Pétition : Libérez sonnyboy

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En fait, les amis, j'ai un trou de mémoire là :heu:

Faut m'excuser, c'est l'âge (avancé) :confused:

Alzheimer est sur moi :(

C'est qui déjà sonnyboy ? :confused:

(là, vous aurez remarqué, je fais semblant de ne pas me souvenir de sonny, alors que, fut une époque, sonny et moi, nous étions inséparables).

(c'est que je suis un peu espiègle)

(donc, pour vous distraire, je fais semblant de ne pas me souvenir de sonny :D)

(alors que je m'en souviens très bien)

(d'ailleurs, si je le croisais dans la rue, je le reconnaitrais au premier coup d'œil)

(sur le fond grammatical, faudrait que je n'abuse pas des parenthèses à l'avenir)

(cela dit, parce que je viens de me relire)
 
Plus de citations.... :(


NON REVIENS NOUS NEURONE...
 
Faut m'excuser, c'est l'âge (avancé) :confused:

Alzheimer est sur moi :(

Je ne vois pas en quoi l'âge est une excuse pour étaler tes turpitudes avec l'individu Alzheimer ou qui que ce soit d'autre sur ce forum qui se prétend honorable. Sans compter que Sonnyboy doit s'en taper le… vous connaissez la suite.

Et ce serait bien qu'il revienne voir ce poulailler-ci (qui , je vous l'accorde, ressemble plus à un zoo qu'à un poulailler, et, en parlant de zoo, je reste dans l'euphémisme :D)
 
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Réactions: CouleurSud
Je ne vois pas en quoi l'âge est une excuse pour étaler tes turpitudes avec l'individu Alzheimer ou qui que ce soit d'autre sur ce forum qui se prétend honorable. Sans compter que Sonnyboy doit s'en taper le… vous connaissez la suite.

Et ce serait bien qu'il revienne voir ce poulailler-ci (qui , je vous l'accorde, ressemble plus à un zoo qu'à un poulailler, et, en parlant de zoo, je reste dans l'euphémisme :D)

Meu non, il ne faut pas être tout aigri comme ça, mon vieux Luc :heu:

Excuse, âge, turpitude, honorable, Alzheimer, pfoui...:siffle:

Entre nous, je n'en ai rien à taper de tout ce vacarme autour de sonny

Je poste juste pour faire des parenthèses :)
 
Il va finir par ressembler à l'E.T. de Roswell le Sonny, tout le monde en parle, mais personne ne l'a vu ( en tous cas, pas depuis longtemps :siffle: ) :D


Notons au passage que l'on peut remplacer l'E.T de Roswell par "la femme intelligente", "l'homme sensible", "le politicien intègre", selon l'orientation voulue... :p
 
Il va finir par ressembler à l'E.T. de Roswell le Sonny, tout le monde en parle, mais personne ne l'a vu ( en tous cas, pas depuis longtemps :siffle: ) :D


Notons au passage que l'on peut remplacer l'E.T de Roswell par "la femme intelligente", "l'homme sensible", "le politicien intègre", selon l'orientation voulue... :p

Sonny en arlésienne … L'image est plaisante :D
 
Il va finir par ressembler à l'E.T. de Roswell le Sonny, tout le monde en parle, mais personne ne l'a vu ( en tous cas, pas depuis longtemps :siffle: ) :D


Notons au passage que l'on peut remplacer l'E.T de Roswell par "la femme intelligente", "l'homme sensible", "le politicien intègre", selon l'orientation voulue... :p
N'a t'il pas pris une retraite bien méritée dans une vallée verdoyante de l'arrière pays niçois?? Ou alors il a un sosie...
Enfin j'dis ça...:siffle:
 
N'a t'il pas pris une retraite bien méritée dans une vallée verdoyante de l'arrière pays niçois?? Ou alors il a un sosie...
Enfin j'dis ça...:siffle:

J'en ai déjà parlé au début de ce fil. Sonny s'est retiré pour méditer sur ses vices, ce qui devrait durer un bon moment.
Vêtu d'une robe de bure il arpente les collines, les pieds en sang, psalmodiant des chansons de Marcel Amont.
Les habitants lui offrent des bols de riz qui est sa seule nourriture, les soirs de fêtes agrémenté de quelques cloportes que le soir rend gourds. Il a décidé de ne plus pratiquer le sexe, ni la photographie, ayant découvert qu'il était particulièrement mauvais dans ces deux disciplines.

Frère Sonny hurle dans la montagne, et l'écho le lui rend bien.
 
Frère Sonny hurle dans la montagne, et l'écho le lui rend bien.

il parait qu'on l'entend à des kilomètres lançant des propos incohérents sur des rambardes, des poulaillers et des futals...
 
J'en ai déjà parlé au début de ce fil. Sonny s'est retiré pour méditer sur ses vices, ce qui devrait durer un bon moment.
Vêtu d'une robe de bure il arpente les collines, les pieds en sang, psalmodiant des chansons de Marcel Amont. Les habitants lui offrent des bols de riz qui est sa seule nourriture, les soirs de fêtes agrémenté de quelques cloportes que le soir rend gourds. Il a décidé de ne plus pratiquer le sexe, ni la photographie, ayant découvert qu'il était particulièrement mauvais dans ces deux disciplines.

Frère Sonny hurle dans la montagne, et l'écho le lui rend bien.

C'est pas crédible, si vraiment il débite du Marcel Amont à tue-tête (et là, cette locution adverbiale prend tout son sens !!), on ne peut imaginer les autochtones lui donner autre chose que des cailloux et cela avec élan... :rateau: :D

Bref, LIBEREZ SONNYBOY...

Ceci dit, le doute m'habite quand même un peu, j'avoue que cette histoire de prise de conscience et quand même extrêmement crédible... :p :D
 
C'est pas crédible, si vraiment il débite du Marcel Amont à tue-tête (et là, cette locution adverbiale prend tout son sens !!), on ne peut imaginer les autochtones lui donner autre chose que des cailloux et cela avec élan... :rateau: :D

Il est visible que tu ne connais pas les habitants du coin... Le dernier que j'ai vu avait quelques années de crasse sur la peau, rendant inutile le port de vêtements. Il portait juste une casquette à carreaux dont plusieurs, cassés, étaient remplacés par des couvertures de cahiers Riz La Croix© fixés par de vieux sparadraps.
Un mégot jaunatre, accroché à la moustache, s'agitait au rythme des grognements et éructations que l'individu émettait. Il est à noter que le côté droit de la moustache portait des traces de carbonisation avancée, probablement dues à l'utilisation hasardeuse du briquet à amadou dont il ne se sépare jamais.

Lors de notre "conversation" (si je puis dire), son unique oeil vitreux, délicatement ourlé d'une substance irisée ne s'est agité que lorsque d'un geste étonnamment vif il s'est jeté sur un mille pattes qui trainait par hasard entre ses sabots, avant de le mastiquer avec un air gourmand. Inutile de préciser que Sonny était aux anges. Il m'a longuement entretenu ensuite de la sagesse de ce rude paysan des montagnes, icône d'un passé toujours présent en ces régions recullées et dont la vie simple et tranquille était désormais un modèle pour lui.
 
J'ajoute que Sonny fredonnant "un mexicain basané" durant tout l'entretien, le berger me fixant d'un oeil de verre fêlé, le valide dirigé vers la planète Mars, me prit à témoin en m'expliquant que Sonny "était le premier poète vivant aussi longuement dans le coin, les autres ayant été dévorés par le garde champètre". Trouvant là une fissure dans laquelle je pensais pouvoir créer un rapprochement entre nos deux mondes, je lui ai alors parlé de Beaudelaire.
Funeste erreur. Il a brisé mes volontés de communication : se grattant la casquette d'un ongle sur lequel il y avait assez de matière grasse pour nourrir les 3/4 du continent africain pour les prochaines années, il siffla un laconique "connais pas. Y'passe aux grosses têtes ?" ponctué d'une flatulence qui fit plier les genêts dans un rayon de 10 mètres, ultime message du scolopendre ingéré quelques minutes plus tôt.
 
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Réactions: Fab'Fab
Je vous vois, là, en train de sourire, pensant "il exagère".

Oubliez toute espérance. Tout ce que je vous narre est vrai. Je pourrais également vous décrire Lili, la prostituée du village dont le pied bot est exposé entre les bacs à fleurs de sa fenêtre lorsqu'un client est en cours de vidange, le garde champêtre qui utilise des tibias de parisiens pour frapper la peau de fesses d'un Lyonnais à chaque annonce de décès qui fait ricaner la populace sous les frais ombrages de la place, le Maréchal Ferrant (aucun rapport avec Benjamin, faut-il le préciser ?) qui coupe les pattes des équidés en fonction de la pente sur laquelle ils se déplacent, "Mymm", la sorcière qui promet de "redonner la force pour visiter Lili" à ceux qui, gorgés de Gévéor 3 étoiles (le velours de l'estomac) ne peuvent plus l'accrocher à leur mat comme un jambon de cocagne, Arthur, le Maire qui depuis qu'il a découvert les aventures bandedéssinesque du célèbre fantôme s'est auto proclamé justicier et flingue à tout va les voitures qui franchissent les limites communales...
 
Certains d'entre vous pensent probablement que c'est l'endroit rêvé pour organiser une AES. Ceux là n'ont jamais vu le 14 juillet dans ce village oublié de toute civilisation. Point de lampions : des testiboules de touristes dansent au gré du vent mauvais entre les arbres, des faciès réduits et évidés luisent dans l'obscurité aux lueurs des bougies, un immense feu sur lequel tournent des corps de visiteurs égarés, fourrés d'insectes inconnus, est le lieu central de cette fête païenne et effrayante.

Et au milieu de cette atroce ribambelle de dégénérés, Sonny, le Sarri orange comme une étoile filante, l'écume aux lèvres, fou entre les déments, son sexe racorni battant la chamade telle une hélice faussée, qui hurle du Marcel Amont aux étoiles.

Sonny, Dieu vivant de ces pauvres individus cannibales et décérébrés, qui lance des malédictions aux elfes de la montagne, qui vomit, se conchie, sphincters libérés de toute morale, membres vrillés et yeux fous.

Je vous parle ici en tant que seul survivant de ces affreuses soirées.
 
Oui, mais finalement, dans quel état ??? :siffle: :D :love:

Je ne voulais pas aborder ce douloureux détail. Mais ma survie n'est due qu'a l'acceptation de bassesses que la charte et la morale chrétienne m'interdisent de décrire ici. :o

J'ai maintenant en moi un être qui grandit, monstre enfanté par le mélange de tout le village. Mackie, à côté, c'est Bambi. Et Benjamin l'a déjà réservé pour modérer le bar. Vous mangez votre pain blanc.
 
LIBEREZ SONNYBOY QUI CHANTE LES CHANSONS DU COUSIN !!!

S'IL FAIT CA, C'EST QU'IL N'EST PAS MAUVAIS !
 
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