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  • Créateur du sujet Créateur du sujet krystof
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Ce sujet est fermé.
Amok a dit:

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Amok a dit:
Les forums sont ainsi faits mon bon doc
ils s'enroulent souvent autour d'un bock
Moussent comme l'orge et finissent liquides,
Rots, Chansons paillardes, et visages livides!

Hélas oui, c’est ainsi que sont faites les choses
Et vous avez raison. Car de quoi que l’on cause,
Quel que soit le sujet de nos discussions, (1)
Nos plus nobles pensées cèdent à la boisson.
Qu’il s’en faut peu parfois — Je le crains, j’en ai peur —
Que tout n’aille finir dans un sani-broyeur, (2)
Et comme nos esprits sont volages en effet
De musarder ainsi, de sujet en sujet !

(1) Attention à la diérèse ! | (2) On le saura...
 
Le krystof me menace, me propose non pas
De tirer ma crampe mais d'inverser les rôles!
Je fuis, rasant les murs, a tous petits pas
Et passant derrière l'écran, les pixels, sur le mol
Tapis où courent les souris je tends la main
En pince une par la queue, sur son dos poilu
Claque un post-it où il est écrit "demain,
Surtout pense à la crampe, ne cours pas cul nu!"
 
En voilà une tentative de retournement de situation avortée!

Que de propositions pour l'Amok mais il n'est pas un homme facile et cela même s'il a l'adresse d'une bête fauve pour piéger les souris. Il s'amuse avec les rats ou assimilés mais il est trop fin gourmet pour s'en contenter, même préparés ou agrémentés
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Roberto Vendez a dit:
Je n'ai pas hélas messieurs votre talent conjoint
Pour ainsi m'exprimer en beaux z'alexandrins
Cependant je me lance je vous dis mon plaisir
Qu'en ce trop court instant je ressens à vous lire !
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Pour ne rien te cacher, mon cher ami nantais,
Et pour rejoindre aussi le propos de Christophe,
Je rêve d’un sujet où s’enfilent les strophes,
Où l’on parle un peu moins des sujets enfilés…

On badine, et le ton de nos légèretés
Séduit bien des démons aux tridents acérés.
Mais il serait dommage — Et même immérité !
Que se réduise à Q notre faible alphabet…

D’autres lettres ont pour moi des charmes violents
Qu’il faut savoir aimer à leur juste valeur.
Malgré l’impérieux rappel de nos ardeurs,
Qu’il est doux d’alterner l’objet de nos tourments !

Parlons d’amour gaiement, partageons nos lueurs ;
Tour à tour, soyons tristes ou joyeux à l’envi :
Que toujours la chaleur de nos plaisanteries
Apaise les esprits et réchauffe nos cœurs !
 
Survient soudain l’instant ou la foule se tait ;
le public est béat devant sa Seigneurie.
Quelques femmes suffoquent, découvrant quel étai,
contre vents et tournées, lui offre son appui.

« Cette vision m’effraie !
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— Cela va se briser !
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— Voyez comme il est fait !
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— sa grandeur m’éblouit !
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»

Les hommes goguenards (et quelque peu jaloux),
saouls, s’essoufflent à sifler – mâle félicité.
Certains, bien plus discrets, contractent leurs genoux.
De son si bel ego Amok les a toisé.
 
Nephou a dit:
Les hommes goguenards (et quelque peu jaloux),
saouls, s’essoufflent à sifler – mâle félicité.
Certains, bien plus discrets, contractent leurs genoux.

Bien vu, bien dit.
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