Coin pour ELisa et Amok ...

Statut
Ce sujet est fermé.
- son corps?
ben j'lai fait empailler! ça fera fuir les moineaux qui bouffent mes poireaux au jardin comme quoi on peut trouver une utilité à n'importe quoi!
 
Amok : non sonny, lorna a reçu une lettre de gribouille ce matin...

Tiens lit...

Sonny : Rien du tout, je l'ai buté en lui faisant manger une recette de barbarella, il était tout vert quand j'ai enterré son corps dans le jardin entre les poireaux et les aubergines...

Personne ne peut réchapper à un plat de barbarella...

Alors lachez moi avec ces conneries !
 
"Et pourtant" dit Amok "on a retrouvé ce matin deux victimes tatouées d'un G sur le front avec une spontex dans la bouche. Les caméras de Veejee n'ont rien enregistré"
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"Oui" renchérit Lorna "et les lapins nains de J-L apportés exprès pour l'occasion et spécialement dressés, n'ont rien pu sentir. Ils semblaient dérangés pas quelque chose
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Lorna : bon, moi je n'en peux plus de ce déguisement de GoldenWoman ... je vais me changer à la salle dde bain, je reviens, à mon retour Sonny, j'espère que tu nous diras enfin ce qui s'est réellement passé.

Image noire ... peu à peu on devine le corps de lorna s'éloignant de la caméra.
 
Elle boite....

SOnny regarde amok en rigolant...

"Alors kiki, on a encore fait des siennes ?"

Ne change pas de sujet répond Amok, faut qu'on sache ce qu'est devenu gribouille.
 
Driiiiiing ..... un appui court mais prononcé sur la sonnette marquait son impatience. Il avait fait toute l'allée sans succès pour vendre ses outils de jardin. Cette porte d'entrée ne semblait pas guère plus prometteuse d'une once de succès, toutefois l'aspect "new orleans" de la facade semblait être énonciateur d'évènements... Finn rappuya sur la sonnette.
 
Un homme ouvrit...

La soixantaine bien sonnée (
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), l'air confiant, peut être même arrogant, c'était amok.

Oui ?

Bonjour, avec un jardin comme le votre, on doit avoir beaucoup de travail, j'ai ici de quoi vous faciliter la vie...voulez vous que en discuter ?

Ben c'est que...Amok regardait derrière lui l'air interrogateur...
 
Lorna étant indisponible, sonnyboy bourrait sa pipe (
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)...

Il ne répondit pas à Amok, qui se décidait à faire entrer le vendeur afin de ne pas éveiller ses soupçons.
 
COUPEEEEEZZZZZZ !....
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on dirait un remake de FARGO !
c'est un film d'amour...on s'égare là...
Amok revient...ELISA aussi...bon mes cocos...faut de l'émotion là !
faut que ça vibre !
Alors on reprend.....
...au moment où la porte s'entrouve.....et là je veux voir Elisa attachée au radiateur et baillonnée avec son string Dim !

AKKKKKKKETION !
 
Finn jeta un oeil dans la pièce et son attention s'arrêta sur une paire de bas auto-fixants noués au radiateur en fonte.
Par politesse il ne dit rien mais cela lui rappela de bons souvenirs car lui-même, les soirs de grands sondages réussis
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. Une rougeur diffuse parcourut son visage...
Quand tout à coup un grand bruit parvint de la salle de bain suivit d'un cri de plaisir...
Sonny toujours occupé à bourrer sa pipe se leva interpelé (cela faisait si longtemps que...) le choc fut si violent qu'il s'évanouit...
Amok présentant la participation à un sauvetage, ou autre, se précipita vers la salle de bain et là, il vit le casque de Lorna dans l'évier, de la mousse partout sur le sol et il sentit une odeur étrange dans la pièce.
Lorna avait disparu
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Résumé des épisodes précédents:

Dans une maison de style, Lorna et Amok attendent sonny qui prend sa douche pour se débarrasser des traces de terre accumulées lors de l'enterrement de Gribouille. Celui-ci a en effet été assasiné par Sonny qui a caché le corps dans le potager.

mais Lorna vient de recevoir une lettre du mort. Si le contenu de la missive est encore inconnu, nos héros sont toutefois troublés par un fait d'importance: le cachet de la poste indique que la lettre a été écrite APRES l'assassinat.

Au même moment, la sonnette de l'entrée retentit. l'Amok ouvre et se trouve face à un homme qui prétend s'appeller finn et vendre des outils de jardin. Alors que le canis lupus essaie de se débarrasser du représentant, son attention est attirée par un bruit dans le couloir. Enjambant le corps de Sonny évanoui, il découvre que Lorna a disparue...
 
Après quelques instants de stupéfaction, l'Amok, sentant une présence dans son dos, se retourne. Finn dont le regard va de Sonny encore évanoui au cafarnaum de la salle de bain, l'interroge:

"Mais que se passe t-il ici?" demande t-il d'un air soupconneux.

Il n'a pas le temps d'en dire plus. Le tondu, remis de ses émotions vient de l'assommer avec la table à repasser.
 
Amok a dit:
Après quelques instants de stupéfaction, l'Amok, sentant une présence dans son dos, se retourne. Finn dont le regard va de Sonny encore évanoui au cafarnaum de la salle de bain, l'interroge:

"Mais que se passe t-il ici?" demande t-il d'un air soupconneux.

Il n'a pas le temps d'en dire plus. Le tondu, remis de ses émotions vient de l'assommer avec la table à repasser.

Pour une fois l'autre morue à bien fait de laisse trainer la table à repasser...dit il en s'épongeant le front...

Tiens, aide moi, on va le mettre en bas, au frais, attrape la corde à linge au passage pour l'attacher...

Amok cherchait la corde à linge tandis que sonny faisait les poches de finn, dans lesquelles il trouva pèle mèle :

- un ciseau à bois
- un ampèremètre
- un oiseau mort
- une patte de lapin
- une carte du "blue fucker" club parisien bien connu
- un panda en peluche
- une boite de 25 magnum 46 de chez Upmann (qu'il confisqua aussitôt)
- un reste de sandwich au thon
- un beretta qu'il confisqua également
 
"Et merde, nous voilà dans de beaux draps", dit l'Amok.
"Bon, puisque Monsieur dort pendant que tout se passe, j'aimerais que tu mates dans la salle de bain: Lorna la gracieuse a disparue. Et dis moi ce que tu comptes faire du vendeur d'encyclopédies que tu as assomé si promptement".
 
Lorna disparue ???

Peux pas s'empêcher de faire chier celle là...

Il va dans la salle de bain...

Pendant ce temps le regard de l'amok est attiré par un papier depassant de la chaussure de finn...
 
....avec méfiance, il pousse la porte de la salle de bain...la brume de hamam se dissipe peu à peu et laisse découvrir une scène surréaliste....

du sol au plafond, sur tous les murs, meubles et objets, la mousse qu'il avait à peine apperçu quelques minutes auparavant tapissait l'ensemble de la pièce...

seul le casque de Lorna, intacte, faisait une tâche de couleur au milieu de cette blancheur irréelle...

..et puis cette odeur...indéfinie...indéfinissable même...à mi-chemin entre le musc du mâle hirsute après un coït éffrené et stérile, et la douceur ennivrante d'un Chanel N°5.....

..comme envoûté par le tableau, il en oublia même ..

QUE LORNA AVAIT DISPARUEEEEE....

" Bon sang c'est quoi ce foutoir...et puis elle est passée où l'autre...."
 
changement de décor.
Une pièce, une grande pièce vide, haute de plafond, les murs et le sol bruts ...
La peinture autrefois blanche avait souffert des marques du temps, de l'humidité...

Seule la lumière du "sortie de secours" trônant au dessus de l'immense porte métallique, donnait un semblant de volume à cet endroit.

Lorna était assise, à même le sol.

Elle regardait tout autour d'elle, elle avait froid.

- Mais qu'est-ce que je fais là ?

Elle ne se souvenait de rien , tout était flou ...
Elle regarda le tailleur sombre qu'elle portait, il était déchiré à certains endroits ...

Elle se revoyait, avec Amok, dans une voiture, peut-être grise, elle ouvre la potière, sonne chez ...

- Chez qui sommes-nous allés ?

Elle fixa les tâches brûnatres sur le mur, en face d'elle. Elles ne pouvaient provenir de l'humidité, difficile de voir la couleur exacte ... au sol, du carrelage, abîmé usé, des évacuations parsemaient le sol.

-Mais où suis-je ?

...

- Sonny !!!!

L'écho de sa voix la glaça sur place.
C'est bien lui qu'ils avaient été voir, elle se souvenait à présent, Gribouille, sa lettre, et puis elle avait eu envie de se changer dans la salle de bain, chez Sonny.

Mais après ?

Plus rien, le trou ...

Elle se remit à fixer les tâches brûnes sur le mur... et pensa : du sang, on dirait du sang !
 
Un rayon de lumière fitrait à peine dans la pièce et bientôt ses yeux s'habituant à l'obscurité, elle s'aperçut que la lumière n'était pas celle un néon de secours, mais celle d'une petite lampe à lumière noire défaillante...
Ceci donnait à ce qu'elle voyait une couleur étrenage et du coup elle n'était plus sûre que les tâches furent du sang. Elle regarda mieux scrutant, mais décidement elle n'était plus sûre de rien.
Et puis elle leva les yeux et vit ce qui lui semblait être les morceaux de sa robe déchirée, accrochés à un fil tendu et tenus par des épingles à linge.
Elle huma et fut prise de nausées car flottait dans la pièce une odeur particulièrement âcre, qui évoquait celle du musc du mâle hirsute après un coït éffrené et stérile, et la douceur ennivrante d'un Chanel N°5..... mélangé à celle de moisi, et de linge pas ou mal lavé.
Dans l'angle de la pièce un gémissement étouffé provenait de quelque chose qui attira son regard, une forme étrange. De quoi pouvait-il bien s'agir? Cela semblait recroquevillé et entouré de mousse blanche...
 
Un sac de toile de jute , solidement fermé d'une ficelle.

Ce sac contenait quelque chose de volumineux... et ce quelque chose semblait gémir, et bouger ...

Mais la mousse l'empêchait de bien y voir...
Tout semblait surréaliste, elle doutait de tout.

Elle s'allongea à même le sol froid, épuisée, elle s'endormit.
 
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