Le jeu du dernier mot

Vain cygne essaie l'hiver regagner l'azur ivre

Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui
Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre
Ce lac dur oublié que hante sous le givre
Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !

Un cygne d'autrefois se souvient que c'est lui
Magnifique mais qui sans espoir se délivre
Pour n'avoir pas chanté la région où vivre
Quand du stérile hiver a resplendi l'ennui.​
 
Dealant nuitamment ce poème, tu en oublies —délibérément— la suite :

Tout son col secouera cette blanche agonie
Par l'espace infligée à l'oiseau qui le nie,
Mais non l'horreur du sol où le plumage est pris.
 
La suite arithmétique est une suite dans laquelle chaque terme permet de déduire le suivant en lui ajoutant une constante appelée raison.

Fantôme qu'à ce lieu son pur éclat assigne,
Il s'immobilise au songe froid de mépris
Que vêt parmi l'exil inutile le Cygne.​
 
--> Raisonnablement on peut penser que tu gagneras très bien ta vie si tu fais en sorte de quitter le bateau France qui coule lentement mais surement


Et les gars ... il n'y a pas de mal à être né dans une basse-cour lorsqu'on sort d'un oeuf de cygne
 
Hou! Leland : te mentent mes sœurs, manifestement, en étalant leurs appâts ah! pareil

-----------------Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer,
--------------------Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse


-----------------------------------car

--------------------------------------------La chair est triste, hélas! et j'ai lu tous les livres
 
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Réactions: scoliaste
-- > Pareil que toi ? jamais de la vie , je ne te ressemble pas marges que nous soyons jumeaux

Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend
Et ni la jeune femme allaitant son enfant.​
 
--> Son enfant était d'une mocheté mais d'une mocheté !!! ... qu'il mettait tout le monde mal à l'aise à l'exception de sa mère qui l'avait élevé au rang d'un demi-dieu né vivant mais que l'on voyait plutôt comme un mort vivant bien que bien vivant cet enfant était une insulte à ses congénères mis en couveuse