Vu le nombre d’amateurs de ce mets délicat — qui peut se savourer chaud ou se déguster froid — je ne peux que vous partager ma recette favorite, tant pour son exécution que son rendu final.
Je tiens cette recette d’un collègue cher (en tous cas mieux payé que moi) que nous appellerons A[…]k. Les ingrédients sont faciles à trouver et relativement bon marché. La préparation est elle aussi plutôt simple. Cependant, comme souvent en cuisine, tout est dans le tour de main (et, parfois, la poigne comme nous le verrons plus loin).
La beauté de la recette tient donc beaucoup en ceci : il ne faut pour la réaliser qu’un sujet mâle complété par un pot de peinture blanche — pour un meilleur résultat, choisir plutôt un fini brillant.
La préparation consiste à se saisir des attributs du sujet, à les tremper généreusement dans la peinture blanche (en s’assurant que celle-ci recouvre bien toute la peau). Enfin — et c’est là que la poigne prend toute son importance — il reste à saisir fermement chacune de ses parties et de les glisser rapidement dans ses conduits auditifs.
Quand tout cela est bien exécuté, le résultat est à la fois un délice pour les yeux et un régal pour les oreilles.
Mon seul regret c’est que c’est un peu bref : l’évanouissement du supplicié (car quelques esprits chagrin qualifient cette préparation de supplice de l’iPod) survient souvent après quelques pas de danse accompagnés de la mélodie, aiguë, s’échappant fortement de sa gorge.
Quoiqu’il en soit, c’est incomparable à la fausse douceur de bien des boules vertes et la rustre aigreur de pas mal de boules rouges.
Tout ça pour dire : le prochain qui ouvre un fil dans le coin, c’est-à-dire le bar, à propos d’une fonctionnalité du forum relative aux points de réputation il aura droit, en plus de toute ma considération, à une démonstration de la recette et ce en première loge.
Merci de votre attention.
Je tiens cette recette d’un collègue cher (en tous cas mieux payé que moi) que nous appellerons A[…]k. Les ingrédients sont faciles à trouver et relativement bon marché. La préparation est elle aussi plutôt simple. Cependant, comme souvent en cuisine, tout est dans le tour de main (et, parfois, la poigne comme nous le verrons plus loin).
La beauté de la recette tient donc beaucoup en ceci : il ne faut pour la réaliser qu’un sujet mâle complété par un pot de peinture blanche — pour un meilleur résultat, choisir plutôt un fini brillant.
La préparation consiste à se saisir des attributs du sujet, à les tremper généreusement dans la peinture blanche (en s’assurant que celle-ci recouvre bien toute la peau). Enfin — et c’est là que la poigne prend toute son importance — il reste à saisir fermement chacune de ses parties et de les glisser rapidement dans ses conduits auditifs.
Quand tout cela est bien exécuté, le résultat est à la fois un délice pour les yeux et un régal pour les oreilles.
Mon seul regret c’est que c’est un peu bref : l’évanouissement du supplicié (car quelques esprits chagrin qualifient cette préparation de supplice de l’iPod) survient souvent après quelques pas de danse accompagnés de la mélodie, aiguë, s’échappant fortement de sa gorge.
Quoiqu’il en soit, c’est incomparable à la fausse douceur de bien des boules vertes et la rustre aigreur de pas mal de boules rouges.
Tout ça pour dire : le prochain qui ouvre un fil dans le coin, c’est-à-dire le bar, à propos d’une fonctionnalité du forum relative aux points de réputation il aura droit, en plus de toute ma considération, à une démonstration de la recette et ce en première loge.
Merci de votre attention.