Elle s’apprêtait à jeter de la soupe sur un tableau et à se coller le visage sur un autre.
Quitte à se coller, autant faire le bon choix.
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Parfaite synthèse.
Dans le registre de l'écologie radicale, mais évidemment non violente, je préférerais l'aspect éventuellement spectaculaire de ce que faisait GreenPeace à une époque.
On pouvait approuver le démarche ou pas, fort heureusement, mais au moins ça avait un sens et ça pouvait stimuler la réflexion.
Et on pouvait penser que ça avait de la gueule.
Là, de la soupe et de la colle dans les musées...
On est clairement quelques étages en-dessous, je le crains...
Et opposer l'écologie et l'art, quelle imbécilité, quand même...