu dans l'air… :siffle:

Je ne crois pas du tout que les critiques émises relevaient de la volonté de manifester une pseudo-supériorité intellectuelle. Il ne s'agissait pas non plus à mon humble avis (je ne suis pas dans la tête des gens après tout) d'exprimer de la défiance envers les sciences sociales et humaines au nom d'une supériorité supposée des sciences « dures » (en ce qui me concerne, je suis historien pur jus). Je les ai juste comprises comme une forme de mise en garde un peu abrupte.

Par contre, je perçois une certaine candeur dans la défense que tu présentes du sérieux des chercheurs, sous prétexte que leur responsabilité et légitimité serait en cause. C'est une marque de probité qui t'honore. Mais la lucidité aussi est une vertu. :)

Je n'entends pas du tout mettre en cause ton questionnaire. Mais juste rappeler que le plagiat, la fraude, le pillage du travail d'autrui, le manque de rigueur morale et intellectuelle sont en fait d'une grande banalité dans le monde universitaire. Assez pour que les chercheurs eux-mêmes s'en émeuvent : http://blogs.mediapart.fr/edition/l...fusons-de-fermer-les-yeux-sur-le-plagiat-dans

Peut-être te souviens-tu aussi de l'affaire Sokal et du livre publié dans la foulée par Alan Sokal et Jean Bricmont, dans le but de dénoncer l'ampleur des impostures intellectuelles dans le monde universitaire : http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Sokal

Tu as pu avoir vent du scandale récent causé par les erreurs de calcul (pas forcément involontaires) des économistes du FMI sur la valeur du multiplicateur fiscal, ou sur le scandale lié aux approximations et conclusions douteuses de Rogoff et Reinhart sur le lien entre dette publique et croissance : à chaque fois, il s'agissait de chercheurs réputés, considérés comme des pointures dans leur domaine, dont les erreurs ou les malhonnêtetés ont servi à cautionner des politiques économiques aux conséquences catastrophiques. J'avais cité dans le fil « Actualité amusante… Ou pas » cet article sur les économistes à gages : http://www.monde-diplomatique.fr/2012/03/LAMBERT/47476 (je recommande notamment le passage sur Mishkin et son rapport sur la santé du système financier islandais).

L'étude des fraudes, plagiats, malhonnêtetés et falsifications diverses est de nos jours une branche à part entière de l'histoire des sciences : http://histoire-cnrs.revues.org/566

Quoi qu'il en soit, je te souhaite bonne chance pour ton travail.
 
Dernière édition par un modérateur: