Mais que s'est-il donc passé là ?

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Dans la même veine arboricole.

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Réactions: Lalis
Nan.

:rose: mes excuses à l'écrieur, mais comme j'ai trouvé et qu'il est temporairement retenu ailleurs, je me suis permis... en attendant que quelqu'un d'autre trouve ou qu'il valide la réponse que je lui ai envoyée.

Il y a un indice dans mon précédent post.
 
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Réactions: l'écrieur
Nan.

:rose: mes excuses à l'écrieur, mais comme j'ai trouvé et qu'il est temporairement retenu ailleurs, je me suis permis... en attendant que quelqu'un d'autre trouve ou qu'il valide la réponse que je lui ai envoyée.

Il y a un indice dans mon précédent post.

Excuse-moi Lalis, je n'ai pas eu le temps de te répondre. Tu as bien fait de prendre l'animation en main, puisque tu connais la réponse.

Lalis vous a donné un indice. Je vais vous en donner un autre, histoire de vous stimuler un brin en attendant que Lalis dispose de la main.

C'est certainement l'arbre le plus célèbre du monde.

Ça vaut le coup de chercher un peu la réponse, non ? ;)
 
Bingo ! :up:

J'en avais concocté une, si vous permettez. Il y a aussi un arbre au 1er plan.

lalis-albums-portfolio-image1232-screenshot.jpeg

Pour le moment, pas d'indice, cherchez un peu.
;)
 
Je sais !!!

C'est le ginko qui a survécu au bombardement d'Hiroshima !

Oui. ;)
L'endroit par lequel la vie est revenue.
Vous connaissez certainement tous cette histoire. Elle est racontée souvent comme une anecdote, ou pour illustrer la longévité de ces arbres qui défient l'histoire.
Mais pour les japonais, elle est bien plus importante que ça. Après la bombe, après la vitrification, personne ne savait si la vie pouvait renaître. Jusque-là, les expérimentations, très peu nombreuses et à petite échelle, s'étaient effectuées dans des déserts.
Lorsque ce gingko (avec un g, vous faites la même faute Lalis et toi ;) ) a rebourgeonné, les gens ont su que la vie pouvait continuer à Hiroshima et Nagasaki.
Autour de l'arbre est érigé le musée-mémorial, vous l'avez compris.

Lalis, tu disposes de la main.
:zen:



PS : il y a peu de photos de cette arbre. Mais je crois qu'il y a de magnifiques plans de lui dans le film de Marc-Antoine Roubil ("Arbres"), ou dans la triologie Qatsi de Godfrey Reggio. Ou dans les deux, je ne sais plus.

Edit : le temps que je cherche le film, Lalis est déjà là ! ;)
 
Oups ! mais c'est ginkgo, pas gingko : tu me le copieras ! :D

La trilogie Qatsi... :love:
Oui, je crois bien que l'arbre y est.
A l'automne, les feuilles de ginkgo prennent une telle couleur dorée qu'on l'appelle l'arbre aux quarante écus (parce que celui qui a introduit le premier ginkgo en France aurait payé, pour cinq spécimens, quarante écus).

Edit : Précisions de spécialiste passionné ci-dessous.
On m'a offert un tout petit plan de ginkgo : j'espère vivre assez longtemps pour le contempler quand il me dépassera. :)
 
Oups ! mais c'est ginkgo, pas gingko : tu me le copieras ! :D

La trilogie Qatsi... :love:
Oui, je crois bien que l'arbre y est.
A l'automne, les feuilles de ginkgo prennent une telle couleur dorée qu'on l'appelle l'arbre aux quarante écus (parce que celui qui a introduit le premier ginkgo en France aurait payé, pour cinq spécimens, quarante écus).

Ah merde ! :D Je l'ai mal écrit. C'est une faute que je fais souvent. :D

Ceci dit, si je peux me permettre, l'histoire de l'arbre aux quarante écus vient de Pétigny, qui aurait acheté 5 plants à un botaniste anglais pour 40 écus, en 1788.

Mais ce n'est pas le premier à introduire le ginkgo en France. Le premier ginkgo français provient d'un don de l'explorateur anglais Sir Joseph Banks au botaniste français Auguste Broussonnet, en 1773. Ce dernier l'enverra au conservateur du Jardin Botanique de Montpellier, sa ville de naissance. Cet arbre vit encore, plus beau que jamais. Je ne me lasse pas de le regarder à toute saison. C'est un hybride, à la fois male et femelle. Il se fertilise seul. Un de ses rejetons fut le premier ginkgo parisien, planté dans le Jardin Botanique de Buffon.
La ville de Montpellier est pleine de ses autres rejetons, parfois en des lieux bien improbables (sur des terrasses), parfois en grappe d'arbres males et femelles.
 
Je sais. C'est dans le sud de l'Angleterre ; il s'agit de l'hôtel où Agatha Christie a été retrouvée après sa mystérieuse disparition volontaire.
D'ailleurs, cette région est magnifique, et je conseille à tous les fans d'aller faire un tour dans le Devon, sur les traces des Dix Petits Nègres et de nombreuses nouvelles :up:

Et non, je ne laisse pas la main.
 
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