voulez-vous une énigme policière ?

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ApplePie

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Club iGen
6 Mai 2002
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... attention, c'est un peu long !!
cela demandera quelques épisodes (et donc du suspens !!)
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à la demande générale :
"Ils avaient dû arriver en éteignant leurs lampes-torches, car je n'eus conscience de leur présence qu'au moment où l'un d'eux alluma la sienne juste derrière mon dos, en disant:
- Alors, qu'est-ce qui se passe?
Il me surprit là, debout comme un crétin, avec le ressort dans ma main, regardant les pièces qui dégringolaient du téléphone payant. Il y avait de l'argent sur tout le sol de la cabine, et sur l'étagère sous le combiné. Une pièce ou deux étaient coincées dans le métal tordu.
Je ne me retournai pas. Je me disais que j'aurais la lumière juste dans les yeux, et je ne voulais pas que la situation empire encore. Je me contentai de ne pas bouger, regardant son grand bras s'élever et sa grosse main revisser l'ampoule électrique au-dessus de nos têtes. Il s'inséra dans la cabine téléphonique, me coinçant contre la paroi tandis qu'il fermait la porte. La lumière se fit.
Il grogna comme s'il avait prévu ce qu'il voyait.
- On fracture la cagnotte, hein ? Allez, fiston, on sort ; et on va causer. Il ouvrit la porte et la lampe s'éteignit. Je commençais à me retourner, quand sa torche s'alluma de nouveau
- Arrête. Ne fais pas un mouvement. (Il haussa la voix.) Andy, ôte le sandwich qui est dans mon sac, et apporte-moi le sac.
Quelques secondes après, j'entendis claquer la portière et l'autre flic s'amena. Celui qui me tenait épinglé dit à son copain:
- Merci. Junior, ici présent, va nettoyer son gâchis. Tourne-toi, mon garçon. Parfait. Maintenant, donne ce bout d'acier. Pose-le là.
Une grosse main s'avança devant moi, un mouchoir étalé sur la paume. Je déposai la lame de ressort sur le mouchoir. Mes empreintes se trouveraient sur le métal. J'étais vraiment coincé.
- Écoutez, dis-je. C'est pas moi. Je viens d'entrer pour téléphoner, et...
- Bien sûr.
Sous l'éclairage de la rue, sa silhouette était impressionnante.
- C'est jamais eux, même quand on les prend la main dans le sac.
- Si vous voulez bien m'écouter...
- Tout ce que je veux écouter, c'est le fric qui va tomber dans ce sac. Au boulot.
On m'avait toujours dit qu'il ne fallait pas discuter avec les flics, et ils étaient deux, dont un plus grand que moi. Je la bouclai, et me mis à ratisser les pièces de monnaie. Je fis attention de ne pas en oublier, pas même une dans le coin du fond, ni ce qui était encore dans la boîte à sous elle-même.
Finalement je me redressai et me retournai. La grosse patte sortit encore de derrière la lampe-torche.
- Okay. Tu peux me le donner, maintenant.
- Écoutez, m'sieur l'agent, dis-je, le plus tranquillement possible, j'ai fait ce que vous désiriez. Si vous voulez m'écouter un instant, je vous dirai une chose qui prouvera que ce n'est pas moi.
- T'essaies de me dire que j'ai pas vu ce que j'ai vu ?
L'autre flic, celui qu'il avait appelé Andy, intervint. Son ton était un peu plus calme.
- Accordons-lui une minute, Mike. Vaudra mieux qu'on rentre en ayant examiné tous les points de vue. Faudrait pas oublier quelque chose qu'on puisse nous reprocher plus tard.
Le grand se tut pendant une seconde.
- Okay, acquiesça-t-il finalement. Écoutons-le.
- Voilà, dis-je en essayant de ne pas montrer mon soulagement. J'étais sorti avec trois autres gars. Je vais vous donner leurs noms...
- Plus tard.
- Je venais de raccompagner le dernier chez lui et je commençais à traverser le parc, quand la bagnole est tombée en panne, juste après le coin, là-bas. C'est l'auto de mon père. Je ne peux pas la faire démarrer, on dirait qu'il y a une poussière dans le pointeau du carburateur. Vous savez bien ce qui se passe quand on laisse une bagnole dehors, surtout dans le parc. Elle est mise en fourrière, et ça coûte cher pour la récupérer. Aussi j'ai pensé qu'il valait mieux téléphoner à papa, puis appeler le garage Brown.
- Et tu n'avais pas de monnaie, alors tu t'es dit que tu allais te servir là-dedans...
Andy l'interrompit encore.
- S'il avait fait ça, il aurait risqué de couper le téléphone, Mike. Laisse-le finir.
Je continuai:
- Quand je suis arrivé en vue de la cabine, il m'a semblé voir quelqu'un sortir et disparaître, mais je n'en suis pas sûr. Et quand je suis entré là-dedans, tout y était comme vous l'avez vu. Le ressort se trouvait sur l'étagère. Comme un idiot, je l'ai ramassé. Et alors vous êtes arrivés. Et voilà.
L'autre flic dit:
- On peut toujours vérifier au sujet de la voiture. Ça ne prendra que quelques minutes. De quel côté est-elle, fiston?
Je montrai du doigt.
- Là-bas, à deux cents mètres. C'est une Chevrolet 57.
Le grand me prit par le bras.
- Allons-y.

(à suivre)
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par ApplePie:</font><hr /> à la demande générale :


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Et sous les ovations de la foule en délire
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr />

Et sous les ovations de la foule en délire
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pardonne moi, compte tenu de notre "douce altercation" précédente, j'ai mal lu (ul ?) ton "ovation" !!!
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ouais, je me suis souvenu que nous étions en monarchie parlementaire sur les forum MacG... non, alèm, ce n'est pas de la politique !!!
 
"Je marchai avec eux jusqu'à la voiture de police. Ils me mirent devant avec Andy, le chauffeur. Mike s'installa derrière moi. Comme nous passions sous le réverbère, je vis qu'il avait un visage massif et grêlé. Son copain était plus petit, plus mince, avec des sourcils blonds et un nez pointu.
Nous fûmes près de la Chevrolet presque avant que j'aie fini de m'asseoir. Nous nous rangeâmes à côté. Andy allongea une main.
- Les clés.
Je les lui donnai.
- Pour démarrer, il faut...
- Je sais, dit-il en s'extirpant de derrière son volant.
Il alla lancer le démarreur de la Chevrolet, deux ou trois fois, puis sortit et souleva le capot. Il éclaira le moteur avec sa torche pendant une minute, puis ferma le capot et revint.
- C'est bien comme il a dit.
Il me rendit les clés et je me sentis mieux. Mike s'éclaircit la gorge.
- Et alors? Ça ne signifie pas qu'il est innocent.
Andy pianota sur le volant.
- Il ne pourrait pas utiliser ce tacot pour se sauver. Au fait, comment t'appelles-tu, fiston?
- David Carey.
- Et le nom de ton père?
- Samuel E. Carey.
Andy hocha la tête.
- La plaque est à ce nom. Fais voir ton permis de conduire.
Je le lui passai. Il y jeta un coup d'oeil et me le rendit.
- C'est exact.
- Bien sûr, dis-je. Tout est exact. Écoutez, je vous ai dit la vérité. Pourquoi ne pas me laisser partir et vous mettre à la recherche de cet autre type? Il faut encore que je téléphone chez moi, et il vaudrait mieux que j'appelle le garage.
Mike souleva le sac de pièces..
- Qui nous dit que tu ne figures pas une ou deux fois déjà sur le registre du sergent Jensen?
- Oh ! non. Je n'ai jamais eu d'histoires de ma vie. Je ne tiens pas a commencer maintenant.
Andy fit:
- On ne veut pas être vaches envers personne, fiston. Mais on serait des drôles de flics si on ne t'emmenait pas au poste. Ils ne feront probablement rien, mais ils aiment bien prendre les décisions eux-mêmes.
- Mais l'auto...
- T'en fais pas pour l'auto. Si tu n'as rien à te reprocher, nous veillerons à ce que tu n'aies pas d'ennui pour quelque chose que tu n'as pu empêcher.
Il poussa le levier sur Marche, et nous roulâmes.
Nous fûmes au poste en moins de dix minutes. Ils m'emmenèrent dans une pièce avec plusieurs chaises en bois le long des murs, un plancher usé et un flic derrière un bureau. Il avait le cheveu brun clairsemé, et une figure en lame de couteau. Je sus que c'était le sergent de nuit, Driscoll.
Il me regarda, impassible, puis sortit une espèce de formulaire et se mit à me poser des questions. Lorsqu'il en arriva à mon âge, et que je dis: « Seize ans », il regarda Mike, puis déclara:
- Vaut mieux appeler ses parents pour qu'ils viennent ici. Qu'a-t-il fait? - On suppose qu'il a fracturé un téléphone public pour prendre la mitraille. Tenez.
Mike posa le sac sur le bureau.
- Alors ils n'auront pas besoin d'avocat. Son vieux suffira.
Mike empoigna le téléphone.
- Quel numéro, petit?
Je me tournai vers le sergent Driscoll.
- Vous allez m'inculper?
Il ne sourcilla même pas.
Il faut que ce soit enregistré, fiston. Ils t'ont amené. Je n'ai pas encore tout entendu. Mais tout ce qui est amené ici doit être inscrit. Maintenant, allons-y. Je ne dis rien, cherchant le moyen d'éviter que mon nom soit sali.
Driscoll reprit :
- Si tu n'as rien fait, ça ne peut pas être retenu contre toi. Tu as seize ans. Nous n'avons pas l'habitude de raconter dans toute la ville quels sont les gosses qui viennent ici. A présent, finissons-en, car j'ai autre chose qui m'occupe.
Andy, qui se tenait à côté de moi, jeta une allumette dans un
cendrier sur le bureau.
- Qu'est-ce qui se passe?
- Une espèce de rixe a éclaté il y a cinq minutes, expliqua Driscoll, près du carrefour de Locust et de la 3e Rue. Et la famille d'une fille a appelé, à peu près au même moment, pour déclarer que la môme est en retard pour rentrer - elle n'est ni chez ses amis ni dans les hôpitaux. Elle a dû se planquer quelque part avec un gars. (Il me regarda.) Elle s'appelle Joyce Reynolds. Tu la connais?
- Je sais qui c'est. Elle est dans la classe au-dessus de moi au collège.
- Avec qui sort-elle?
- J'ai entendu dire que c'est avec Herb Blackwood.
Il regarda un bloc-notes.
- Il déclare ne pas l'avoir vue...
Andy demanda paresseusement:
- Aucun gang de gosses n'a rien fait, ce soir?
- Pas que je sache. Bon... Revenons à nos moutons.
Il regarda Andy, puis Mike.
- Parlez-moi de celui-ci.

Environ une demi-heure après, papa arriva. Il n'entra pas comme un ouragan, comme certains pères qu'on voit à la télévision; et il n'entra pas le chapeau à la main, prêt à se faire marcher dessus. Il me regarda simplement, puis regarda Driscoll (les deux autres étaient repartis au travail), et dit:
- L'agent qui a téléphoné disait que Dave a été surpris en train de fracturer un téléphone public.
Le sergent tapota le papier du bout de son crayon.
- On le dirait, oui, Mr Carey. Mais il y a une histoire au sujet de votre auto, qui pourrait être en sa faveur.
- Que voulez-vous que nous fassions?
Nous.
Le sergent fut précis.
- Nous allons transmettre ce rapport au sergent Jensen, de la Brigade des mineurs, et le laisser vérifier. Pour le moment, nous confions ce garçon à votre garde. Je suggère qu'il revienne ici demain, pour parler avec le sergent Jensen.
- Il viendra. A quelle heure?
Driscoll réfléchit.
- Cela prendra un certain temps. Inutile de lui faire manquer l'école. Disons vers quatre heures.
- Il sera ici à quatre heures. Dois-je venir aussi?
- Comme vous voudrez. Jensen ne les avale pas pour les recracher en petits morceaux. Et parfois, ça s'arrange mieux quand l'enfant est seul. Pourquoi ne pas vous en remettre à lui?
- Entendu.
Papa se détourna et m'examina.
- Tu ne sembles pas mal en point... Mais ta mère dira peut-être quelque chose pour cette terre sur tes genoux. Comment as-tu attrapé ça ?
- Je brossai mon pantalon. Ça ne s'en allait pas bien.
- Je suppose que c'est en m'agenouillant dans cette cabine pour ramasser l'argent. Driscoll fit une légère grimace. Sa voix grinça un peu:
- Il n'a pas été maltraité, si c'est ce que vous voulez dire.
Il nota quelque chose sur le papier placé devant lui.
Papa semble très inoffensif quelquefois, mais ce ne fut pas le cas; ses yeux brillèrent, et je crus presque voir ses cheveux crépiter.
- Personne n'a suggéré ça, avant que vous le fassiez, lança-t-il à Driscoll. Personne n'en parlera si ce n'est pas nécessaire. Mais quelqu'un le fera si cela s'avère nécessaire.
Il se retourna vers moi.
- Maintenant, dis-moi ce qui est arrivé à la voiture et rentrons chez nous.

(à suivre)
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par ApplePie:</font><hr /> Andy, ôte le sandwich qui est dans mon sac

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Encore une histoire de sandwich
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Soudain j'y pense, elle tient pas debout ton histoire Applepie, le gamin a seize ans et il conduit
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Oui, mais vu la voiture qu'il conduit, il y a des chances que ce soit aux pays chéri de Georges Bouche
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Quoi, c'est pas politique là ?!
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr /> Soudain j'y pense, elle tient pas debout ton histoire Applepie, le gamin a seize ans et il conduit
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possible dans certains états des states !!
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr /> OK j'avais pas fais attention, mais je me demande où est l'énigme
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impatiente comme une femme (supposée)
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par Finn_Atlas:</font><hr /> Oui, mais vu la voiture qu'il conduit, il y a des chances que ce soit aux pays chéri de Georges Bouche
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Quoi, c'est pas politique là ?!
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ouais, mais je serais toi, je ferais gaffe à son gros missile !!
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr /> OK j'avais pas fais attention, mais je me demande où est l'énigme
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tu imagines la suite !!
que peut-on lui reprocher, à ce jeune david carey ?
il a l'air bien sympa et bien poli... son père aurait dû acheter une voiture à injection, c'est pas de bol !! et puis ces vauriens qui vandalisent une cabine téléphonique quand on en a besoin !!!
c'était un petit résumé !!
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr /> Et a quelle heure se passe cette scène ?

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nuitamment au début, diurnement pour la suite !!
désolé, je ne possède qu'un cadran solaire... tu voulais peut-être les secondes
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par ApplePie:</font><hr />
nuitamment au début, diurnement pour la suite !!
désolé, je ne possède qu'un cadran solaire... tu voulais peut-être les secondes


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Et ce gamin se promène comme ça en pleine nuit ? Que font ses parents ?
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr />

Et ce gamin se promène comme ça en pleine nuit ? Que font ses parents ?


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tu deviens indiscrète, là... que fais-tu quand ton(es) enfant(s) est(sont) à l'école, en gouter ou dans la (belle) famille !!!
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par barbarella:</font><hr />

Et ce gamin se promène comme ça en pleine nuit ? Que font ses parents ?


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Cà a eu un sacré effet sur Barbarella l'histoire du petit Charles Henri : depuis elle n'arrête pas de poser des questions ouvertes. J'espère que ce n'est pas trop le cas chez toi avec ton mari
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par ApplePie:</font><hr />
tu deviens indiscrète, là... que fais-tu quand ton(es) enfant(s) est(sont) à l'école, en gouter ou dans la (belle) famille !!!


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Je ne vois pas le rapport
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