Salut
MLji.
Message tant soit peu
intempestif - désolé.
«
DataRescue 3» fait partie des meilleurs logiciels de récupération de données actuels.
Le programme n'a pas besoin de résider sur un autre disque que le
disque-cible pour fonctionner [
ce à la différence de logiciels comme «DiskWarrior» ou «eDrive» - de «TechToolPro» - qui doivent impérativement démarrer sur un volume bootable indépendant du disque-cible, car ils sont susceptibles de ré-écrire le catalogue de l'OS, ou de déplacer des blocs d'écriture, càd. de modifier la couche d'écriture opératoire du DDI]. Car «
DataRescue 3» ne se propose pas d'intervenir dans le plan d'écriture opératoire du
disque-cible, mais d'aller fouiner, si je puis dire, dans une 'strate' sous-jacente et inopérante, dans son opération de scan.
D'après mon expérience [
et malgré les avertissement de la 'Physique Quantique' qui disent qu'on ne peut observer un domaine quelconque sans le modifier infinitésimalement par la projection de photons nécessaires à son éclairage] - le processus de scan par «
DataRescue 3» est doté d'
innocuité : je n'ai jamais constaté que le plan d'écriture opératoire du
disque-cible ait été affecté/perturbé par cette intervention.
Si donc «
DataRescue 3» peut très bien résider sur le
disque-cible et fait intervenir un processus de scan des données effacées doté d'
innocuité pour le plan d'écriture-opératoire ; néanmoins, il nécessite rigoureusement un «
espace de travail» ('
WorkSpace') indépendant du
disque-cible, où vont être stockées les
informations provisoires du processus de scan, et où vont atterrir éventuellement les '
données de récupération' ultérieures. Ce, parce qu'on a affaire ici à un nouveau
travail d'écriture opératoire, qui ne pourrait intervenir dans le plan d'écriture opératoire du
disque-cible sans en modifier des blocs entiers en les écrasant. Donc si le
disque-cible est le DDI d'un Mac, il faut nécessairement disposer comme '
disque-de-stockage' soit d'une partition indépendante du DDI, soit d'un Disque Dur Externe.
Pendant le processus du scan, un dossier d'
informations provisoires est constitué sur le '
disque-de-stockage' (ou '
espace-de-travail') qui a été désigné en-dehors du
disque-cible, pas plus volumineux en soi que 2 Go environ. Une fois le processus de scan des données effacées accompli (ce qui demande un temps assez long : compter, l'un dans l'autre, un débit d'environ 3 Go/minute), «
DataRescue 3» propose une fenêtre de choix qui ressemble à ceci :
[
Pour administrer la preuve de l'innocuité du processus de scan, j'ai lancé «DataRescue 3» qui réside sur le DDI de mon MacBookPro et je lui ai donné pour cible ce même DDI avec mission de scanner les données effacées - tâche effectuée en un peu plus d'1H30' sans aucune perturbation du plan d'écriture opératoire dudit DDI. Le volume-de-stockage désigné était une partition de mon DDI sur laquelle je range des documents, indépendamment du volume accueillant l'OS et les logiciels.]
Devant l'arborescence complexe affichée par «
DataRescue 3», il vaut mieux faire preuve de
calme et de
doigté. Si comme toi, tu recherches un type très particulier de données effacées (des photos si j'ai bien compris), ne va surtout pas engager une récupération totale des données (qui prendrait un espace-disque considérable sur le
disque-de-stockage). Bascule soigneusement les onglets répondant à tes attentes, donc dans ton cas celui du dossier '
Images' si tu veux inspecter a priori la liste des fichiers récupérables. Si tu n'as pas de sous-choix à faire (par exemple si tu n'avais que des .jpg à récupérer), coche la case en face du dossier '
Images' et lance le processus de reconstruction des données effacées.
«
DataRescue 3» excelle dans la récupération des fichiers images et vidéos notamment. Tu ne devrais pas avoir à regretter beaucoup de pertes à l'arrivée, voire aucune.