Le labo de PVPBP

@Yvos :" moi, je ne vois que cela et ça a un effet carrément physique : cela me donne (réellement !) mal au crâne "
A ce point la ? :eek: ,ben,dis donc,t'es sensible ...entre toi a qui je donne mal a la tete et Ergu que je saoule,j'ai l'impression que c'est ma fete en ce moment ...:rolleyes:

Sinon,pour le cadrage,j'ai voulu le faire sérré pour 2 raisons,primo,comme cela a été pris a la volée,et pas en studio,l'environnement n'était pas top,cela permettait de l'occulter ,et la 2eme raison,c'est que j ai essayé de mettre en valeur ces superbes yeux,on dirait que cela a marché pour certains et pas pour d'autres ...;) mais je suis d'accord pour dire que le cadrage est perfectible ...

Pour la peau et les pétouilles,c'est vrai qu'elle n'avait une peau au top et de plus,je suis a 3200 isos,donc un peu de grain supplémentaire vu que c'est la limite de mon apn,j'ai donc un peu joué sur la réduction du bruit et l'amélioration de la peau sur aperture,(merci au passage pour le lien sur LR,JP),mais,je n ai pas voulu trop lisser l'image pour ne pas ressembler a un catalogue de mode ...apres ,je ne suis pas non plus un pro du post traitement ...

Il n'empêche que meme si elle n'est pas parfaite techniquement,de toute facon la perfection existe t elle en photo ? ,j'aime beaucoup cette photo,je trouve que son regard et ses yeux sont superbes et elle me fait penser a une actrice des années 70 ou 80 ,et c'est pour cela que je l'ai postée ...visiblement,elle ne plait pas a tout le monde mais les gouts et les couleurs,comme on dit ...

Et puis ,pour une fois que je ne postais pas une macro ...:eek:
Elle a été prise au 300mm fixe (non macro :siffle: )
 
Dernière édition:
mais je suis d'accord pour dire que le cadrage est perfectible ...

C'est cela qu'il faut retenir...le reste c'est de l'emballage.

Il n'empêche que meme si elle n'est pas parfaite techniquement,de toute facon la perfection existe t elle en photo ? ,j'aime beaucoup cette photo,je trouve que son regard et ses yeux sont superbes et elle me fait penser a une actrice des années 70 ou 80 ,et c'est pour cela que je l'ai postée

Nous sommes d'accord ;) ...mais un cadrage plus adapté ne retirerait rien à ce que tu aimes dans cette photo, c'est tout. C'est aussi parce qu'elle a éveillé mon intérêt que j'en ai parlé, hein :p
 
Ergu que je saoule

Nan, pas toi en tant que posteur ici, mais la dominante des photos d'insectes, araignées et fleurs en gros plans dans les cimaises - une dominante en partie ressentie sur des critères subjectifs seulement partiellement étayés par la réalité statistique du fil. Et dominante non due uniquement à tes photos.

Pas très grave quoi.
Cela dit, je boude toujours.
 
  • J’aime
Réactions: Dendrimere
«Double vitrage»​

☞ ce matin, je me suis dit : pourquoi ne pas relever ergu :coucou: de sa position paradoxale de 'bouderie affichée' (car normalement, on boude 'dans son coin', par retrait de la scène, tandis qu'ici la bouderie occupe le devant de la scène en y gardant le privilège de 'dernier mot')? En parlant d'une photo des «Cimaises» qui exemplifie le principe photographique : «Un paysage dans une fenêtre». Celle-ci de SirDeck :

_MG_4008-Modifier.jpg

Le 'paysage'. Une jeune fille de dos, située côté 'intérieur', regarde à travers le vitrage d'une fenêtre le paysage extérieur : des arbres frappés par l'automne en surimpression d'une haute façade blanche d'immeuble haussmannien.

Le 'paysage' que la photo me donne à voir consiste donc en une personne qui regarde un paysage à travers une vitre. Ce qui m'est présenté n'est donc pas un 'paysage' simple, mais un 'paysage_regardé'. Un paysage 'simple' donne à voir une scène 'là_devant', et c'est la découpe du cadre de la photo qui montre que la scène est 'vue par quelqu'un', qui est le photographe : c'est sa 'fenêtre de vision', et le spectateur est invité à se mettre à la place de ce spectateur orienté, en regardant la scène par sa fenêtre de vision.

Un 'paysage_regardé' présente un sujet qui regarde une scène. Dans la photo de SirDeck, le sujet étant de dos, sihouetté en avant-plan d'une scène elle-même cadrée dans une fenêtre réelle (l'encadrement d'un vitrage), la scène est forcément présentée non pas comme 'vue par le photographe', mais 'vue par le sujet photographié'. Elle est donc indirectement, et non directement, objet de la vision du spectateur.

La 'fenêtre'. C'est la découpe de la photo, son 'cadre', matérialisation du 'cadrage' du photographe, qui présente le paysage comme un 'champ' référé à une 'vision'. Combien étonnante cette 'fenêre' de vision que SirDeck m'offre - la sienne - en m'invitant à la partager. D'abord elle est en mode 'portait' (rectangle vertical), ce qui renforce l'impression que le 'paysage' proposé n'est pas celui d'une scène absentée d'humanité, mais directement un 'portrait' d'humanité. Un portrait présentant le sujet 'de dos', contrairement à toutes les règles de la peinture portraitiste qui offre le sujet 'de face'. C'est que le portrait qui m'est proposé, n'est pas celui du 'corps' du sujet (à quoi les peintres portraitistes n'échappent pas, quand bien même inscrivent-ils des 'signaux d'humanité' sur le visage peint : regard, mimique, autant de 'clins d'œil' vers l'intériorité). Non, mais celui de la 'vision' du sujet.

La photographie, comme la peinture (et le cinéma) ne montre que des 'corps'. À la différence de la musique, de la poésie, du roman, elle ne peut pas présenter immédiatement l'intériorité, les états d'âme comme on dit. Comment surmonter cette limitation? SirDeck me paraît le faire ici en soustrayant à la photo le visage du sujet, et en me présentant l'aperçu du sujet : la scène regardée. Avec des indicateurs qui 'colorent' cet aperçu : cette 'frilosité' de la jeune fille, dos rond quasi frissonnant dans un parka avachi quoique située 'en intérieur' - ah! voilà qui me présente la scène regardée à travers le vitrage d'une fenêtre avec des indicateurs tellement connus, de me renvoyer à ma propre mémoire.

Ce personnage de dos qui regarde derrière une de ces croisées toutes en hauteur, cela renvoie à des locaux où règne la règle collective (écoles, administrations) dont c'est le signe architectural. Le cadrage présentant un surplomb aux deux-tiers du vitrage minorant le sujet révèle cette compréhension familière de l'état de tutelle des sujets juvéniles. La légère contre-plongée par rapport au sujet de dos situe la position du regard du photographe, qu'il m'invite à partager : celui de quelqu'un qui 'surplombe' la scène. Oui, mais de quelle façon? Seulement imperceptiblement et pas autoritairement. Je suis frappé de surcroît par l'incroyable 'douceur' monochrome du rendu des couleurs des huisseries de la croisée - quelque chose de complètement inattendu formellement parlant, vu le caractère 'carcéral' des croisées toutes en hauteur, où se matérialise une architecture dominatrice. J'opte pour une décision picturale du photographe : un 'filtre' euphémisant, adoucissant la teinte vers un ocre réconciliateur, comme faisant partie de la 'fenêtre' de la photographie, non du 'paysage' photographié. Quelque chose qui n'est pas là 'pour' la jeune fille, mais 'pour' le photographe (et 'pour' moi qui partage sa 'fenêtre').

C'est comme si une dimension 'vitreuse', un 'vitrage' mais avec une 'épaisseur', une 'profondeur', était superposé au paysage photographié : dimension 'vitreuse', d'une étonnante douceur, qui relève de la 'fenêtre' de la photo. Et je la reconnais cette 'fenêtre' de vision, où les choses vues se montrent comme au travers d'une dimension vitreuse douce : c'est le 'vitrage du temps', lorsque nous nous ressouvenons. Le paysage 'en portrait' que me présente la photo de SirDeck, c'est à travers la 'fenêtre du ressouvenir' qu'il m'est présenté : c'est moi, oui c'est moi, comme si c'était hier, je m'en souviens, qui regarde là, avec ce frissonnement d'une adolescence incarcérée dans les institutions, un paysage de la vie qui se refuse derrière le vitrage des fenêtres de l'école. Car, si je suis planté là, c'est dans un 'parloir', en instance de comparaître devant quelque juge dont je me détourne provisoirement en tournant le dos à sa menace latérale droite qui reste hors champ (proviseur, examinateur : futur embaucheur) et ce que j'aperçois à travers la vitre séparatrice, c'est l'éloignement du paysage de l'enfance : déjà jaunis par l'automne, des arbres végétant dans l'enfermement de la ville.

Le 'paysage' est une scène nostalgique, et sa 'fenêtre' de présentation me le livre révélé dans le 'milieu vitreux' du ressouvenir attendri. Je sais que je n'ai plus vingt ans. Mais là d'où SirDeck me propose de me ressouvenir, ce n'est pas de la place de l'autorité (qui reste hors-champ à droite de la position que j'occupe) - non, ce n'est pas avec les yeux du pouvoir que je suis invité à regarder (comme dans le tableau «Les Ménines» de Vélasquez, le regard du couple royal sur la scène où le peintre s'active), mais de la place de quelqu'un qui ne s'est pas détourné de l'enfance. Ce n'est pas à moi que la jeune fille tourne le dos, mais à l'autre, sur ma droite, enfermé dans la statue de commandeur de l'autorité dont je n'occupe pas la place - je peux donc encore 'endosser' son point de vue, malgré la 'patine' du temps.
 
Dernière édition par un modérateur:
Marcomaniac n'a jamais fait de posts aussi long sur l'une de mes photos :(
La prochaine fois, j'en mettrai une qui s'applique tout particulièrement à son type de commentaire :p
 
Les gars, on ralenti avant le virage* !
Ce n'est pas parce que Jipé s'est trouvé un nouveau running gag qu'il faut surexposer la chose, hein !?

*Un accident est si vite arrivé !

565085dsc0377.jpg

L'actualité de mon quartier
 
  • J’aime
Réactions: jpmiss


Le premier plan pourrait être mieux mais j'aime bien le résultat de la technique de "Time Stacking" (600 images prises à 3 secondes d'intervalle accumulées comme pour un filé d'étoile)
 
Pourquoi tant d'effort...

Le premier plan pourrait être mieux mais j'aime bien le résultat de la technique de "Time Stacking" (600 images prises à 3 secondes d'intervalle accumulées comme pour un filé d'étoile)

Déclenchement à la télécommande, et intervallomètre ?
 
Cet intitulé, reprenant le «kôan» zen récemment introduit dans ce fil par un sage, proclame que le scribe macomaniac, son entendement circonlocutif travaillé par l'intussusception du vrai, a eu un aperçu de l'illumination :D

«Illumination», je me hâte de l'annoncer (pour parer les foudres de certain homme en vert gardien de ces lieux) qui ne va pas se 'surexposer' au point d'irradier de lumière le paysage, mais plutôt se 'sous-exposer' ici (ce qui montre bien que le sieur macomaniac tâtonne toujours dans le labyrinthe de la discrimination).

L'objet propice à cette 'sous-exposition' se trouvant précisément être cette photo d'aCLR :

565085dsc0377.jpg

Je me souviens que le photographe amateur de sujets 'populaires' Doisneau aimait à déclarer : «une bonne photo raconte une histoire». En ce sens qu'elle offre un 'instantané' qui ne peut faire sens qu'à condition que le spectateur fasse intervenir le temps par l'imagination. Pour supposer ce qui a bien pu se passer 'avant' la scène capturée par la photo pour qu'elle 'ait lieu', voire de surcroît se figurer ce qui va bien pouvoir arriver 'ensuite'. Ce qui implique que la scène 'captive' du cadre de la photo ne se 'suffise' pas en elle-même, mais s'expose dans une sorte de 'suspense' en tant qu'instantané d'un 'mouvement de déséquilibre'. Capturer un 'instant_en_déséquilibre', ce serait donc l'art de la «sous-exposition» doisnésien.

Regardant cette photo si 'tranquille' en apparence d'aCLR, camion bien rangé parallèlement à un trottoir du bon côté du sens de la circulation, je suis bien forcé d'en restituer l'instantanéité à une dynamique temporelle de type doisnésien, parce que les barrières métalliques qui ceignent l'aire de stationnement du camion en l'interdisant à la circulation et le poteau télégraphique en béton couché sur le toit de la remorque du véhicule montrent que nous avons affaire ici à un accident de la route. 'Accidentalité' doisnésienne qui propulse mon imagination à se figurer 'ce qui a bien pu se passer avant pour produire ce résultat'. Et bien évidemment, résultat de scènes vues (par expérience propre ou en vidéo), mon imagination a tôt fait de me tracer une séquence de 'dérapage incontrôlé' du véhicule qui serait venu terminer sa course contre un poteau, l'impact le sectionnant pour provoquer sa chute incarcérant le 'coupable'. Et à cette reconstitution temporelle je suis précisément invité par le malin aCLR intitulant quasiment son instantané : «un accident est vite arrivé» --> «on ralentit avant le virage».

'Excès de vitesse --> dérapage' serait donc la séquence préalable doisnésienne dont je suis invité à me 'raconter l'histoire', pour rendre compte de cet 'instantané en déséquilibre' : un camion arrêté incarcéré par la chute d'un poteau télégraphique.

Oui, mais cette apparente piste 'antéro-spective' donnée par l'auteur de la photo lui-même ne l'est que par référence au «kôan» zen de jpmiss : «ou l'inverse», dont aCLR n'a pas évoqué l'intervention de manière 'critique', mais au contraire de manière 'légitimatrice'. Il me faut donc, moi qui ai entraperçu l'illumination sous l'effet de ce «kôan», mettre en œuvre précisément son principe d'éclairage dans le procédé d'antéro-spection doisnésien. Et bien m'en prend, en effet...


... car où voyez-vous traces de dérapage incontrôlé dû à un excès de vitesse, dans cet instantané d'accident, je le demande? Nulle part. Le camion est sagement rangé parallèlement au trottoir, les roues à toucher sa bordure, signe d'une volonté régulière de son conducteur. Voulait-il se garer? Peu probable, vu l'étroitesse de la rue en travaux. Non, je me figure qu'il voulait en serrant le trottoir droit permettre le passage en sens inverse à un véhicule qui pour ce faire serait monté sur le trottoir opposé, une voiture donc, qui a su effectuer ce croisement sans dommage.

Dans le cours de cette manœuvre d'une grande civilité effectuée à faible vitesse, le camion a serré de trop près le poteau télégraphique, la route en terre non encore re-bitumée offrant une pente en direction d'icelui amenant le camion à pencher latéralement vers la droite et à venir frotter le poteau lui demeuré vertical. Au cours de cette friction prolongée tout le long de la remorque, le poteau au béton corrodé par la rouille des fers de son armature s'est carrément plié à angle droit pour emprisonner l'extrémité arrière de la remorque. Eût le véhicule été emporté par la vitesse, il aurait forcément dépassé le niveau du poteau après l'impact même.

Il serait même loisible d'imaginer comme séquence doisnésienne 'antéro-spective' une simple 'co-incidence' sans impact : un concours de circonstances comme on dit. Le simple ébranlement du sol en terre par les vibrations provoquées par le poids du véhicule induisant un repliement latéral du poteau déjà corrodé par le temps. «Ou même», si faible était la vitesse innocente du camion qu'elle ne fut pour rien dans l'accident, le poteau complètement érodé 'choisissant' précisément cet instant pour se replier et emprisonner le véhicule.

Oui, c'est cette option que mon imagination doisnésienne va retenir, afin d'appliquer à l'instantané de la photo le filtre du «kôan» de jpmiss : «ou l'inverse» en mode 'sous-exposition'. «Ou l'inverse» : le poteau 'a choisi' le moment où le camion le longeait pour se replier sur lui à l'improviste. Le caractère presque 'affectueux' dont il enserre la remorque, comme s'il s'agissait d'un bras articulé qui fût venu prendre par le cou, amicalement, son acolyte du moment, m'invite à m'imaginer, de la part du poteau, cette initiative «inverse» de la violence habituellement concourante aux accidents. M'offrant, de manière fulgurante, une scène digne des estampes chinoises, où le peintre sur soie figure l'alliance de «deux amis» : un arbre épousant d'une branche torse la carrure d'un rocher.

Une grande paix émane de la scène, à l'«inverse» des instantanés courants d'accidents. C'est que le fortuit, ici, est un 'heureux événement', le geste suspendu de l'amitié. Ce qui porte le beau nom de : «sérendipité». Les autorités ont ceinturé la scène de barrières, qui évoquent ces cordons des Musées incitant les spectateurs à une contemplation respectueuse de la manifestation esthétique. Comme la personne qui contourne cette cimaise sans un regard le démontre : il y aura toujours des gens pour ne pas voir ce qui leur est présenté comme un effet de l'art.
 
Dernière édition par un modérateur:
  • J’aime
Réactions: Powerdom et aCLR

Comme ça au premier coup d'œil, je me suis dis que plovemax avait une table photographique d'objets.

À y regarder de plus près, j'ai remarqué une trame en bas de l'image !? Comme j'ai récemment monté une cuisine-du-géant-suédois, j'ai tout de suite pensé au rouleau anti-dérapant qui tapisse les fonds de tiroirs. Du coup, je comprend mieux pourquoi le fond n'est pas uniformément blanc ! C'n'est pas du plexi™ ! Et ça n'est pas simplement dû à une mauvaise disposition de la source lumineuse sous la plaque ! Mais l'astuce passe quand même assez bien pour une lecture rapide. Même si je trouve que la disposition des friandises aurait pu être peaufinée.

;)
 
Comme ça au premier coup d'œil, je me suis dis que plovemax avait une table photographique d'objets.

À y regarder de plus près, j'ai remarqué une trame en bas de l'image !? Comme j'ai récemment monté une cuisine-du-géant-suédois, j'ai tout de suite pensé au rouleau anti-dérapant qui tapisse les fonds de tiroirs. Du coup, je comprend mieux pourquoi le fond n'est pas uniformément blanc ! C'n'est pas du plexi™ ! Et ça n'est pas simplement dû à une mauvaise disposition de la source lumineuse sous la plaque ! Mais l'astuce passe quand même assez bien pour une lecture rapide...

Pour être précis, c'est une plaque de verre d'écran LCD avec un élément blanc par en dessous, le tout utilisé comme réflecteur. La trame, c'est donc les billes intégrées dans la plaque. La vache, il faut de bon yeux pour la voir cette trame! La différence de blanc est lié au rattrapage en post-prod parce que malgré mes 2 flash, les ombres encore un peu là font apparaitre la trame. La compression jpeg et la diminution de la taille n'arrange pas les choses (mais ça on sait que c'est une mauvaise excuse, à moi d'apprendre comment faire pour ça n'arrive pas)
 
Pour être précis, c'est une plaque de verre d'écran LCD avec un élément blanc par en dessous, le tout utilisé comme réflecteur. La trame, c'est donc les billes intégrées dans la plaque. La vache, il faut de bon yeux pour la voir cette trame! La différence de blanc est lié au rattrapage en post-prod parce que malgré mes 2 flash, les ombres encore un peu là font apparaitre la trame. La compression jpeg et la diminution de la taille n'arrange pas les choses (mais ça on sait que c'est une mauvaise excuse, à moi d'apprendre comment faire pour ça n'arrive pas)
Ce n'est pas tant la trame qui m'a sautée aux yeux que ce bout de blanc brulé à la post-prod qui la fait ressortir. Il y a peut-être eu un reflet parasite lié à l'utilisation d'un plaque de verre ?! ;)
 
Premier essai de photo d'éclair.
Le spectacle était trop beau et continue pour que je ne tente pas le coup. Ce n'est pas si simple lorsque la luminosité est forte. Or sur Paris, la luminosité reste très forte, même la nuit :(

_MG_6457-Modifier.jpg


.​
 
  • J’aime
Réactions: jpmiss