Mon cher mari en a une très bonne idée. Par là, je veux dire qu'il sait bien que fumer pourrit la poumons, le larynx, la bouche, que c'est mauvais pour les dents et tout le système buccal, ça sent pas trop bon, que c'est une perte de temps - et de vie - et bla-bla-bla. Je reconnais qu'une bonne information aide à avancer dans la vie, mais dans ce cas, la dépendance est beaucoup plus forte que son désir actuel d'arrêter. Et il ne veut pas entendre parler, voir des images.
Les effets lui passent 10 pieds au-dessus de sa tête, vu que le plaisir est de loin plus grand que toutes les belles images dégueux, les études scientifique que sa mère "américaine proprette" lui envoit par la poste.
Ça doit faire 33 ans qu'il fume... et je comprends (oui, oui, c'est vrai) qu'une personne qui fume ne veuille pas arrêter.
Je suis d'accord avec woulf: c'est lui et lui seul qui prendra sa décision, si jamais il la prend sérieusement. Mais c'est pas dit que je vais suivre sa dépendance encore très longtemps. Je lui ai dit: je ne m'occuperai pas de lui s'il se tape un cancer lié à la cigarette. J'ai une famille entière de fumeurs, un père mort de ça, alors, non, pas encore.
("Oui, mais tu le savais qu'il fumait quand tu l'as marié? Assume, alors...
").
La cig, c'est vraiment difficile à assumer. L'important, c'est de ne pas culpabiliser l'autre, parce que ça ne sert à rien. D'ici une semaine, je le rejoins au Ghana et je devrais savoir s'il accepte d'essayer d'arrêter de fumer.
(bon, en plus, j'avais dit que je ne venais plus pourrir votre fil de fumeur... mais il y a eu réponses, difficile de résister
).