[IMP] Questions choix imprimante jet d'encre couleur A3 PostScript

matmiev

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19 Décembre 2000
151
1
C’est après conseils dans un post du forum périphériques que je m’oriente vers celui-ci concernant l’achat d’une imprimante A3 couleur jet d’encre.

Si le choix d’une marque et d’un modèle spécifique peut répondre à des critères subjectifs, j’aimerai cependant recueillir quelques informations sur certains critères techniques.


Mes besoins :

du trait, puisqu’il s’agit d’imprimer des partitions musicales dans des formats intermédiaires A4-A3, pouvant comporter des sections couleur, voire des illustrations, l’objectif étant de produire des BAT avec traits de coupe pour un éditeur (et son imprimeur) ; le volume sera nécessairement restreint à moins de 500 épreuves mensuelles, les sorties de contrôle s’effectuant sur une Laser monochrome.


À titre indicatif, voici les modèles (PostScript) ayant retenu mon attention (bien que l’on m’ait recommandé l’Espon 1520 PS) : Epson 1290 (600 EUR env.), Epson 2100 (1700 EUR env.), HP 1700 (900 EUR env.) et HP 2600 (1600 EUR env.).



Mes questions :

1) En préambule, quelqu’un connaît-il l’adresse d’un revendeur compétent en matière de matériel d’impression pour les travailleurs indépendants et autres petites entreprises ? (en dehors des traditionnels IC, CLG, etc.)

2) Une résolution élevée est-elle un facteur déterminant, même lorsque les travaux ne comportent qu’exceptionnellement des photos (traits, illustrations) ? J’ai besoin de 1200 ppp quel que soit le type de document (noir, monochrome, couleur…).

3) Certaines technologies d’impression sont-elles plus avantageuses ou plus prometteuses (selon les constructeurs) ?

4) Le nombre de buses est-il lui aussi un critère important (leur nombre par tête d’impression oscille entre 48 et 96 chez Espon, contre 304 chez HP) ou n’a-t-il aucune incidence sur la qualité du résultat ?

5) Il me paraît logique que les cartouches couleur séparées constituent un plus indéniable lorsque l’on imprime peu : les HP retenues proposent toutes deux les 3 couleurs en 3 cartouches séparées ; l’Espon 1290 est éliminée d’office (5 couleurs en 1 cartouche), tandis que la 2100 emploie 7 cartouches couleur !

6) Si le prix de l’encre est relativement plus élevé chez HP (46 EUR par couleur, contre 30 EUR pour l’Epson 1290 et 20 EUR pour la 2100), reste la question des têtes d’impression (48 EUR l’unité chez HP) dont on ne trouve mention dans la doc Epson : à quelle fréquence convient-il de changer de tête d’impression (cela a une incidence certaine sur le prix de revient à la page) ?

7) Concernant la connectique, seule l’Epson 2100 se distingue du lot avec USB 2 et FireWire, mais est-ce une réelle valeur ajoutée ?

8) Reste la question épineuse du PostScript : l’option engendre un surcoût de 140 EUR pour l’Epson 1290 et de 250 EUR pour la HP 1700 ; la HP 2600 à 1600 EUR l’intègre en série, tandis qu’il faut débourser 750 EUR pour équiper l’Epson 2100 d’un RIP PostScript (soit 1700 EUR au total). Question : faut-il privilégier les RIP constructeur ou opter pour une solution autre (de type PowerRip 2000, mais là, je n’y connais rien…) ?



Au final, on obtient donc une Epson 1290 sans cartouches couleur séparées mais peu chère, une HP 1700 qui semble remplir toutes les conditions, une HP 2600 au tarif plus élevé et davantage tournée vers les groupes de travail et l’impression de volumes plus élevés, et une Epson 2100 qui semble parfaite (résolution, cartouches séparées, technologie des gouttes d’encre variables, FireWire, etc.), mais dépassant allègrement les 1500 EUR.


À l’heure où je dois aller voir ma conseillère financière ;-), il me faudrait trouver le compromis tant du point de vue de l’investissement, que du coût d’utilisation et de la qualité offerte.


Merci de votre attention et pour vos réponses à venir.

Cordialement,

Laurent MATHIEU – gravure musicale informatisée



PS : et je ne parle pas de la compatibilité avec 10.2.3 qui semble donner l’avantage à HP, mais cette question est à prendre en compte si l’on envisage une migration prochaine de l’OS de production (9.2.2) vers l’Unix d’Apple (mal adapté pour travailler, tous les logiciels nécessaires n’étant pas encore portés, mais c’est un autre débat ;-)


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G4 400 AGP, 256 RAM, 60 Go, OS 9.2.2 et 10.2.3, LW 16/600 PS (logiciels : Finale 2001fr, Illustrator et -prochainement- XPress...)
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par matmiev:</font><hr /> 5) Il me paraît logique que les cartouches couleur séparées constituent un plus indéniable lorsque l?on imprime peu : les HP retenues proposent toutes deux les 3 couleurs en 3 cartouches séparées ; l?Espon 1290 est éliminée d?office (5 couleurs en 1 cartouche), tandis que la 2100 emploie 7 cartouches couleur !

[/QUOTE]

Je suis l'heureux possesseur d'une epson photo 1200, photo 890 et photo 1290 et d'un rip power rip 2000. je ne connais pas les HP (quand je me suis équipé de ma 1200, HP ayant décidé que le mac était fini ne livrait plus d'imprimantes compatibles, ils ont changé d'avis mais mes clients et moi étions alors tombé sous le charme d'epson
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)

J'ai testé les rips epson et je me croyais guéri à vie mais iproof commence à me chatouiller un peu... alors si epson fait des efforts et comme le système X est pas vieux, ils ont du tout reprendre au début donc peut-être....

Le rip 2000 date un peu et n'est compatible qu'avec le système 9, iproof vient de sortir une version X qui me parait assez floue en spécifications. Je vais la tester mais je sens le coup foireux...

La résolution : je ne vais jamais au delà de 720 dpi. Quand on imprime en 6 couleurs, la trame est de toute façon invisible...

Je change régulièrement mes cartouches, les têtes d'impression sont sur la cartouche : il ne faut rien changer d'autre.

La seule panne que j'ai eu avec ma 1200 après 3 ans, c'est le petit ressort de retour du chariot qui fatigait. Ça a été très vite à changer dans un centre agréé epson pas loin de chez moi.

Depuis xpress (version 5 sous classic) j'imprime sur le rip 2000 qui est installé sur un mac serveur tournant sous 9.0.4. RAS, c'est clean, efficace et assez rapide. Depuis jaguar (appli apperçu) j'imprime directement avec le driver epson. Je suis furieux contre iproof qui ne veut pas livrer de client X pour le rip 2000, il s'agit de mauvaise volonté manifeste. Ils ne répondent pas souvent aux posts et semblent un peu "foullis".

La 1520 ne te donnera pas d'épreuves fiables. Pour moi, c'est une imprimante de production (assez ancienne de surcroît) elle n'a que 4 couleurs, mais ce que tu appelles une épreuve est peut-être moins exigeant que ce que mes clients me réclament ?

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Merci pour la réponse, mais après de nouvelles recherches on ze ouaibe, je me permets de revenir (rapidement) sur les points évoqués (dans l'ordre) :


1) l'adresse d'un revendeur spécialisé, prêt à m'aiguiller en fonction de mes besoins, et qui ne soit pas affilié à une marque en particulier ?

2) "La résolution : je ne vais jamais au delà de 720 dpi. Quand on imprime en 6 couleurs, la trame est de toute façon invisible..." [Vieux Mac-User, le 29/01/03]
Il s'agit ici pour moi de sous-traiter pour un éditeur (jusqu'ici, je travaillais pour des particuliers =&gt; impressions laser 600 ppp) qui m'a expliqué qu'il suffisait de remettre des "épreuves" finales sur papier couché 100g (avec traits de coupe) afin de passer directement au flashage =&gt; pas de remise de fichier informatique, la gravure de partition utilisant trop de caractères particuliers et supposant trop de vérifications avant le BAT.

"ce que tu appelles une épreuve est peut-être moins exigeant que ce que mes clients me réclament ?" [Vieux Mac-User, le 29/01/03]
On m'a donc préconisé du 1200, sans autre précision : s'agit-il de 1200*600 ou de 1200*1200 ? Ces résolutions suffisent-elles pour flasher ?
J'aurais personnellement tendance à vouloir investir dans une machine offrant la plus haute résolution (il vaut mieux plus) : Epson 1290 = 2880*720 dpi, Epson 2100 = 2880*1440 dpi (la plus élevé), HP 1700 = 2400*1200 ppp (le compromis ?), HP 2600 = 1200*600 ppp (la moins élevé, dommage, c'est la plus rapide...).

3-4) Je n'ai rien trouvé quant au nombre de buses...

5) Cartouches séparées : j'ai lu dans un post (Imprimante jet d'encre A3 -

"En ce qui concerne le pb des cartouches, je ne suis pas convaincu que la solution 1 cartouche soit + ou - bien que plusieurs en usage courant... là encore tout dépend du driver et de la technologie utilisée pour fabriquer les couleurs !... J'ai un ami qui a une Xerox multicartouches et nous avons testé l'impression de la même photo jusqu'à ce que ma 740 réclame le changement de la cartouche couleur !... Bilan ? dans le même temps il a renouvellé 4 des ses cartouches couleur dont l'une 2 fois (mais je ne sais plus laquelle): soit 30% + cher !...
En ce qui concerne les cartouches, on trouve maintenant des "fournisseurs génériques" qui respectent les préconisations chimiques des fabricants d'imprimantes (quand ce ne sont pas les premiers qui fournissent les seconds!.. hi hi) je pense, entre autre à Pélikan...
La dernière version des drivers d'EPSON permet des réglages ultra-fins selon beaucoup de critères (dont la qualité papier) et je crois qu'ils sont les seuls à offrir cet éventail..." [Golf, le 20/11/2001]

J'ai également vu qu'il existait des kits encres séparées de grande capacité avec réservoirs externes =&gt; la question des réservoirs séparés reste ouverte ;-)

6) "Je change régulièrement mes cartouches, les têtes d'impression sont sur la cartouche : il ne faut rien changer d'autre." [Vieux Mac-User, le 29/01/03]

Justement au sujet de cette même 1290 (Epson), j'ai lu que ce constructeur n'intégrait pas les têtes aux cartouches et qu'elles étaient fixes, contrairement à HP qui propose de pouvoir les remplacer. Si le surcoût engendré par HP n'est pas à négliger, le non remplacement de têtes usées chez Epson peut être un frein... Dans tous les cas, je pense ne pas excéder les 500 copies par mois, et je présents que faible volume et impressions irrégulières dans le temps ne font pas bon ménage avec les têtes =&gt; nettoyage (Epson) ou changement (HP) ?

7) Là encore, j'ai pu lire que Epson et rapidité ne rimaient pas forcément, mais il s'agissait de photos A3 haute résolution. Par contre, le 2100 (Epson) propose le FireWire (et l'USB2), tandis que la 2600 (HP) peut intégrer une carte éthernet (presque 500 EUR tout de même, c'est bête, l'éthernet, ça me tentait bien !)
Pour le reste, je n'ai pas trouvé les caractéristiques mémoire des Epson, mais les HP sont données pour 16 Mo de RAM et 96 MHz pour la 1700 (ce qui me paraît nécessaire et suffisant, à rapprocher des 8 Mo, 25 MHz de ma LW 16/600... éthernet !). La HP 2600 avec ses 48 Mo RAM et ses deux processeurs [sic] à 160 MHz et 167 MHz doit battre tout le monde : alors une Epson, ça tourne à combien ?

8) Enfin, pour les RIP PostScript, certains préconisent le RIP Epson, tandis que d'autres semblent préférer les RIP installés sur l'ordinateur (de type rip 2000, StyleScript, Ghostscript, Freedom of Press, Adobe Screen Ready, etc.), mais il semblerait que cette solution soit assez lourde et gourmande, sauf dans le cas de Vieux Mac-User avec rip 2000 sur Mac serveur. Ayant une configuration monoposte (et même en passant à 512 Mo RAM), je ne suis pas sûr que ce soit si simple (surtout si l'on tient compte des problèmes de compatibilité OS9/OS10...)


Finalement, je n'ai pas su faire rapide ;-)

Personne ne connaît un bon revendeur ?
En fait, comme je suis assez embêtant avec mes questions, je crois que je vais transbahuter les 11 kg de mon G4 de Reims à l'avenue Daumesnil (Surcouf ;-) et essayer les modèles convoités...


Cordialement,

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Yama : j'ai édité ce post juste pour que le lien soit un mot-lien qui neprovoque pas un élargissement du sujet
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Juste 2 points en passant :

- Il n'y a pas de têtes à changer sur la 1290.

- Le rip PowerRip 2000 permet de doubler la vitesse d'impression sur les imprimantes epson en demandant une impression bidirectionnelle, option désactivée par défaut sur ces imprimantes pour favoriser le séchage entre deux passes. La différence de qualité est pratiquement imperceptible.
 
Je suis assez d'accord avec VMU, quoique j'avoue ne pas tout comprendre dans tes demandes (mais la neige doit me geler les neurones).
Je ne comprend pas ton problème de résolution. Faire du 1200 dpi pour flasher??? Là, ça me dépasse…
Chez moi, quand je flashe, j'envoie les fichiers sur la flasheuse, pas sur le traceur Epson. Je n'imagine pas qu'un imprimeur fasse des films par contact avec des épreuves papiers… ou alors bonjour la qualité.
Lorsque tu réalises des partitions, tu fais ni plus ni moins de la photocomposition. Tu utilises des typos particulières, mais pour un RIP de flasheuse, du sonata ou du futura, c'est du pareil au même.
J'aimerai bien, par curiosité, flasher de la musique, je ne vois pas en quoi c'est plus difficile que de la typo normale.
Bon, en ce qui concerne les imprimantes couleurs, comme le dit VMU, entre une impression à 720 dpi et une impression à 1440 dpi, je ne vois pas la différence.
D'autre part, comme je le soulignais dans un autre post, le fait de changer les têtes d'impression en même temps que les cartouches chez HP est plutôt un désavantage. Du moins, en ce qui concerne le réglage et la calibration de l'imprimante. Car qui dit changement de tête, dit calibration à refaire. Ceci dit, c'est vrai si on cherche une certaine fiabilité dans les couleurs, ce qui n'est peut-être pas ton cas.
Il existe des cartouches compatibles, si on fait de la bureautique, parfait. Si on veut de la fiabilité dans les couleurs, méfiance… Mais là encore, ce n'est peut-être pas trop ton problème.
En ce qui concerne les rip, je ne crois pas que ça soit si lourd. C'est vrai qu'il y a longtemps que je n'ai pas rippé sur un Mac qui ne soit pas dédié à ça. Mais autrefois, il y a longtemps, quand j'étais petit, je rippais avec PowerRip sur le même Mac que celui avec lequel je travaillais. Je n'ai pas souvenir de galères invraisemblables.
Voilà, si tu préciser un peux ta demande, j'aurai peut-être des idées.
Bonne journée.
 
C'est possible que devant la complexité d'un flashage de signes bizarres, on préfère en effet tirer des films par contact. Il y a pas si longtemps, toutes les compos étaient sur bromures. Dans ces conditions, et si c'est pour du trait (noir seul), une résolution élevée sur papier glacé peut être utile.
mais il y a cette histoire de couleurs qui nous embrouille?
 
Pendant que je répondais à Smow, Vieux Mac-User est arrivé...

Je réponds donc à VMU, le message qui suit étant la réponse au précédent...
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</font><blockquote><font class="small">En r&eacute;ponse &agrave;:</font><hr />


[/QUOTE] C'est possible que devant la complexité d'un flashage de signes bizarres, on préfère en effet tirer des films par contact. Il y a pas si longtemps, toutes les compos étaient sur bromures. Dans ces conditions, et si c'est pour du trait (noir seul), une résolution élevée sur papier glacé peut être utile. </font><blockquote><font class="small">En r&eacute;ponse &agrave;:</font><hr />


[/QUOTE]

Tout à fait !!!!

Ce qui explique que l'on m'ait demandé une jet d'encre A3 (pour les traits de coupe) en 1200 dpi, pour imprimer des partitions noir et blanc sur du papier couché 100 g (ClaireFontaine m'a-t-on dit).

</font><blockquote><font class="small">En r&eacute;ponse &agrave;:</font><hr />


[/QUOTE] mais il y a cette histoire de couleurs qui nous embrouille? </font><blockquote><font class="small">En r&eacute;ponse &agrave;:</font><hr />


[/QUOTE]

Parfois les partitions intègrent des cadres de couleurs, voire des illustrations (monochromes ou quadri) =&gt; imprimante couleur

[sic]
 
Merci beaucoup pour vos réponses.
Je réponds à smow.


« Je suis assez d'accord avec VMU, quoique j'avoue ne pas tout comprendre dans tes demandes (mais la neige doit me geler les neurones). »

À Reims, la « snow » n’est pas mal non plus ;-)
Je suis conscient que je pose beaucoup de questions pour pas grand chose, mais, par rapport à la demande de l’éditeur pour lequel je suis sensé commencé à travaillé, je ne voudrais pas commettre d’erreur…
Je tiens par ailleurs à préciser que jusqu’à présent je réalisais ponctuellement des travaux de gravure musicale pour des particuliers, à la demande de compositeurs, de structures de diffusion (théâtre, opéra, orchestre) pour des interprètes définis (soliste, chœur et orchestre).
Maintenant, maîtrise (de musicologie) en poche et concours de DESS râté, je voudrais me lancer dans l’aventure du graveur de musique professionnel (d’où toutes mes questions en ce moment sur les forums ;-), car aucun n’est salarié et tous (ou presque) sont indépendants (lorsqu’ils ne créent pas eux-mêmes leur maison d’édition, cf. les EME, Paris 11).
Après quelques courriers à des éditeurs français (de type Lemoine, Leduc, Salabert et compagnie…), l’un deux a accepté de me confier des travaux (partitions pour piano, orchestre, etc.)


« Je ne comprend pas ton problème de résolution. Faire du 1200 dpi pour flasher??? Là, ça me dépasse… Chez moi, quand je flashe, j'envoie les fichiers sur la flasheuse, pas sur le traceur Epson. Je n'imagine pas qu'un imprimeur fasse des films par contact avec des épreuves papiers… ou alors bonjour la qualité. »

Eh oui, le nœud du problème est effectivement ici.
Car, lors de mon entretien, la personne responsable de la fabrication m’a succinctement expliqué qu’il fallait que j’investisse dans une A3 couleur (les partitions pédagogiques comportent des petits bonhommes en couleur dans les coins ;-) 1200 dpi ÉTANT DONNÉ qu’ils ne passaient plus par l’intermédiaire du flashage : trop de corrections à effectuer (polices, mise en pages ?).
Déjà décontenancé par l’entretien en lui-même, et surtout carrément néophyte en la matière, je n’ai pas posé de questions à ce sujet…
Voilà.
Alors pourquoi diable m’ont-ils demandé une jet d’encre A3 couleur PostScript certifiée Pantone ? Juste pour des sorties de contrôle ? (pour info, on m’a conseillé d’investir dans une Epson 1520 PostScript, mais elle me paraît ancienne…)


« Lorsque tu réalises des partitions, tu fais ni plus ni moins de la photocomposition. Tu utilises des typos particulières, mais pour un RIP de flasheuse, du sonata ou du futura, c'est du pareil au même.
J'aimerai bien, par curiosité, flasher de la musique, je ne vois pas en quoi c'est plus difficile que de la typo normale. »

Je ne sais pas, mais voici les fontes les plus usitées :
Petrucci, Tamburo, Maestro, Engraver (puis en vrac : Jazz, Anastasia, BC, BerliFont, Brev, Chiffr, Inkpen, Microtona, Neuma, Opus, ScoreFont, Sonora, Strubfont, Toccata, Walliser, etc.)
Une note requiert 3 caractères : la tête de la note, la hampe (ou la queue) et la ligature (pour les croches et consorts) ; il existe un tas d’autres formes (crochets, liaisons, etc.), dont certaines sont retouchées sous Illustrator dans le cas de partitions faisant appel une notation graphique un peu complexe.

Le logiciel utilisé est Finale (il en existe d’autres, Berlioz notamment), dont le format de fichier est propriétaire, mais qui permet d’exporter en PS, EPS, TIFF, PICT et Illustrator. Je suppose donc que le flasheur doit pouvoir exiger du PS, EPS ou TIFF pour traiter les données et envoyer le tout à l’imprimeur (schématiquement, plus des 3/4 des partitions sont en noir et blanc).


« Bon, en ce qui concerne les imprimantes couleurs, comme le dit VMU, entre une impression à 720 dpi et une impression à 1440 dpi, je ne vois pas la différence. »

Pourtant on m’a spécifié 1200 dpi… Je ne comprends plus :-(
Il faut absolument que je les rappelle dès la semaine prochaine.


« D'autre part, comme je le soulignais dans un autre post, le fait de changer les têtes d'impression en même temps que les cartouches chez HP est plutôt un désavantage. Du moins, en ce qui concerne le réglage et la calibration de l'imprimante. Car qui dit changement de tête, dit calibration à refaire. Ceci dit, c'est vrai si on cherche une certaine fiabilité dans les couleurs, ce qui n'est peut-être pas ton cas. »

À priori (au moins dans un premier temps), non.


« Il existe des cartouches compatibles, si on fait de la bureautique, parfait. Si on veut de la fiabilité dans les couleurs, méfiance… Mais là encore, ce n'est peut-être pas trop ton problème. »

idem


« En ce qui concerne les rip, je ne crois pas que ça soit si lourd. C'est vrai qu'il y a longtemps que je n'ai pas rippé sur un Mac qui ne soit pas dédié à ça. Mais autrefois, il y a longtemps, quand j'étais petit, je rippais avec PowerRip sur le même Mac que celui avec lequel je travaillais. Je n'ai pas souvenir de galères invraisemblables. »

Après visite sur www.dsp-fr.com, il y a tout lieu d’être convaincu par le bien fondé de PowerRip (même si au moins une bonne partie des fonctions me semble trop évoluée pour mes besoins), et avec un peu de RAM en plus (512 Mo au lieu de 256 actuellement), mon G4 400 devrait pouvoir suffire.
En revanche, si GhostScript a l’air d’offrir une plus grande compatibilité inter marques, PowerRip se limite essentiellement à Epson.
Alors HP ou Epson ?

Si j’ai bien suivi, il me suffit d’une Epson (pas HP) normale (c.-à-d. non PostScript) : la 1290 (500 EUR) me paraît suffisante (avec éventuellement des réservoirs d’encre externes…), tandis que la 2100 (800 EUR) me semble peut-être (hormis la connectique…) plus superflue (7 couleurs…).


« Voilà, si tu préciser un peux ta demande, j'aurai peut-être des idées. »

J’espère avoir été compréhensible à défaut d’être bref ;-)
Je peux éventuellement envoyé une page par mail à titre d’exemple…


« Bonne journée »

Merci, pareil…
et surtout merci pour votre attention !
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par matmiev:</font><hr /> « Bonne journée »

Merci, pareil?
et surtout merci pour votre attention !
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[/QUOTE]

alors! content!
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par matmiev:</font><hr />

Eh oui, le nœud du problème est effectivement ici.
Car, lors de mon entretien, la personne responsable de la fabrication m’a succinctement expliqué qu’il fallait que j’investisse dans une A3 couleur (les partitions pédagogiques comportent des petits bonhommes en couleur dans les coins ;-) 1200 dpi ÉTANT DONNÉ qu’ils ne passaient plus par l’intermédiaire du flashage : trop de corrections à effectuer (polices, mise en pages ?).
Déjà décontenancé par l’entretien en lui-même, et surtout carrément néophyte en la matière, je n’ai pas posé de questions à ce sujet…
Voilà.
Alors pourquoi diable m’ont-ils demandé une jet d’encre A3 couleur PostScript certifiée Pantone ? Juste pour des sorties de contrôle ? (pour info, on m’a conseillé d’investir dans une Epson 1520 PostScript, mais elle me paraît ancienne…)


[/QUOTE]

J'ai l'impression surtout que tu as affaire à des administratifs qui ne connaissent pas grand-chose à la technique. Ils serait bon que les techniciens de cet éditeur (imprimeur ou autre) te fournisse un cahier des charges précis.

<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par matmiev:</font><hr />
Je ne sais pas, mais voici les fontes les plus usitées :
Petrucci, Tamburo, Maestro, Engraver (puis en vrac : Jazz, Anastasia, BC, BerliFont, Brev, Chiffr, Inkpen, Microtona, Neuma, Opus, ScoreFont, Sonora, Strubfont, Toccata, Walliser, etc.)
Une note requiert 3 caractères : la tête de la note, la hampe (ou la queue) et la ligature (pour les croches et consorts) ; il existe un tas d’autres formes (crochets, liaisons, etc.), dont certaines sont retouchées sous Illustrator dans le cas de partitions faisant appel une notation graphique un peu complexe.

Le logiciel utilisé est Finale (il en existe d’autres, Berlioz notamment), dont le format de fichier est propriétaire, mais qui permet d’exporter en PS, EPS, TIFF, PICT et Illustrator. Je suppose donc que le flasheur doit pouvoir exiger du PS, EPS ou TIFF pour traiter les données et envoyer le tout à l’imprimeur (schématiquement, plus des 3/4 des partitions sont en noir et blanc).


[/QUOTE]

C'est bien ce que je pense. C'est ni plus ni moins que de la photocomposition. C'est dommage que tu soit à Reims et moi en banlieue ouest de Paris. J'aurai bien aimé faire des tests la-dessus.

<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par matmiev:</font><hr />
Pourtant on m’a spécifié 1200 dpi… Je ne comprends plus :-(
Il faut absolument que je les rappelle dès la semaine prochaine.


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C'et ce que je disais plus haut. Tu as affaire à des personnes qui ignorent sans doute tout de la technique.

<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par matmiev:</font><hr />
Si j’ai bien suivi, il me suffit d’une Epson (pas HP) normale (c.-à-d. non PostScript) : la 1290 (500 EUR) me paraît suffisante (avec éventuellement des réservoirs d’encre externes…), tandis que la 2100 (800 EUR) me semble peut-être (hormis la connectique…) plus superflue (7 couleurs…).


[/QUOTE]
Exact, sauf qu'il te faut un RIP en plus si l'imprimante n'est pas postscript. Bon courage, et si tu as besoin, contactes moi.

Bonne journée.
 
Après rendez-vous, il apparaît en fait que les partitions de musique peuvent être traitées de deux façons :

- en noir et blanc, des épreuves sur papier couché mat (impression laser en 1200 dpi) doivent être fournies pour tirer des films directement ;
- en couleur (cadres, illustrations), un fichier XPress est remis, l'imprimante jet d'encre ne servant que pour les sorties de contrôle.


Bref, voilà qui est définitivement clair et entérine le choix de mon imprimante : une HP 5100 (avec option éthernet) pour les épreuves en A3+ et une HP 1700 pour compléter avec des sorties couleur occasionnelles.


Voilà voilà !


Merci pour tout.
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