L'association Les Amis de la Terre vient de publier un communiqué, à l'occasion de la sortie de l'iPad, dénonçant les choix non écologiques d'Apple.
Ceux-ci s'inscrivent dans ce qu'on appelle l'"obsolescence programmée", c'est-à-dire de prévoir déjà à la construction que l'objet sera jeté au bout de 2 ou 3 ans. Le maillon faible de l'iPad, comme de l'iPhone, c'est sa batterie, non changeable. Celle de l'iPhone aurait une durée réelle acceptable de deux ans. Après, la baisse de sa charge inciterait même les plus écolo des Apple fan à changer d'appareil.
A mon sens, l'obsolescence programmée de l'iPad est visible aussi dans tous ses aspects non achevés : difficulté à en faire un usage réellement actif, notamment en bureautique, positionnement imprécis (mais il est vrai que c'est le marché qui permettra de positionner celui-ci), etc.
Les Amis de la Terre rappellent que l'iPad, comme d'autres appareils, contient des minérais rares, qui sont extraits de Chine ou d'autres pays (Afrique) dans des conditions désastreuses. Plus proche d'Apple, n'oublions pas les suicides dans les sous-traitants chinois qui assemblent ces appareils.
J'admire les appareils faits par Apple (mais aussi par d'autres constructeurs, comme Palm par exemple). Mais avant de se précipiter sur les dernières créations de la pomme, regardons si nous avons vraiment besoin du dernier modèle, et réfléchissons à ce que le renouvellement accéléré de nos produits fait peser comme pression sur la terre et les travailleurs de certains pays...
Je me mets à rêver d'une informatique durable, respectueuse de la planète et de ses habitants, d'entreprises qui ont ce souci aussi. Mais c'est malheureusement encore un rêve.
Ceux-ci s'inscrivent dans ce qu'on appelle l'"obsolescence programmée", c'est-à-dire de prévoir déjà à la construction que l'objet sera jeté au bout de 2 ou 3 ans. Le maillon faible de l'iPad, comme de l'iPhone, c'est sa batterie, non changeable. Celle de l'iPhone aurait une durée réelle acceptable de deux ans. Après, la baisse de sa charge inciterait même les plus écolo des Apple fan à changer d'appareil.
A mon sens, l'obsolescence programmée de l'iPad est visible aussi dans tous ses aspects non achevés : difficulté à en faire un usage réellement actif, notamment en bureautique, positionnement imprécis (mais il est vrai que c'est le marché qui permettra de positionner celui-ci), etc.
Les Amis de la Terre rappellent que l'iPad, comme d'autres appareils, contient des minérais rares, qui sont extraits de Chine ou d'autres pays (Afrique) dans des conditions désastreuses. Plus proche d'Apple, n'oublions pas les suicides dans les sous-traitants chinois qui assemblent ces appareils.
J'admire les appareils faits par Apple (mais aussi par d'autres constructeurs, comme Palm par exemple). Mais avant de se précipiter sur les dernières créations de la pomme, regardons si nous avons vraiment besoin du dernier modèle, et réfléchissons à ce que le renouvellement accéléré de nos produits fait peser comme pression sur la terre et les travailleurs de certains pays...
Je me mets à rêver d'une informatique durable, respectueuse de la planète et de ses habitants, d'entreprises qui ont ce souci aussi. Mais c'est malheureusement encore un rêve.