Tu peux télécharger l'installateur de
gdisk ici : ☞
GPT fdisk☜. Un double-clic sur l'installateur installera l'exécutable binaire at :
/usr/sbin/gdisk.
Cela fait > tu peux l'appeler en ligne de commande dans le «
Terminal» (
Applications >
Utilitaires). Voici comment procéder -->
tous les disques qui t'intéressent attachés à ton Mac > tu saisis d'abord une commande informative :
et ↩︎ (presse la touche "
Entrée" du clavier pour activer la commande)
- cette commande appelle l'utiltaire diskutil (disk_utility : utilitaire de disque - le même qu'emploie en mode graphique le logiciel «Utilitaire de Disque») > avec le verbe list (lister) ;
- en retour > s'affiche le tableau de tous les disques attachés au Mac (en interne / externe) > avec leurs tables de partitions > et leurs partitions décrites en : format > nom de volume > taille > identifiant d'appareil.
Le retour de cette commande te permet de connaître l'identifiant d'appareil (
device) du disque qui t'intéresse. On va supposer que c'est
/dev/disk1 = dans le registre des
dev(
ices) > le disque n°
1 ou second disque monté par le
kernel (le premier disque est le disque n°
0).
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Nantie de cette information > tu peux appeler
gdisk dans une commande inaugurale qui aura toujours la forme :
et ↩︎ --> une demande de
password s'affiche (commande
sudo qui te fait emprunter l'identité de l'utilisateur
root ou
System Administrator) --> tape ton mot-de-passe de session admin à l'aveugle - aucun caractère ne s'affichant à la frappe - et ↩︎ de nouveau.
(si le disque qui t'intéresse était le
disk3 > évidemment tu modifierais le n° du disque en fin de commande)
- Cette commande fait scanner automatiquement par gdisk les tables de partition du disque-cible dont le tableau s'affiche. Une invite de commande interactive s'inscrit à la fin qui est :
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Je te suggère > pour apprendre à connaître les possibilités offertes par
gdisk > de taper d'abord
? et de valider par ↩︎ --> ce qui va afficher l'ensemble des commandes possibles du Menu "
standard". J'attire ton attention sur la commande
b -->
Bloc de code:
b back up GPT data to a file
Si tu tapes :
b et ↩︎ --> tu obtiens le retour :
Bloc de code:
Enter backup filename to save:
(saisissez le nom du fichier de sauvegarde) --> tu saisis ce que tu veux, par exemple :
et ↩︎ --> ce qui affiche le retour :
Bloc de code:
The operation has completed successfully.
Un fichier
disk1 GPTSAVE se trouve créé à la
racine de ton dossier de compte.
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Ayant récupéré l'invite de commande > tu peux poursuive ta balade. Si tu tapes
r et ↩︎ --> tu obtiens l'invite de commande modifiée :
Bloc de code:
Recovery/transformation command (? for help):
te signalant que tu es dans le mode
Recovery de
gdisk. Si tu tapes
? et ↩︎ --> tu vois alors s'afficher les commandes possibles du Menu "
récupération". J'attire ton attention sur la commande -->
Bloc de code:
l load partition data from a backup file
Si tu saisis
l (minuscule de "
L") et ↩︎ --> tu obtiens la demande :
Bloc de code:
Enter backup filename to load:
(
gdisk ne cherchant qu'à la racine du dossier de compte) --> si tu saisis :
et ↩︎ --> tu récupères l'invite de commande sans commentaire.
Voici la signification : l'opération "reconstruire la
GPT du
disk1 d'après le fichier de sauvegarde
~/disk1 GPT SAVE" a été
mise en cache de l'application. Il s'agit donc d'une tâche
virtuelle. Rien n'a encore affecté actuellement (effectivement) les écritures du disque.
Si tu veux qu'une opération que tu as ainsi programmée et qui a été mise en cache
s'actualise logiquement au disque > tu dois saisir la commande :
(
write table to disk and exit) et ↩︎ -->
gdisk te propose dans la plupart des cas une demande de confirmation > et si tu valides par
y et ↩︎ --> exécute avec le commentaire que le
kernel (noyau de l'OS en exercice) ne va pas adapter automatiquement son chargement des volumes sur les partitions d'après l'ancienne table
GPT à la nouvelle inscrite (résilience de la prise en charge) => il faut donc
détacher le disque concerné > puis le
ré-attacher > pour que le
kernel charge la distribution de la nouvelle table de partition
GPT.
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Si au lieu d'exécuter une commande au disque > tu avais tapé
x et ↩︎ --> tu aurais obtenu une 3è invite de commande :
Bloc de code:
Expert command (? for help):
signifiant que tu es passée dans le mode
Expert de
gdisk. Saisir
? et ↩︎ --> affiche alors les commandes possibles du Menu "
expert".
Ça devient un tantinet abscons > mais si tu tapes :
(
verify disk) et ↩︎ --> tu obtiens un retour éclair sur la
validité de la table de partition du disque.
Pour
quitter gdisk > taper
q (
quit) et ↩︎ --> ce qui ramène l'invite de commande normale du «
Terminal» que l'on peut fermer.
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Je n'ai jamais essayé d'utiliser
gdisk dans le «
Terminal» de «
Snow Léopard» : il ne fonctionne peut-être pas avec cet OS déjà ancien.
Je conseille instamment de s'exercer avec
gdisk en prenant pour disque-cible une
clé USB dédiée à cette expérimentation.
Cet exécutable a été créé par
Roderick Smith (le développeur du gestionnaire de démarrage
rEFInd) et offre des possibilités puissantes. Il intervient sur les tables de partitions de disque > et pas sur les systèmes de fichiers de partitions. Mais il est capable de manipuler les
types logiques des partitions > ce qui peut permettre de récupérer un volume inmontable parce que le type de la partition a été modifié accidentellement dans la table de partition. Restaurer le type originel de la partition peut permettre le remontage du volume.