Marie Laure Tronchasse.
Né le 31 Décembre 1973 à l'hôpital comme tout le monde, de parents plutôt pas mal quoi que (fig 1 et 2), rien ne disposait cette petite fille, au destin extraordinaire qui allait être le sien.
Enfance paisible partagée entre la maison familiale de Nouans le Fuzelier et le vaste appartement parisien de son père médecin de campagne à Paris. C'est à 12 ans que le destin de Marie Laure a basculé... alors que son père honorait la bonne en la traitant de morue, comme il a avait coutume de le faire à chaque fois qu'il se vidait les burnes dans une femme de basse extraction, elle entra dans le bureau de son père pour lui demander comment ça s'écrit "sodomie", car elle écrivait une carte postale à sa grand mère...
Les yeux embués de larme, Marie Laure vit que son père ne portait pas son alliance au moment des faits, et pensa aussitôt que celui-ci trompait probablement sa mère avec le tout venant et surtout avec la bonne.
Traumatisée par cette vision atroce, la petite Marie Laure rata ses études primaires, loupa ses études secondaires, et fit une entrée triomphale à la mairie de Nouans le Fuzelier ou sa mère avait quelques relations.
Pourtant, jamais elle n'oublia l'image de son père lamentablement arrimé à la bonne espagnole dont les cris ressemblaient à ceux d'un chat qu'on a gonflé avec une pompe à vélo (me demander pour les détails, je peux m'expliquer à ce sujet...)
En 1983 elle rencontra
l'amok, qui, fatigué par un WE agité avec Raquel Welch et Mimi Mathy ne lui prêta pas la moindre attention lorsqu'elle chuta devant lui à la gare d'austerlitz en essayant d'attraper le train 12h12 qui va a Nouans le Fuzelier sans s'arrêter à la motte Beuvron parce que c'est trop chiant y a que des paysans.
C'est après plusieurs années d'une vie sans relief, ou les quolibets de ses collègues succédaient aux jets de pierres des enfants de ses voisins qu'elle décida de se prendre en main. Un matin d'automne elle entra dans le bureau de son chef de service à la mairie.
"Tiens voilà la gonfle !" lui dit il en riant...
Elle fondit en larme, et se mis à uriner bruyamment sur la tapis, là, devant tout le monde.... Celui-ci prit de pitié la gifla violemment avant de la forcer sur son bureau, en lui chantant l'air "des matelassiers" si cher à Berurier... elle lui dit que "oh oui oh oui" tout ça, il lui dit "raaah je suis dieu !!!" et leur étreinte pris fin dans un feulement rauque du voisin qui venait de se mordre la joue en bouffant de la tête de veau.
Depuis ce jour marie Laure n'est plus surnommée "la gonfle" par ses collègues de travail, en effet, maintenant on l'appelle "sac à foutre" et il est bon ton de passer la voir à son bureau en fin de journée pour lui fouetter le visage avec son..................... mouchoir.
Vous avez certainement autour de vous une Marie Laure Tronchasse, qui voudrait bien une bonne fessée phallique de temps en temps, sachez la reconnaître, et faite lui le plaisir de la culbuter avec le vrai grand numéro, celui qu'on fait lors de la dernière représentation, celui ou il y a la
pendulette borgne,
le mazoutier qui pue,
la coquine quinenveut, et bien sur le clou du spectacle le
sous prefet se tripote...
Je vous remercie de votre attention, et vous donne rendez vous une autre fois pour la vie extraordinaire Jacques Faizant.