10.12 Sierra Clé bootable 10.6

swake29

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1 Juin 2016
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Bonsoir, j'ai un Macmini late 2009 qui m'avais été livré (occasion) avec OSX 10.6 sans lecteur dvd.

J'ai voulu à titre d'expérimentation tester une clé Live Ubuntu, mais erreur de ma part je l'est installé.

Je voudrais revenir sous OSX 10.6 mais je n'arrive pas à créer une clé bootable que ce soit à partir d'un .dmg et pas plus d'un .iso.

Nombreux tuto parle de l'utilisation de l'Utilitaire de disque mais ces tuto sont ancien et l'Utilitaire de disque sous Sierra n'y ressemble plus vraiment et ça ce solde à chaque fois par un échec.

Par contre me serait t'il possible d'y installer Sierra et ensuite Snow Leopard car pour Sierra j'ai une clé bootable que j'ai réalisé avec Diskmaker?

En vous remerciant par avance :)
 
Salut swake

- Réponse canonique :

Contre un modeste investissement (une vingtaine d'euros) > tu peux acheter sur l'AppleStore le DVD d'install universel de «Snow Léopard 10.6.3» ici : ☞Mac OS X 10.6 Snow Leopard

Il te suffirait d'attacher un lecteur de DVD externe USB à ton mini > de le démarrer la touch "alt" tenue pressée pour faire s'afficher l'écran de choix du disque de démarrage > d'insérer le DVD > d'attendre que le boot_manager (gestionnaire de démarrage) ait identifié et affiché le volume monté : Mac OS X Install DVD > de choisir ce volume > et de démarrer dessus.

Ne pas oublier de choisir à l'écran qui le propose : "Installation personnalisée" > afin de cocher les installations optionnelles de «Rosetta» (émulateur de code PPC) et de «QuickTime».

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- Réponse garage :

Supposons que tu sois sur un autre Mac dans l'environnement de macOS «Sierra» > avec à ta disposition un DMG d'install et une clé USB de 8 Go au moins.

Dans l'«Utilitaire de Disque» de «Sierra» > tu choisis le disque global de la clé et le menu "Effacer" > tu optes pour : Schéma de partition GUID > format OS X étendu > nom = CLE (sans accent) > et tu initialises ta clé.

Tu montes d'un double-clic ton DMG et je vais supposer que l'intitulé du volume monté est identique à celui du DVD d'install = Mac OS X Install DVD.

Tu vas à : Applications > Utilitaires > tu lances le «Terminal» > dans la fenêtre qui s'ouvre > tu saisis la commande suivante :
Bloc de code:
sudo asr restore -s /Volumes/Mac\ OS\ X\ Install\ DVD -t /Volumes/CLE --erase --noprompt
et ↩︎ (presse la touche "Entrée" du clavier pour activer la commande) --> une demande de password s'affiche (commande sudo) --> tape ton mot-de-passe admin à l'aveugle - aucun caractère ne se montrant à la frappe - et derechef ↩︎

Cette commande appelle en droits root (sudo) > l'utilitaire 100% Apple asr (apple_software_restore) > avec le verbe restore (restaurer) > les indications de la source (-s) et de la cible (-t) > et les 2 options : reformater le volume de la clé (--erase) et ne pas demander d'autorisation à l'opérateur pour ce faire (--noprompt).

Voici un procédé décomposé pour saisir la commande sans faute : tu commences par un copier-coller du départ de commande :
Bloc de code:
sudo asr restore -s
et tu sautes un espace avec la barre d'espacement du clavier > tu fais alors un glisser-déposer direct du volume monté de ton DMG > ce qui va inscrire automatiquement le chemin à ce volume pour donner quelque chose comme :
Bloc de code:
sudo asr restore -s /Volumes/Mac\ OS\ X\ Install\ DVD
avec un saut d'espace automatique en sortie > tu tapes alors
Bloc de code:
-t
et tu sautes un espace > puis tu fais un glisser-déposer direct du volume monté CLE de ta clé > ce qui donne quelque chose comme :
Bloc de code:
sudo asr restore -s /Volumes/Mac\ OS\ X\ Install\ DVD" -t /Volumes/CLE
avec saut d'espace automatique en sortie > tu termines la commande par un copier-coller de :
Bloc de code:
--erase --noprompt
> ce qui te donne la commande complète :
Bloc de code:
sudo asr restore -s /Volumes/Mac\ OS\ X\ Install\ DVD -t /Volumes/CLE --erase --noprompt
et tu l'exécutes.

Un clonage intégral, au nom de volume près, va être opéré du volume du DMG sur le volume de la clé > en mode bloc > avec bénédiction finale du volume de la clé le rendant détectable par le boot_manager et choisissable par l'utilisateur. L'opération est assez longue mais impeccable > tu obtiens en sortie une clé d'install démarrable de «Snow Léopard» pour autant que le DMG source soit une image-disque conforme du DVD d'install retail (universel) de «Snow Léoapard».

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Formater la clé USB en hfs+ avec une table de partition GUID.

Ensuite restaurer sur la clé, avec utilitaire disque, l'image du DVD d'install de SnowLeopard.

On doit aussi pouvoir cloner l'image disque du DVD montee sur le bureau vers la clé USB avec SuperDuper ou CarbonCopyCloner.

(Je n'avais pas encore lu la prose de Macomoulage :coucou: qui dit la même chose mais de façon beaucoup plus précise et détaillée...)
 
Merci pour vos réponses. J'ai essayé vos différentes solutions mais sans succès donc j'ai fini par en conclure que ma clé était défectueuse malgrès que je m'en serve régulièrement, elle fait 32Go donc je ne sais pas si cela à une importance?

J'ai pris une de 8Go est ça a fonctionné du premier coup...

Sur la photo ci dessous, pouvez vous me dire pourquoi deux lignes apparaisse pour représenter une clé USB? Je parle de celle nommé SanDisk Cruzer S... et Boot.

J'ai essayé de formater l'une ou l'autre mais sans savoir pourquoi?

 
Que ce soit une clé ou un disque, il y a 2 partie :
1) partie Physique
2) partie Logique.
Pour la clé la partie Physique est "SanDisk..." et l'opération que tu peux faire dessus est "Effacer"
La partie Logique est la partition boot qui elle peut être formatée ou restaurée.
 
J'y vois deja plus claire. Mais quelle intérêt de partitionner un volume en ..... un seul volume???
Quand on partionne c'est pour créer au moins deux partions, en dessous y'a aucun intérêt.
 
Bonjour swake

quelle intérêt de partitionner un volume en ..... un seul volume???
Quand on partionne c'est pour créer au moins deux partions, en dessous y'a aucun intérêt.

L'opération qu'on appelle « partitionner » consiste foncièrement à inscrire une table de partition sur l'en-tête du disque qui constitue son secteur d'amorçage. Une table de partition consiste en descripteurs de l'espace global du disque > descripteurs consignant pour l'essentiel : l'emplacement local des partitions (de tel n° de bloc = commencement à tel n° de bloc = fin) et le type de partitions (leur association à un format-type de système de fichiers permettant de monter un volume). La table de partition GPT (GUID Partition Table) typique des disques Mac a ses descripteurs sur les bloc 1 à 32 de l'en-tête d'un disque > et possède un backup (sauvegarde) sur les 32 derniers blocs du même disque.

À supposer donc qu'il n'y ait sur un disque qu'un seul espace global sur lequel monte un volume > est-il pertinent de parler de partition ? - oui, toujours, car cet espace global sur lequel monte ledit volume n'est jamais égal à la totalité du disque > puisque les 32 premiers blocs restent en-dehors de cet espace pour accueillir la table de partition > dont les descripteurs seuls font exister le reste de l'espace global du disque en tant que partition (et les 32 derniers blocs du backup sont aussi en-dehors). Partition : càd. alignement de blocs du disque compris entre 2 limites et géré par un système de fichiers comme un container-disque > sur lequel monte un volume.

Si l'espace global sur lequel monte le volume n'avait pas de bords (de limites de blocs) > alors ce ne serait pas un container-disque. Pour qu'il ait des bords (des limites de blocs) > il faut qu'il ait un dehors où résident les descripteurs de la table de partition fixant de l'extérieur les limites (les bords) de cet espace. La notion de « partition » (espace-container délimité par des bords et associé à un type de système de fichiers permettant le montage d'un volume) est donc consistante et non absurde.

De surcroît > une table GPT implique toujours une micro-partition (209 Mo) précédant la partition principale du disque : Partition Système de l'EFI > montant un volume EFI > dans lequel puissent résider des fichiers exécutables au démarrage par le Programme Interne du Mac avant tout démarrage du volume de l'OS de la partition principale. Il s'ensuit qu'il y a donc toujours, par défaut, 2 partitions au moins sur un disque interne de type Apple : EFI > Macintosh HD. Et quand tu ajoutes que la partition macOS est toujours flanquée d'une partition de récupération subalterne (650 Mo) > tu obtiens donc un tri-partitionnement par défaut sur un disque interne principal : EFI > Macintosh HD > Recovery HD. Les 2 partitions d'encadrement sont invisibles > car leur type fait qu'elles ne sont pas montées automatiquement et que leurs volumes ne sont donc pas apparents une fois l'OS démarré.

Si tu prends un disque de simple stockage (DDE) > alors la partition principale n'ayant pas de Système > il n'y a pas de Recovery HD. Mais tu as (si la table de partition est GPT) 2 partitions : EFI (invisible) > partition principale sur laquelle monte le volume. Lesquelles ont un double extérieur : celui de la table de partition (32 premiers blocs) et celui de sa sauvegarde (32 derniers blocs).