Adobe LightRoom

Mais essaye cette version de Lightroom Cédric !!!!!!! et on en reparle après :D

En fait, j'ai essayé la Bêta. Très beau logiciel. Mais comme j'utilise CS, avec la bêta actuelle (CS3) je ne suis pas sûr de l'intérêt pour mes besoins. Ce logiciel est fabuleux mais il y a des trucs qui me dérangeaient. Je vais attendre la version finale de CS3 et voir ce qui peut réellement m'apporter quelque chose dans Lightroom. Je prendrais la version d'essai à ce moment là.

Ah oui, je la trouve très classieuse, mais le fond sombre me fatigue. Ils ont eu la bonne idée de te laisser le choix comme dans... Bridge ? :D :D :D
 
En fait, j'ai essayé la Bêta. Très beau logiciel. Mais comme j'utilise CS, avec la bêta actuelle (CS3) je ne suis pas sûr de l'intérêt pour mes besoins. Ce logiciel est fabuleux mais il y a des trucs qui me dérangeaient. Je vais attendre la version finale de CS3 et voir ce qui peut réellement m'apporter quelque chose dans Lightroom. Je prendrais la version d'essai à ce moment là.

Ah oui, je la trouve très classieuse, mais le fond sombre me fatigue. Ils ont eu la bonne idée de te laisser le choix comme dans... Bridge ? :D :D :D
:D
Mais teste cette V1.0 :p :D :D
 
En fait, j'ai essayé la Bêta. Très beau logiciel. Mais comme j'utilise CS, avec la bêta actuelle (CS3) je ne suis pas sûr de l'intérêt pour mes besoins. Ce logiciel est fabuleux mais il y a des trucs qui me dérangeaient. Je vais attendre la version finale de CS3 et voir ce qui peut réellement m'apporter quelque chose dans Lightroom. Je prendrais la version d'essai à ce moment là.

Ah oui, je la trouve très classieuse, mais le fond sombre me fatigue. Ils ont eu la bonne idée de te laisser le choix comme dans... Bridge ? :D :D :D

la béta n'a pas grand chose a voir avec la V1
 
bon, j'ai basculé ma biblio sous Lightroom...pas mal de pertes au passage :D ...il y a une manip pour que Lightroom reconnaisse toutes les métadonnées rentrées sous iview (lieu, ville, emplacement, etc...), ou alors il va falloir que je me recogne le truc?
Après, sur mon ImacG5, franchement, c'est pas non plus l'hyperéactivité au niveau de la bibliothèque...
 
ayé, je viens de recevoir ma boite. :)
j'eus peut-être été plus hesitant si apple de son coté fut plus réactif sur la prise en charge des raw, comme ce n'est pas le cas et que cette version 1.0 est un régal à l'utilisation... elle est definitivement mienne.
 
bon, j'ai basculé ma biblio sous Lightroom...pas mal de pertes au passage :D ...il y a une manip pour que Lightroom reconnaisse toutes les métadonnées rentrées sous iview (lieu, ville, emplacement, etc...), ou alors il va falloir que je me recogne le truc?
Après, sur mon ImacG5, franchement, c'est pas non plus l'hyperéactivité au niveau de la bibliothèque...
pour les métadonnées c'est HS, t'as plus qu'à retagger tout ;) et puis t'as pas bien lu mes histoires de cuk :p
cuk a dit:
Et si je répertorie ces images dans LightRoom, eh bien je ne les vois pas, ces personnes, dans les données IPTC. Les seules données que je retrouve, ce sont les mots clés. Bon, la solution éventuelle que je vois, c’est de faire une recherche sur Basile dans iView, comme au paragraphe précédent, ajouter un mot-clé “Basile”, et de glisser la sélection sur ce mot-clé. Ensuite une petite synchronisation de la sélection, pour “taguer” les images elles-mêmes et paf, une recherche sur le mot-clé Basile dans LightRoom me montrera toutes les images de mon fils.
 
Une question au passage : les fonctions de "dérawtisation" contenues dans Ligthroom sont elles aussi performantes que celles contenues dans l'ensemble Photoshop + Adobe Camera Raw 3.7 (version théoriquement contenue dans Lightroom) ?
Je pose cette question car en utilisant LR 1.0 je n'ai pas vu de différence notable entre les possibilités d'amélioration de la dynamique ni de la netteté entre les images prise en jpeg ou en DNG ou en PEF (format Pentax). Pourtant, dans les tests du K10 dans Dpreview, il est fait mention d'une amélioration du dématriçage apportée par ACR par rapport au jpeg "natif".
 
Une question au passage : les fonctions de "dérawtisation" contenues dans Ligthroom sont elles aussi performantes que celles contenues dans l'ensemble Photoshop + Adobe Camera Raw 3.7 (version théoriquement contenue dans Lightroom) ?
Je pose cette question car en utilisant LR 1.0 je n'ai pas vu de différence notable entre les possibilités d'amélioration de la dynamique ni de la netteté entre les images prise en jpeg ou en DNG ou en PEF (format Pentax). Pourtant, dans les tests du K10 dans Dpreview, il est fait mention d'une amélioration du dématriçage apportée par ACR par rapport au jpeg "natif".

Quoi qu'il arrive et quelque soit ton logiciel de derawtisation, tu auras une plus grande plage en RAW qu'en jpeg. Dans CR, pense bien à mettre ton flux de production sur ProPhoto. D'après les tests, les capteurs vont jusqu'à enregistrer des informations dans le spectre non visible. C'est dire ! Pour la netteté, le jpeg est plus net car le boîtier applique un renforcement alors que le RAW est brut. Tu peux donc choisir ton renforcement a posteriori et revenir dessus à loisir. Mais sur ce point, place à Photoshop et l'accentuation sélective, Lightroom comme CR n'étant pas à la hauteur.
Il me semble bien que le moteur est le même pour Lightroom et ACR à parti de sa version 4 (actuellement en Bêta).

:zen:


edit : si tu veux voir la différence, prends des photos en RAW et jpeg en brûlant légèrement les hautes lumières puis en bouchant les noirs. Au tirage, tu verras que tu pourras tout rattraper sur le RAW (qui ne sera probablement pas écrêté) alors que c'est foutu pour le jpeg.
 
Quoi qu'il arrive et quelque soit ton logiciel de derawtisation, tu auras une plus grande plage en RAW qu'en jpeg. Dans CR, pense bien à mettre ton flux de production sur ProPhoto. D'après les tests, les capteurs vont jusqu'à enregistrer des informations dans le spectre non visible. C'est dire ! Pour la netteté, le jpeg est plus net car le boîtier applique un renforcement alors que le RAW est brut. Tu peux donc choisir ton renforcement a posteriori et revenir dessus à loisir. Mais sur ce point, place à Photoshop et l'accentuation sélective, Lightroom comme CR n'étant pas à la hauteur.
Il me semble bien que le moteur est le même pour Lightroom et ACR à parti de sa version 4 (actuellement en Bêta).

:zen:


edit : si tu veux voir la différence, prends des photos en RAW et jpeg en brûlant légèrement les hautes lumières puis en bouchant les noirs. Au tirage, tu verras que tu pourras tout rattraper sur le RAW (qui ne sera probablement pas écrêté) alors que c'est foutu pour le jpeg.
Merci, SirDeck pour ta réponse qui me permet de conclure que Lightroom donne la même qualité de résultats que le plugin ACR pour ce qui est de la dérawtisation. Ca me rassure car pour la retouche finale j'utilise plutôt PhotoRetouchPro de binuscan et je prévoyait de travailler avec LR sans Photoshop.

Comment interprêtes tu les résultats obtenus pour les essai du Pentax K10D
sur le site de dprewiew.com (Phil Askey)
en mode Raw
http://www.dpreview.com/reviews/pentaxk10d/page22.asp
et en mode Jpeg
http://www.dpreview.com/reviews/pentaxk10d/page20.asp

Phil Askey semble dire que la dérawtisation à bord du K10 est moins bonne que celle d' ACR. (ce qu'on constate d'après ses tests), et moins bonne que celle à bord des Canikon et Sony. Un test en poussant la netteté sur les jpegs aurait peut-être été plus équitable.

Demain j'essaye de tester les différences de restitutions des zones brûlées/bouchées.
 
Comme on le sait, ce qui compte, c'est le couple objectif-boîtier. Le 10 M n'apporte pas grand-chose par rapport au 8 M, les photosites étant plus petits. Mais bon, ils semblent bien s'en sortir. Je ne travaille pas du tout en jpeg. Aussi, toutes les fonctions qui lui sont associées sur le boîtier ne m'intéressent pas (la plupart des fonctions quoi :D ).

Concernant l'accentuation du raw, appliquer la même accentuation sur des capteurs n'ayant pas le même nombre de photosite est déjà maladroit. Mais en plus, il est important d'adapter la première accentuation au filtre passe-bas du boîtier. Bref, pour comparer deux boîtiers, il est souhaitable d'appliquer l'accentuation la mieux adaptée pour chaque boîtier.

Mais il y a d'autres différences importantes à l'usage. Par exemple, un capteur Canon attire très peu les poussières. Les pentax, au contraire, les attirent beaucoup. :D

De toute façon, si tu as un k10, tu as un très bon boîtier. Concentre-toi sur les objectifs et la lumière.
 
Comme on le sait, ce qui compte, c'est le couple objectif-boîtier. Le 10 M n'apporte pas grand-chose par rapport au 8 M, les photosites étant plus petits. Mais bon, ils semblent bien s'en sortir. Je ne travaille pas du tout en jpeg. Aussi, toutes les fonctions qui lui sont associées sur le boîtier ne m'intéressent pas (la plupart des fonctions quoi ).

Tu touches un point sensible, car j'ai beaucoup hésité entre le K10D et le canon 30D. Mais je ne l'ai pas choisi pour les 10 MPx par rapport aux 8MP du Canon.

Ma question sur les tests de Phil Askey concernait surtout la moins bonne de qualité du piqué du mode Jpeg par rapport au mode ACR RAW, qui n'affecterait que le K10D dans les tests présentés.
Ces tests laissent croire qu'avec le K10 que les "jpeg" seront nettement moins piqués que les "RAW" (visible surtout sur des clichés comportant des textes d' une dizaine de pixels en hauteur).
J'ai pu constater en travaillant en mode RAW+ (JPG+DNG) que ce n'est pas systématique et que c'est même quelquefois l'inverse : avec le "RAW" il est parfois difficile (même avec des post-traitements externes), d'obtenir le même piqué que sur la version JPG sortie du DSLR, avec la netteté le contraste et la saturation poussés à +1. (Nota: sur le K10D il y a cinq niveaux possibles de post-traitement des jpeg [-2 -1 0 +1 +2]).
Par contre sur une mire de barres verticales de plus en plus serrées l'effet de moiré est plus important en jpg.
Pour constater ces résultats, la stabilité de la capture est primordiale, ce qui est finalement assez difficile à obtenir à coup sûr, (mode rafale conseillé).
En bref je ne m'inquiète plus sur la soit-disant moins bonne netteté des "jpg" sur le K10D.

Concernant l'accentuation du raw, appliquer la même accentuation sur des capteurs n'ayant pas le même nombre de photosite est déjà maladroit. Mais en plus, il est important d'adapter la première accentuation au filtre passe-bas du boîtier. Bref, pour comparer deux boîtiers, il est souhaitable d'appliquer l'accentuation la mieux adaptée pour chaque boîtier.

Je pense maintenant que c'est là la faiblesse des tests de Phil Askey. Mais peut être est-il difficile de trouver le meilleur réglage jpg pour la netteté, sauf peut être pour la lisibilité des textes, sinon, le contraste et la saturation interviennent dans l'impression subjective du piqué.


Mais il y a d'autres différences importantes à l'usage. Par exemple, un capteur Canon attire très peu les poussières. Les pentax, au contraire, les attirent beaucoup.

Tu me chambres... jamais entendu parler de ce détail (par contre la vibration du capteur a été efficace sur les premières taches poussières qui n'ont fait qu'une brêve apparition).
Et puis avec un boîtier à étanchéité renforcée, on peut espérer que la poussière reste dehors lors que la "respiration" des zooms. Reste la difficulté de changer proprement d'objectif en plein-air, je ne vais quand même pas utiliser plusieurs boitiers...ou alors un argentique en plus.

De toute façon, si tu as un k10, tu as un très bon boîtier. Concentre-toi sur les objectifs et la lumière.

C'est mon probléme actuel, je cherche un bon zoom "standard" le 18-55mm du kit étant un peu limité. En argentique j'utilise un 35-105mm Nikon qui me convient très bien, le 16-45mm f/4 Pentax est bien noté mais me semble un peu court. Il existe un Pentax 24-90mm f/3,5-4,5 mais la version numérique est nettement moins bien notée que le 16-45mm. Il y a aussi le Sigma 17-70mm f/2,8-4,5 ...
Je compte attendre la sortie des DA* tropicalisés avant de me décider. (16-50mm f/2,8).
Pour les télés, je trouve le 50-200mm f/4-5,6 du kit Pentax très pratique et de bonne qualité d'image. (Il reste souvent sur le boîtier). Sa taille mini est à peine plus grande que celle du 18-55mm.

Problèmes des Hautes et basses lumières: J'ai fait plusieurs essais (style intérieur d'une pièce avec contre-jour du à une fenêtre avec des rideaux éclairés par le soleil). Il s'agit de remonter la luminosité des parties sombres sans trop surbrûler le reste et en respectant les couleurs.
Dans LR, les résultats sont facilement corrects à partir du .DNG mais très peu de récupération dans les zones brûlées. On obtient un tirage qui fait penser à une image HDR... En .jpg le même résultat est beaucoup plus difficile à obtenir et surtout les couleurs deviennent laides on a envie de terminer en niveau de gris.....
Pour cet essai mon 18-55mm du kit est à la peine (en .DNG et en .jpg) (beaucoup d' aberrations chromatiques sur les côtés, au centre c'est OK).
 
Je n'ai aps tout lu car il y a bcp de fouillis et de confusion dans ce que tu dis

Le piqué à a voir strictement avec l'objectif. Le jpg et le RAW n'ont rien a voir la dedans.
Ensuite si su appliques du sharpness sur un fichier, ben tu en obtiendras autant sur un fichier quel qu'il soit, que sur un jpg. Dire que le jpg a plus de "piqué" qu'un autre fichier ne veut rien dire !
Un fichier a le sharpness qu'on lui donne ! (c'est aussi débile de dire ca que de dire qu'un jpg "a plus de flou gaussien" qu'un .psd : c'est totalement privé de sens)

Recupération des zones brulées : pure science fiction. aucun logiciel ne peut récupérer des zones brulées, tout simplement parce qu'elles sont...brulées.

Le seul systeme antipoussieres qui marche est celui d'Olympus. Les autres tiennent plus du gadget et de l'attrape pékin (sous réserve de test du 1D MarkIII)

Tu dis que le DNG est plus souple que le jpg, c'est plutot pléonasmique ;-)
DNG est une source de données natives, riche (12 bits), directement issues de l'acquisition capteur et qui sont mises en forme (dématricées) à la volée (par le dématricueur) alors que le jpg est une image, considérablement plus pauvre en nuances (8 bits), absolument pas faite pour etre postraitée ni retouchée.

Bon, et puis, il y a ceux qui comptent les poussieures de leur capteur, qui photographient des mires... et ceux qui font de la photo ;-)

...
 
Ouh là, il est chaud olivier aujourd'hui. Il faut être indulgent pour ceux qui découvrent :D

Je n'ai aps tout lu car il y a bcp de fouillis et de confusion dans ce que tu dis

Le piqué à a voir strictement avec l'objectif. Le jpg et le RAW n'ont rien a voir la dedans.
Ensuite si su appliques du sharpness sur un fichier, ben tu en obtiendras autant sur un fichier quel qu'il soit, que sur un jpg. Dire que le jpg a plus de "piqué" qu'un autre fichier ne veut rien dire !
Un fichier a le sharpness qu'on lui donne ! (c'est aussi débile de dire ca que de dire qu'un jpg "a plus de flou gaussien" qu'un .psd : c'est totalement privé de sens)

Je reprends pour les newB :D. En gros, tu as un RAW au départ. En imaginant un objectif parfait, il est généralement flou du fait du filtre passe Bas. Soit tu laisses ton appareil accentuer lors de la génération du jpeg depuis le RAW (si tu fais du jpeg), soit tu le fais toi-même aux petits oignons avec PSD (si tu fais du RAW). Mais quoi qu'il arrive, tu pars du même fichier : le raw.

Recupération des zones brulées : pure science fiction. aucun logiciel ne peut récupérer des zones brulées, tout simplement parce qu'elles sont...brulées.
C'est sûr que ce qui est brûlé au niveau du raw n'est pas récupérable. Mais tu ne vois jamais le raw. Tu vois un tirage dans un domaine colorimétrique donné. Si tu te places dans du SRVB (sacrilège ;)) tu vois un écrétage terrible. En fait, derrière, tu as bien des données. Si tu bascules en ProPhoto, c'est moins écrêter. Mais généralement tu as encore des données derrière. Bref, ce que tu vois comme brûlé à l'écran ne l'est peut-être pas dans le raw. Et ça un non expert comme toi ne le sait pas.

Le seul systeme antipoussieres qui marche est celui d'Olympus. Les autres tiennent plus du gadget et de l'attrape pékin (sous réserve de test du 1D MarkIII)

Tu dis que le DNG est plus souple que le jpg, c'est plutot pléonasmique ;-)
DNG est une source de données natives, riche (12 bits), directement issues de l'acquisition capteur et qui sont mises en forme (dématricées) à la volée (par le dématricueur) alors que le jpg est une image, considérablement plus pauvre en nuances (8 bits), absolument pas faite pour etre postraitée ni retouchée.

Bon, et puis, il y a ceux qui comptent les poussieures de leur capteur, qui photographient des mires... et ceux qui font de la photo ;-)

...

On voit bien que tu utilises du Canon, tout le monde n'a pas la chance d'utiliser un capteur qui attire très peu la poussière :p
 
L'écrétage se regarde sur l'histogramme, au shooting; Point; je ne vois donc pas oû on pourrait le regarder ailleurs... Il faut simplement prndre els bonnes habitudes ;-)

Si tu as regardé le test CI sur les dépoussiéreurs, tu verras que les Canon puvent poussiérer comme les autres... et ne pas dépoussiérer, comme les autres. A part l'oLympus

Donc pour moi, c'est du gadget... (tant que ca n'est pas efficace bien sur)

Pour l'ccentuaution, on dit exactement la meme chose. On obtient l'accentuation que l'on règle, que ce soit à l'interieur du boitier, ou dans un soft exterieur.

Mais une fichier n'est pas accentué par l'opération du st esprit, ni par celle du petit génie se trouvant dans l'appareil ;-) (frotter trois fois pour accentuer + :)

C'est bien l'utilisateur qui l'a réglé comme tel.
 
Je n'ai aps tout lu car il y a bcp de fouillis et de confusion dans ce que tu dis

Le piqué à a voir strictement avec l'objectif. Le jpg et le RAW n'ont rien a voir la dedans.
Ensuite si su appliques du sharpness sur un fichier, ben tu en obtiendras autant sur un fichier quel qu'il soit, que sur un jpg. Dire que le jpg a plus de "piqué" qu'un autre fichier ne veut rien dire !
Un fichier a le sharpness qu'on lui donne ! (c'est aussi débile de dire ca que de dire qu'un jpg "a plus de flou gaussien" qu'un .psd : c'est totalement privé de sens)

Recupération des zones brulées : pure science fiction. aucun logiciel ne peut récupérer des zones brulées, tout simplement parce qu'elles sont...brulées.

Le seul systeme antipoussieres qui marche est celui d'Olympus. Les autres tiennent plus du gadget et de l'attrape pékin (sous réserve de test du 1D MarkIII)

Tu dis que le DNG est plus souple que le jpg, c'est plutot pléonasmique ;-)
DNG est une source de données natives, riche (12 bits), directement issues de l'acquisition capteur et qui sont mises en forme (dématricées) à la volée (par le dématricueur) alors que le jpg est une image, considérablement plus pauvre en nuances (8 bits), absolument pas faite pour etre postraitée ni retouchée.

Bon, et puis, il y a ceux qui comptent les poussieures de leur capteur, qui photographient des mires... et ceux qui font de la photo ;-)

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Je tâcherai d'être plus concis cette fois.

Sharpness:
D'accord avec ce que tu dis mais la question que je soulevais concernait le test du K10D sur Dpreview (tests 20 et 22(1) voir les liens plus haut), où la lisibilité des textes semble moins bonne en jpg qu'en raw, pour le K10D, alors que pour les autres appareils, ça n'est pas le cas.
(1) j'aurais aussi bien pu prendre 18 et 21.

Mes essais personnels et les discussions précédentes m'ont permis de supposer que la différence n'est pas due à une faiblesse de l'algorithme de démosaïfication/netteté du K10D, mais à des choix différents des constructeurs pour le "sharpen 0".

Ce sujet mérite de l'attention car le moins bon piqué en mode jpg est listé dans les points négatifs des conclusions du test:
"In-camera image processor unable to deliver crisp sharp edges, better to shoot RAW",...
"Turning up sharpness setting doesn't deliver crisper edges"
Ce qui ne semble pas être la réalité.
Bien sur je préfère travailler en RAW, mais autant savoir à quoi on s'expose réellement en travaillant en jpg. Je sais, un bon photographe ne doit manquer ni de pellicule ni de place mémoire auquel cas pas besoin de jpeg.

ZONES "BRÛLEES"
LightRoom a pourtant un curseur marqué Recovery ça fait quoi ?

...ceux qui comptent les poussieures de leur capteur, qui photographient des mires... et ceux qui font de la photo:

Tu n'as jamais eu ta période curiosité technique, surtout avec une nouvelle technologie?
 
L'écrétage se regarde sur l'histogramme, au shooting; Point; je ne vois donc pas oû on pourrait le regarder ailleurs... Il faut simplement prndre els bonnes habitudes ;-)
Si tu parles de l'histogramme au dos de l'APN, oui, il est essentiel pour moi. Mais il faut l'interpréter car il s'agit en fait d'une prévisualisation jpeg dans le profil réglé sur l'appareil : au mieux Adobe RVB sur le mien. Si ça écrête un peu là, c'est que cela n'écrête pas du tout en réalité. Mais ça, on ne peut en être sûr qu'en analysant l'histogramme lors de la derawtisation en regardant comment il se comporte lorsque l'on bouge l'exposition et les tons noirs afin de se faire une idée de ce qu'il y a dans le ventre du RAW.

Si tu as regardé le test CI sur les dépoussiéreurs, tu verras que les Canon puvent poussiérer comme les autres... et ne pas dépoussiérer, comme les autres. A part l'oLympus

Donc pour moi, c'est du gadget... (tant que ca n'est pas efficace bien sur)

Mais c'est bien à cet article que je faisais référence et il y est dit que les Canons, s'ils connaissent la poussière (j'en ai fait l'expérience), les attirent moins et que justement Pentax est bon dernier sur ce point.
Mais encore une fois, ceux qui utilisent ce genre d'appareil savent qu'il s'agit d'un faux problème lorsque l'on utilise des ouvertures inférieures à f/10. Mais bon, les marquent doivent bien tenter de rassurer le chaland en proposant des fausses solutions ;)
 
ZONES "BRÛLEES"
LightRoom a pourtant un curseur marqué Recovery ça fait quoi ?

Comme le dit justement Olivier une zone vraiment brûlée n'est pas récupérable. Or c'est un défaut important du numérique par rapport à l'argentique : la zone brûlée n'a aucune matière, elle est comme découpée sur le numérique.
Une zone vraiment brûlée c'est quoi. C'est lorsque les trois "couches" sont au blanc. Tu dois savoir qu'un capteur n'enregistre que des niveaux de gris. Mais par un jeu de filtres, certains photosites codent le bleu d'autres le rouge et d'autres le vert. Lorsqu'une zone est brûlée au niveau du raw, alors c'est qu'il n'y a plus d'information dans la zone, tout est à 100 % et aucun logiciel n'y peut rien (place à photoshop et à ton sens artistique ;)).
Mais comme je l'ai, indiqué ce que te dits l'histogramme n'est que la répartition le la luminosité une fois le raw tiré et cela dans un profil colorimétrique donné (ProPhoto, il me semble, sur LigthRoom). La part essentielle de la derawtisation consiste à passer d'un gamma linéaire, le gamma 1 (200 photons c'est deux fois plus lumineux que 100 photons) à un gamma 2 adapté à la vue humaine (un rapport logarithmique entre la quantité de photons et la luminosité). Or, suivant le capteur, il est probable que l'information dépasse les capacités de prophoto. Il est donc possible de voir l'écrétage disparaître sans aucun problème en baissant un peu l'exposition (jusqu'à 1 cran sur mon 350D, c'est dire !). On fait alors juste entrer l'info dans le spectre du profil.
Mais il se peut qu'une ou même deux couleurs soient à 100%. C'est là que ta commande peut encore agir (dans certaines limites). Elle va se baser sur l'information de la ou les couches qui ne sont pas brûlées pour récupérer la ou les couches brûlées. Contrairement à la commande "Exposition" qui peut agir de manière semblable, cette commande de "récupération" ne touche que la partie très haute lumières dans la répartition de la luminosité.
Voilà, c'était un peu long mais ce n'est pas si simple. Et puis la haute lumière c'est un point essentiel en numérique. Cela permet de faire fourmiller les noirs. Mais ça, c'est une autre histoire... :D :D :D
 
Comme le dit justement Olivier une zone vraiment brûlée n'est pas récupérable. Or c'est un défaut important du numérique par rapport à l'argentique : la zone brûlée n'a aucune matière, elle est comme découpée sur le numérique.
Une zone vraiment brûlée c'est quoi. C'est lorsque les trois "couches" sont au blanc. Tu dois savoir qu'un capteur n'enregistre que des niveaux de gris. Mais par un jeu de filtres, certains photosites codent le bleu d'autres le rouge et d'autres le vert. Lorsqu'une zone est brûlée au niveau du raw, alors c'est qu'il n'y a plus d'information dans la zone, tout est à 100 % et aucun logiciel n'y peut rien :D :D :D

Merci Sir pour cette réponse très lumineuse.:)

Et puis la haute lumière c'est un point essentiel en numérique. Cela permet de faire fourmiller les noirs. Mais ça, c'est une autre histoire...
:D :D :D

Quand tu auras le temps tu nous raconteras l'histoire des noirs qui fourmillent...?