"Il ne faut pas trop pleurer sur le rigorisme de McDonald’s. Que le patron du burger ait été renvoyé pour une liaison consentie avec un(e) membre de son personnel a des avantages. Certes, c’est encore une vieille tradition dans la vie des entreprises qui est mise à mal. Mais (quelle chance !) les deux tourtereaux n’ont plus à manger des hamburgers lors de leurs dîners câlins. Rien ne les y obligeait. C’était juste un devoir moral. Après tout le renoncement au sacro-saint sandwich vaut bien une mise à pied sexuelle. Encore que le moralisme de McDo soit à géométrie variable. Une de ses publicités montre un jeune homme acheter un burger. On sent qu’une idylle s’esquisse avec la vendeuse. Là, pas de souci. Du moment qu’on est client, comme dit la pub, on peut venir comme on est."
M. Schiffres © l'Opinion
:hilarious:
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