Supprimer partition Boot Camp
- Créateur du sujet Hantt
- Date de début
D
Deleted member 1099514
Invité
Pour supprimer la partition BootCamp, il faut repasser par l'assistant BootCamp (celui qui a permis de la créer)
M
Membre supprimé 1060554
Invité
Je voudrais saluer par une petite glose matinale cette commande proposée par Jean 
:
« Je ne vois rien ici que de très réglementaire ! » - s'exclamera le spécialiste de la ligne de commande. Et d'en détailler la raison par l'analyse suivante : après le préfixe sudo pour bénéficier des droits de root, le programme diskutil est invoqué en "sujet" de la commande avec le "verbe" : eraseVolume ("effacer volume") qui permet de reformater une partition. Ce verbe réclame en "complément d'objet" une triplette : [FORMAT NOM DEVICE] parfaitement respectée : "free" (abréviation légitime de free\ space) est l'indication de format (qui dans les faits désigne un "non-format" : le statut d'« espace libre » hors Table de Partition GUID) ; "space" est le choix d'un nom quodlibétique (requis, même si ce n'est pas un volume à proprement parler qui va être recréé, mais un non-volume en tant qu'espace libre) ; enfin /dev/disk0s4 désigne la partition n°4 de la Table de Partition GUID d'après les conventions logiques de désignation des devices.
Cette analyse de spécialiste concluant à la validité de la commande (ce que confirmera le Système en l'exécutant) laisse néanmoins échapper le trait d'humour linguistique consistant à faire voisiner le terme "free" comme désignatif abrégé d'un format et le terme "space" comme choix de nom de "volume". En effet, le lecteur "Humain" ne manquera pas d'associer ces 2 termes (qui ont des valeurs logiques distinctes pour le Système) en une expression composée « free space » porteuse d'un sens unique : « espace_libre ». Faire voisiner la désignation de format "free" et le nom de volume arbitraire "space" pour induire le lecteur humain (et lui seul) à les lire ensemble comme l'expression composée : "free space" = « espace libre » - voilà un clin d'œil savoureux à ce qui disinguera toujours l'usage humain du langage de son usage informatique : la capacité à superposer des "niveaux de sens" par liberté de lecture associative des mots d'une phrase.
Où l'apparent oubli de la barre oblique d'échappement \ permettant de solidariser free et space en free\ space pour désigner validement le format : espace_libre, s'avère légitime puisque le seul abréviatif "free" désigne ici ce format free\ space, le space valant en nom de volume : ainsi, l'espace libre entre free et space est ce qui permet à l'œil humain d'associer ces termes au 2è degré pour y lire le sens collectif : espace_libre.
:« Je ne vois rien ici que de très réglementaire ! » - s'exclamera le spécialiste de la ligne de commande. Et d'en détailler la raison par l'analyse suivante : après le préfixe sudo pour bénéficier des droits de root, le programme diskutil est invoqué en "sujet" de la commande avec le "verbe" : eraseVolume ("effacer volume") qui permet de reformater une partition. Ce verbe réclame en "complément d'objet" une triplette : [FORMAT NOM DEVICE] parfaitement respectée : "free" (abréviation légitime de free\ space) est l'indication de format (qui dans les faits désigne un "non-format" : le statut d'« espace libre » hors Table de Partition GUID) ; "space" est le choix d'un nom quodlibétique (requis, même si ce n'est pas un volume à proprement parler qui va être recréé, mais un non-volume en tant qu'espace libre) ; enfin /dev/disk0s4 désigne la partition n°4 de la Table de Partition GUID d'après les conventions logiques de désignation des devices.
Cette analyse de spécialiste concluant à la validité de la commande (ce que confirmera le Système en l'exécutant) laisse néanmoins échapper le trait d'humour linguistique consistant à faire voisiner le terme "free" comme désignatif abrégé d'un format et le terme "space" comme choix de nom de "volume". En effet, le lecteur "Humain" ne manquera pas d'associer ces 2 termes (qui ont des valeurs logiques distinctes pour le Système) en une expression composée « free space » porteuse d'un sens unique : « espace_libre ». Faire voisiner la désignation de format "free" et le nom de volume arbitraire "space" pour induire le lecteur humain (et lui seul) à les lire ensemble comme l'expression composée : "free space" = « espace libre » - voilà un clin d'œil savoureux à ce qui disinguera toujours l'usage humain du langage de son usage informatique : la capacité à superposer des "niveaux de sens" par liberté de lecture associative des mots d'une phrase.
Où l'apparent oubli de la barre oblique d'échappement \ permettant de solidariser free et space en free\ space pour désigner validement le format : espace_libre, s'avère légitime puisque le seul abréviatif "free" désigne ici ce format free\ space, le space valant en nom de volume : ainsi, l'espace libre entre free et space est ce qui permet à l'œil humain d'associer ces termes au 2è degré pour y lire le sens collectif : espace_libre.
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