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A
Anonyme
Invité
on va éviter de poster une photo juste derrière, parce que là..:eek::eek:
Merci, mais j'ai vu de bien belles images dans les pages précédentes, alors ne m'ôtes pas le plaisir d'en regarder de nouvelles !
Ce qu'il y avait de bien avec l'argentique, c'est qu'il était possible de s'amuser avec des lumières mélangées d'une façon bien plus "naturelle".
Olympus OM2n, Fujichrome 400 / lumière artificielle (éclairage public).
aha… superbes monolythes dans ces deux dernières pages (et même aussi avant)
bin moi j'en ai un peu en argentique aussi, donc pour bientôt (quand je recevrai mon DD externe, je pourrai enfin scanner tout ça)
bin moi j'en ai un peu en argentique aussi, donc pour bientôt (quand je recevrai mon DD externe, je pourrai enfin scanner tout ça)
A
Anonyme
Invité
D'abord un GRAND MERCI (:love: ) à tous pour vos contributions. Je suis stupéfait de voir à quel point ce thème vous inspire et découvre avec émerveillement toutes les pistes que vous avez ouvertes !
En ouvrant ce fil, je ne savais pas comment il allait évoluer, si le thème n'était pas trop fermé. Il n'en est rien : grâce à vous !. :zen:
Vos images m'inspirent des réflexions qui ne m'étaient pas venues jusqu'ici, bien que la figure du monolithe, vous l'avez compris, m'obsède depuis longtemps...
Par exemple la superbe série d'Amok nous montre différents exemples d'architectures et qui nous posent les questions suivantes : "Jusqu'où la figure du monolithe est-elle assumée ? Jusqu'où l'architecture cherche-t-elle à s'en écarter ?". La réponse - ou son début - se situe peut-être dans une question de degré entre l'opacité et la transparence.
Ainsi les buildings de Montréal sont des Monolithes percés de toutes part. Tous ses grand buildings de verre, reflétant le ciel, constellés d'ouvertures, ne cherchent-ils pas à faire oublier leur matérialité monolithique ? En revanche, la photo du bâtiment montrée en post 122, même si quelques ouvertures sont présentes, reste pour moi un monolithe. Les traces des coffrages de béton évoquent une "brutalité" presque originelle. Et en nous montrant des églises (Marco : c'est pas Ste Melaine ?) Marco et Alèm ne nous disent-ils pas que toute architecture dérive du monolithe ?
) à tous pour vos contributions. Je suis stupéfait de voir à quel point ce thème vous inspire et découvre avec émerveillement toutes les pistes que vous avez ouvertes !En ouvrant ce fil, je ne savais pas comment il allait évoluer, si le thème n'était pas trop fermé. Il n'en est rien : grâce à vous !. :zen:
Vos images m'inspirent des réflexions qui ne m'étaient pas venues jusqu'ici, bien que la figure du monolithe, vous l'avez compris, m'obsède depuis longtemps...
Par exemple la superbe série d'Amok nous montre différents exemples d'architectures et qui nous posent les questions suivantes : "Jusqu'où la figure du monolithe est-elle assumée ? Jusqu'où l'architecture cherche-t-elle à s'en écarter ?". La réponse - ou son début - se situe peut-être dans une question de degré entre l'opacité et la transparence.
Ainsi les buildings de Montréal sont des Monolithes percés de toutes part. Tous ses grand buildings de verre, reflétant le ciel, constellés d'ouvertures, ne cherchent-ils pas à faire oublier leur matérialité monolithique ? En revanche, la photo du bâtiment montrée en post 122, même si quelques ouvertures sont présentes, reste pour moi un monolithe. Les traces des coffrages de béton évoquent une "brutalité" presque originelle. Et en nous montrant des églises (Marco : c'est pas Ste Melaine ?) Marco et Alèm ne nous disent-ils pas que toute architecture dérive du monolithe ?
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