autre mooeurs ! autre train

  • Créateur du sujet Créateur du sujet RV
  • Date de début Date de début
Statut
Ce sujet est fermé.
C'est une jolie bande de joyeux fêtards
Qui se couchent à l'aurore et se lèvent très tard
Ne pensant qu'à aimer ou jouer de la guitare
Ils n'ont dans la vie que cette philosophie

Nous avons toute la vie pour nous amuser
Nous avons toute la mort pour nous reposer
Nous avons toute la vie pour nous amuser
Nous avons toute la mort pour nous reposer

Ils ne font rien de plus que fêter chaque instant
Saluer la pleine lune, célébrer le printemps
Si bien qu'pour travailler ils n'ont plus guère le temps
Ils n'ont dans la vie que cette philosophie

Nous avons toute la vie pour nous amuser
Nous avons toute la mort pour nous reposer
Nous avons toute la vie pour nous amuser
Nous avons toute la mort pour nous reposer
 
C'étaient pas des amis de luxe,
Des petits Castor et Pollux,
Des gens de Sodome et Gomorrhe,
Sodome et Gomorrhe,
C'étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boetie,
Sur le ventre ils se tapaient fort,
Les copains d'abord.

 
Vous les copains, je ne vous oublierai jamais
Di doua di di doua di dam di di dou
Toute la vie, nous serons toujours des amis
Di doua di di doua di dam di di dou
Tous ensemble (tous ensemble)
On est bien (on est bien)
Tous ensemble, on est bien
Car on suit le même chemin

 
En sortant de l'école
Nous avons rencontré
Un grand chemin de fer
Qui nous a emmenés
Tout autour de la terre
Dans un wagon doré.
Tout autour de la terre
Nous avons rencontré
La mer qui se promenait
Avec tous ses coquillages
Ses îles parfumées
Et puis ses beaux naufrages
Et ses saumons fumés.
Au-dessus de la mer
Nous avons rencontré
La lune et les étoiles
Sur un bateau à voiles
Partant pour le Japon
 
Partir, partir en dirigeable,
Partir, n'importe où, mais partir,
Partir et ne plus revenir,
Partir, partir dans les étoiles,
Partir, n'importe où, mais partir,
Partir et ne plus revenir.

Le monde est tellement monotone.
Comme ils ont l'air triste, les hommes,
Mais moi, je m'en vais dans un autre univers
D'ombres imaginaires.
 
va durer encore longtemps ?
 
D'un ennui insondable ce post...
 
Ce mortel ennui
Qui me vient
Quand je suis avec toi
Ce mortel ennui
Qui me tient
Et me suis pas à pas
Le jour où j'aurai assez d'estomac
Et de toi
Pour te laisser choir
Ce jour-là, oh oui ce jour là, je crois
Oui je crois
Que
Je
Pourrai voir
Ce mortel ennui
Se tailler
À l'anglaise loin de moi

 
Je suis venu te dir'que je m'en vais
et tes larmes n'y pourront rien changer
comm'dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu te dir'que je m'en vais
tu t'souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu'a sonné l'heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d'te dir'que je m'en vais
 
Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

 
Rester serait mourir un peu,
Rester serait comme une sorte de désaveu
Mais partir, c'est recouvrer ses sens,
C'est comme une seconde naissance
Et quand je n'en pourrai plus
Je viendrai me ressourcer.

(Tété - me ressourcer)
 
Je reviens te chercher
Je savais que tu m'attendais
Je savais que l'on ne pourrait
Se passer l'un de l'autre longtemps
Je reviens te chercher
Ben tu vois, j'ai pas trop changé
Et je vois que de ton côté
Tu as bien traversé le temps

 
Je n'ai pas changé
Je suis toujours ce jeune homme étranger
Qui te chantait des romances
Qui t'inventait des dimanches
Qui te faisaient voyager
Je n'ai pas changé
Je suis toujours ce garçon un peu fou
Qui te parlait d'Amérique
Et n'était pas assez riche
Pour t'emmener à Corfou
 
Il a marché toute la nuit
Et tous les chiens sont après lui,
Il a rêvé toute sa vie,
de s'échapper sans bruit.

(Bertignac - le fugitif)
 
Partons ensemble cueillir ces
Etoiles sous l'oeil bienveillant
De la lune pâle d'or parée.
Partons ensemble au firmament
Nous alonger main dans la main
Sur une pierre de la lune.
 
Au clair de notre nuit,
Des fleurs de lune,
Lunes à la nuit, sont posées,
Tes mains, à mon cou nu,
Comme des algues,
Brunes, se sont enroulés,
Comme des algues,
A mon cou nu,
Se sont enroulés,
Et se balancent,
Notre lit est un voilier,
Qui se balance, se balance,
Sur l'océan de la nuit,

 
Il trempe ses pieds dans l'océan
Petit bateau entre les mains
Puis il se penche doucement
Fait prendre au bateau son chemin
Le petit bateau dangereusement
S'avance pour fendre les flots
Puis se balance gentiment
Comme blotti dans un berceau

Quelque part un moussaillon
A repêché un jouet de carton
 
la mer m'a donné
sa carte de visite
pour me dire:" Je t'invite
à voyager.
J'ai de grands chevaux
à la crinière blanche
et puis j'ai dans ma manche
tant de bateaux.
J'ai du vent qui enivre
ceux qui veulent me suivre
dans l'illusion facile
de la douceur des îles.
 
Il y a de l'eau, il y a de l'herbe
Et ma cousine est demoiselle
Woa tchou tchou Woa tchou tchou

Moi j'ai le teint couleur safran
Et mes cheveux volent au vent
Woa tchou tchou Woa tchou tchou
 
Statut
Ce sujet est fermé.