Actualités amusantes... Ou pas [V.5].

D'ailleurs Monsieur Les-beaux-skis ! Il y a dans l'actualité, le parfait exemple du pourquoi comment vous devriez ajouter une hélice sous vos lames – de skis – et attendre la montée des eaux plutôt qu'espérer de la nature un remake de m'sieur Oury, la vengeance du pangolin à plumes II.

À la rentrée 2019, les élèves français sûrement galvanisés par Greta Thunberg se sont mobilisés contre le dérèglement climatique. « Nous défilerons chaque vendredi ! » qu'ils avaient dit. La covid stoppa ces élans d'envie de changement. Rentrée 2020 plus rien… Rentrée 2021 pas mieux… Enfin pas tout à fait. Ils se sont trouvés un nouveau combat. Une nouvelle cible, les élèves né·e·s en 2010 ! Dix-huit mois d'école en distanciel, c'est dix-huit mois de jeux vidéo et dix-huit mois de vidéos youtube. Donc dix-huit mois à subir ces mioches venant mettre à mal le gameplay de Fortnite et ces mioches écoutant en boucle « pop it mania » de la petite Pink lily. Résultat, les hashtags pleuvent ! Le harcèlement remplace les slogans, la haine évince l'espoir, bref, la bêtise gagne du terrain !

Pas besoin de source… Vous avez comme moi, cher Monsieur Les-beaux-skis, un agrégateur de news francophone à même de vous afficher ça en moins de clics qu'il n'en faut pour ouvrir un œuf coque.

;)
 
Enfin pas tout à fait. Ils se sont trouvés un nouveau combat. Une nouvelle cible, les élèves né·e·s en 2010 !
Punaise, tu es en plein dans l'actualité : …ou pas. Je ne sais pas pour quoi je vais le plus pleurer aujourd'hui, ces milliers de dauphins ou ces mioches nés en 2010. Peut être les deux, ou tout simplement sur la bêtise humaine. Je n'ai pas d'enfant, c'est un choix. J'ai toujours été persuadé que je leur laisserais un monde pire que celui que moi j'ai trouvé.
 
Punaise, tu es en plein dans l'actualité : …ou pas. Je ne sais pas pour quoi je vais le plus pleurer aujourd'hui, ces milliers de dauphins ou ces mioches nés en 2010. Peut être les deux, ou tout simplement sur la bêtise humaine. Je n'ai pas d'enfant, c'est un choix. J'ai toujours été persuadé que je leur laisserais un monde pire que celui que moi j'ai trouvé.
Perdu. J'ai 11 petits enfants. C'est à eux de choisir le monde dans lequel ils veulent vivre. S'ils sont scotchés sur leurs smartphones, leurs jeux vidéos et leurs haches tagues, c'est leur problème.
Les enfants n'appartiennent ni à la société ni à leur famille, mais à eux mêmes et à leur propre liberté.
Bakounine ? Proudhon ? Je ne sais plus.
 
Perdu. J'ai 11 petits enfants.
11 pollueurs potentiels. C'est sur, c'est eux qui vont choisir. Mais déjà, quand une personne a déjà autant de petits enfants, ça montre bien comment lui et ses descendant se fichent du sort de la planète.
 
11 pollueurs potentiels. C'est sur, c'est eux qui vont choisir. Mais déjà, quand une personne a déjà autant de petits enfants, ça montre bien comment lui et ses descendant se fichent du sort de la planète.
Si tout le monde a 0 petits enfants, l'humanité disparaît. La planète reste.
 
  • J’adore
Réactions: Human-Fly
Si tout le monde a 0 petits enfants, l'humanité disparaît. La planète reste.
Il y a un juste milieux à avoir. S’autoreguler est encore possible.
 
L'autorégulation dont tu parles, on en a déjà parlé du temps du comptoir, n'est possible que lorsqu'une espèce animale atteint la limite des besoins alimentaires du groupe constitué. Les denrées diminuant, les femelles deviennent moins fertiles, les mâles bataillent plus pour moins de résultats, la meute se disloque, etc. Seulement, ce qui est visible dans le règne animal "ordinaire" l'est moins dans notre règne à nous, les Alpha. Nous ne chassons plus, ne cueillons plus et cultivons encore moins. À la place nous louons ce temps de quête de la pitance quotidienne à un employeur. La rémunération obtenue nous permet de faire appel à d'autres loueurs de leur temps pour remplir notre panier. C'est encore d'autres loueurs de leur temps qui fournissent nos commerçants alimentaires et encore d'autres qui se chargent de remplir les remorques qui achalanderons les gondoles. Et cætera.

Ce condensé du mode de société de consommation que nous utilisons du début à la fin de notre vie, nous éloigne chaque jour davantage de la réalité des stocks. Il y a bien le jeu de la flambée des prix. Mais à mesure que les loueurs de leur temps pour des cacahuètes augmentent, fleurissent de nouvelles opportunités de vils prix. On peut nourrir le monde qu'ils disent. Donc nous les croyons. SI bien que l'autorégulation ne peut se mettre en place sans une main de fer. Pas sur la nourriture – quoique là il y aurait aussi à faire – plutôt sur le contrôle des naissances – comme l'a fait la Chine un temps. Seulement, le marché globalisé tel qu'il s'est développé ne mise pas sur un recul des effectifs. Au contraire, il vise l'accroissement de la population. Comment lui en vouloir…

À aucun moment dans l'histoire moderne de l'argent, il n'a été question de faire machine arrière. Tout simplement parce que ça n'est pas jouable. Les citadins comme les ruraux ne sont plus du tout disposés au labour, à la récolte ou la chasse. Nous resterons donc déconnectés des stocks. Et nous grossirons – démographiquement parlant. À l'inverse, si nous stoppons tout. Finis les gosses ! On coupe le robinet des naissances. Et bien, avant que l'humanité ne disparaisse, un autre problème va se poser. Qui louera son temps pour payer nos retraites ?

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Réactions: Human-Fly et Gwen
L'autorégulation dont tu parles, ..... payer nos retraites ?

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Moi je dis, une bonne pandémie et ça va te réguler tout ça.
À condition, évidemment, qu'un abruti ne vienne pas nous inventer un vaccin en quelques mois.

(On se calme, c'est de l'humour - qui n'est peut-être l'humour de tout le monde, je le concède)
 

Voilà qui en dit long sur l’inclusivité chère à notre ministre des affaires étrangères. Dommage qu’ils n’aient pas de littoral, on aurait pu leur fourguer un ou deux sous-marins.
 
  • Haha
Réactions: TimeCapsule