Oui mais c'est un peu comme remplir son armoire à pharmacie de médicaments au cas où... sans connaitre les principes actifs de ceux ci, et les ingurgiter au pif, à ses risques et périls, au moindre bobo.
Mieux vaut ne toucher à rien tant que tout va bien (je le répète, Mac OS X ne va pas se mettre à mal fonctionner si on ne fait rien, on est pas sous Windows), et quand y'a un problème, appeler un médecin.
'+
je me permets de rectifier en
Mac OS X va se mettre à
de plus en plus mal fonctionner si on ne fait rien
sinon je ne vois pas pourquoi OnyX existerait et serait plébicité
Bon, je vais remettre les choses dans le bon sens, là. Vous avez raison tous les deux, chacun pour une partie des utilisateurs.
Gognol, oui, Mac OS X inclue des routines mettant automatiquement en route les mêmes utilitaires de maintenance que ceux qu'OnyX permet de démarrer manuellement.
Gazobu, oui, pour une grande part des utilisateurs, la situation va se dégrader, car ces routines sont programmées à une heure où le MacGéen moyen dort du sommeil du juste, et où son Mac est éteint.
Toutefois, ceci ne concerne pas deux catégories d'utilisateurs : ceux dont le Mac est allumé entre 1 et 4 heures du matin (on va dire), et ceux, un peu avertis, qui ont modifiés l'heure de démarrage par défaut de ces routines de maintenance.
Quant à l'existence d'OnyX (et de quelques autres), elle est justifiée par le fait que la mise en uvre manuelle de ces routines passe par des commandes absconses à entrer dans le terminal. Je le répète (encore et encore), OnyX ne fait que leur associer une interface graphique, rien d'autre.
Donc, pour se résumer, le vrai débat ne porte pas sur l'utilité d'OnyX, mais sur les indispensables précautions d'emploi qui doivent être associées à son utilisation, et qu'on peut résumer en cette simple phrase : "Quand on ne sait pas à quoi il sert, on appuie pas sur le bouton, on se documente".