Installe avec un recovery d'un autre HDD

Drikos24

Membre confirmé
31 Août 2014
23
0
Slt,

Voilà en fait j'ai sur un DD externe (qui me sert de test) ou j'ai installé OS X 10.11 El capitan. Donc sur ce DD j'ai OS X 10.11 + la partition recovery.

Comme je comptais démarrer sur cette partition recovery pour faire l'installation d'OS X 10.11 sur mon macbook air de 2014 (ça m'évite de retélécharger l'OS et par la même occasion de partir sur clean install)

J'aimerais savoir si en utilisant cette méthode, l'installation créera la partition recovery sur le SSD de mon MBA pour réinstaller si besoin un jour.

Merci.
Cdt.


Note de la modération: pas trop de rapport avec les portables Mac, je déplace dans le forum adéquat.
 
Dernière édition par un modérateur:
Salut

Normalement je dirai oui. Par contre il faudra bien même en mode Recovery retélécharger El Capitan.
La bonne solution serait de le télécharger et de créer une clé bootable. Ainsi plus besoin de passer par Recovery ou autre.
Pour créer cette clé, télécharge El Capitan puis tapes ceci en adaptant ce qui est en rouge (le nom de la clé) :

sudo /Applications/Install\ OS\ X\ El\ Capitan.app/Contents/Resources/createinstallmedia --volume /Volumes/ElCapitan --applicationpath /Applications/Install\ OS\ X\ El\ Capitan.app

@+
 
Ok merci pour ta réponse.

Du coup jvais attendre la 10.11.1 au moins et je verrais d'ici la. Du moment que le recovery est toujours présent ça me va.

Cdt.
 
Merci pour la commande sudo.
J'ai noté une bizarrerie.
Quand on fait Préférences système ; Disque de démarrage la Clef n'apparait pas comme choix de volume!...
Par contre si on démarre en maintenant la touche Alt elle apparait et ça marche...
 
Petit exercice de spéculation dominicale

:coucou: gmaa

J'ai noté une bizarrerie.
Quand on fait Préférences système ; Disque de démarrage la Clef n'apparait pas comme choix de volume!...
Par contre si on démarre en maintenant la touche Alt elle apparait et ça marche...

Tu noteras, Gérard, qu'une clé d'install est logée à la même enseigne qu'une partition de récupération «Recovery HD» de ce point de vue : le programme « StartupDisk », invoqué quand on clique graphiquement le panneau "Disque de Démarrage" des Préférences Système, discrimine nettement, parmi tous les systèmes de fichiers démarrables résidant sur une partition de disque (interne ou externe), entre ceux qui peuvent démarrer un "Système Complet d'Exploitation" (= le volume d'un OS X installé) et ceux qui ne peuvent démarrer qu'un "Système Auxiliaire d'Exploitation (= le volume d'un Installateur ou d'une Récupération d'OS X). En n'affichant que les 1ers, et en ignorant les 2è.

Alors que, lorsque tu (re)démarres avec "alt", ce n'est absolument pas le même programme qui est sollicité. En effet, le programme « StartupDisk » fait partie d'un Système démarré (que ce soit celui d'OS X, d'une clé d'install ou d'une récupération) ; alors que le programme sollicité par la touche "alt" au démarrage précède forcément tout démarrage d'un Système logique : en ce sens, il ne peut relever que de la Carte-Mère du Mac, plus précisément de son Programme Interne, en tant que programme auxiliaire de démarrage destiné à orienter la trajectoire exécutive de l'EFI = le « DiskManager » du Programme Interne (Firmware).

Nous, "end users" de Macs, càd. utilisateurs terminaux qui ne sommes nullement les ingénieurs Apple créateurs des programmes, nous sommes toujours dans une position d'« épigones » : ceux qui viennent "après", pour qui les "conséquences" prévues par les ingénieurs de la  prennent inversement une valeur de "points-de-départ". Outre utiliser ces effets (du type : "alt" au démarrage me donne l'affichage de tous les Systèmes démarrables sans discrimination vs panneau "Démarrage de disque" me donne l'affichage des seuls Systèmes démarrable Complets) ; nous pouvons seulement spéculer a posteriori sur leurs "raisons d'être".

Tu vas me dire : la situation n'est guère différente, en-dehors du domaine de l'Informatique, dans le domaine de l'Existence tout court. «Nous sommes embarqués» dans l'existence (comme le note Pascal), c'est-à-dire participants d'un ensemble d'effets dans l'ignorance de leur Raison d'Être ; et c'est toujours après-coup, en position d'« épigones », que nous spéculons sur la «Raison des Effets».

Sauf que dans le domaine de l'Informatique, on a affaire à une création humaine destinée à d'autres hommes. Donc à un rapport social de part en part, dans lequel un groupe d'hommes adresse quelque chose à un autre groupe d'hommes. Ce qui, lorsqu'on spécule en position de "end user" informatique, confronté à des « effets », sur la « raison des effets » relevant d'une ingéniérie humaine, ne peut que faire intervenir un principe "limitatif" en comparaison des spéculations sur la « Raison d'Être » de l'existence. Ce principe "limitatif" est le suivant : quelle que soit la complexité des "moyens techniques" mis en œuvre (le langage de programmation informatique), il est toujours au service d'une "intention humaine" qui en commande entièrement le procédé. "Intention humaine" de certains hommes visant d'autres hommes a priori, càd. une politique, dans tout ce qu'une telle intention peut avoir d'arbitraire.

Je peux me figurer des managers fixant a priori à des ingénieurs un "cahier de charges" qui puisse aller jusque dans un certain détail. Par exemple, dans le domaine ici examiné : faites en sorte, les gars, qu'au démarrage d'un Mac, tous les Systèmes démarrables soient gérés par le programme d'affichage DiskManager ; mais par contre que l'éventail de choix du panneau : "Disque de Démarrage" offert par le programme StartupDisk se cantonne aux seuls Systèmes Complets d'Exploitation. L'effectuation de ce genre d'inclusion ou d'exclusion : c'est une affaire de langage de programmation (qui m'est totalement étranger) ; la décision qu'elle doit intervenir ou pas : c'est une affaire de management politique (dont l'arbitraire ne diffère pas de celui d'autres domaines de la société).

Le programme StartupDisk des Préférences Système manipule la mémoire statique NVRAM de la Carte-Mère, en inscrivant un argument, qui est un chemin de boot automatique pour l'EFI lors d'un démarrage sans option : le chemin à un boot_loader boot.efi déterminé à exécuter directement. Le programme DiskManager de la Carte-Mère, pour sa part, est une espèce de "précurseur" optionnel de l'EFI qui scanne les disques attachés au Mac (en interne ou en externe) et identifie toutes les partitions supportant un système de fichiers démarrable dans l'absolu --> un choix de l'utilisateur fixe "à la volée", de manière impermanente, un chemin de boot à l'EFI qui va exécuter le boot_loader du volume choisi, sans que ce choix ne se conserve en NVRAM. Pourquoi cette décision de ne pas autoriser l'inscription permanente en NVRAM d'un chemin de boot au boot_loader d'un Système démarrable non-Complet, càd. un simple Système d'install ou de récupération ? Sachant qu'un Système non-Complet est quand même un Système, avec son kernel, ses extensions du noyau, son processus launchd et son architecture déployable ? Et qu'une décision inverse aurait pu, techniquement parlant, être aussi bien rendue "effective", en terme de langage de programmation ?

☞ c'est là qu'intervient, je trouve, le principe "limitatif" que j'évoquais plus haut : on tombe toujours, lorsqu'on spécule sur la «raison des effets» informatiques, sur une intention humaine arbitraire a priori dans ses "calculs" d'intérêt mêmes - tandis que la «Raison des effets» de l'existence n'est pas a priori réductible à une intention humaine arbitraire.​
 
Dernière édition par un modérateur:
Effectivement, sur ma clef usb3 16 Go d'installation Yosemite/El Capitan préparée avec Diskmaker 5.01 et utilitaire de disque de Yo et/ou de EC seule apparait sous Yo dans disque de démarrage l'installe 10.10.4 et aucune des deux dans EC.

Les deux apparaissent sous Yo & EC avec Alt au démarrage.

Jolie explication de macomaniac .