D'abord, il est BEAU !
Ensuite, c'est pareil que WinXP (ben oui : un butineur, un gestionnaire de mail, un paneau de configuration système, etc.), et pourtant tout est différent. Comment ça ? Venant du monde wintel, tendance bidouilleur et explorateur de base de registre, je m'attendais certes à quelque chose de différent : cette légendaire intuitivité, cette simplicité réputée, etc.
Ces qualités sont bien là, le contrat est respecté.
Mais en fait, la différence n'est pas là. C'est l'expérience globale qui diverge totalement. L'accumulation de toutes les petites différences qui produit un tout autre rapport à l'ordinateur. En une soirée, c'est difficile de préciser le pourquoi d'une première impression, diffuse et pourtant évidente.
Un exemple : je craignais de perdre mes repères avec une interface à barre de menu unique immobile, avec le moindre usage du clic droit, avec ces fenêtres qui ne sont pas conçues pour prendre toute la surface de l'écran.
Or, bizarrement, moins de façon de faire, moins de sophistication se traduisent par une plus grande facilité à faire et par une plus grande richesse de l'interaction avec la machine. Quelque chose à voir avec la logique, la cohérence.
Autre exemple : l'interface est moins "rapide", "réactive" que WinXP (sur les wintel actuels en tout cas). Mais c'est plus agréable ! Comme si la machine, prenant un peu plus son temps (une petite animation inutile par la, un joli effet par ici), n'imposait pas du coup son rythme à l'homme.
C'est moins stressant. Les quelques dizièmes de secondes construits dans l'interface permettent de se projeter dans l'univers mental de la tâche qui va suivre. La machine ne me devance pas, nous progressons ensemble. (j'ai un PB 1,5 Ghz, c'est pas une question de lenteur ; )
Là encore, l'expérience utilisateur diffère, pour des raisons qui ne paraîtraient pas, a priori, prévisibles. Résultat : après 4 heures de switch, ça me paraît une évidence, j'ai toujours eu un mac.
Ensuite, c'est pareil que WinXP (ben oui : un butineur, un gestionnaire de mail, un paneau de configuration système, etc.), et pourtant tout est différent. Comment ça ? Venant du monde wintel, tendance bidouilleur et explorateur de base de registre, je m'attendais certes à quelque chose de différent : cette légendaire intuitivité, cette simplicité réputée, etc.
Ces qualités sont bien là, le contrat est respecté.
Mais en fait, la différence n'est pas là. C'est l'expérience globale qui diverge totalement. L'accumulation de toutes les petites différences qui produit un tout autre rapport à l'ordinateur. En une soirée, c'est difficile de préciser le pourquoi d'une première impression, diffuse et pourtant évidente.
Un exemple : je craignais de perdre mes repères avec une interface à barre de menu unique immobile, avec le moindre usage du clic droit, avec ces fenêtres qui ne sont pas conçues pour prendre toute la surface de l'écran.
Or, bizarrement, moins de façon de faire, moins de sophistication se traduisent par une plus grande facilité à faire et par une plus grande richesse de l'interaction avec la machine. Quelque chose à voir avec la logique, la cohérence.
Autre exemple : l'interface est moins "rapide", "réactive" que WinXP (sur les wintel actuels en tout cas). Mais c'est plus agréable ! Comme si la machine, prenant un peu plus son temps (une petite animation inutile par la, un joli effet par ici), n'imposait pas du coup son rythme à l'homme.
C'est moins stressant. Les quelques dizièmes de secondes construits dans l'interface permettent de se projeter dans l'univers mental de la tâche qui va suivre. La machine ne me devance pas, nous progressons ensemble. (j'ai un PB 1,5 Ghz, c'est pas une question de lenteur ; )
Là encore, l'expérience utilisateur diffère, pour des raisons qui ne paraîtraient pas, a priori, prévisibles. Résultat : après 4 heures de switch, ça me paraît une évidence, j'ai toujours eu un mac.