Mais non !...
Mais si jamais tu le retrouves, celui qui gueule après son clebs, surtout ne le rate pas !....
Bannis-le tout de suite !!!...
Ici, la sagesses est érigée en art de vivre...
Et pour la sagesse suprême, quoi de mieux qu'une pieuvre ?...
Tu as déjà vu une pieuvre se prendre la tête ?... Jamais !
Et pourtant, avec la souplesse et le nombre de ses tentacules, elle pourrait passer son temps à ça...
Bref...
Top, comme tu dis !
Déjà la 100ème page de cette version de ce theead !!!...
Comme le temps passe...
Bon, allez, bonne nuit, bandes de noctambules, d'insomniaques, et autres chats ou chiens errants en tous genres !...
Comme le temps passe...
Bon, allez, bonne nuit, bandes de noctambules, d'insomniaques, et autres chats ou chiens errants en tous genres !...
Sans oublier les créatures imaginaires qui peuvent parfois apparaitre à la lisière de nos songes nocturnes propices à ces apparitions qui nous rappellent que nous sommes tous spiritualité d'expérience humaine et non le contraire.Déjà la 100ème page de cette version de ce theead !!!...
Comme le temps passe...
Bon, allez, bonne nuit, bandes de noctambules, d'insomniaques, et autres chats ou chiens errants en tous genres !...
Dernière édition:
Pareil
bon je retourne me coucher
Selon pouppinou, les créatures imaginaire (dragons ailés par exemple !
) peuvent parfois apparaitre "à la lisière de nos songes", soit pas névessaieement dans le champ de notre conscience. Ce sont des apparitions fugaces qui nous rappellent à la spiritualité de notre expérience humaine, qui peut se manifester à chacun de nous, par exemple à la faveur de nos songes.
En revanche, l'expérience humaine de la spiritualité, consciente, supposerait une révélation mystique ou autre expérience métaphysique, ce qui ne concerne pas chacun de nous.
Sous réserve qu'il soit possible à votre humble serviteur de se livrer -aux premières heures de l'aube et avec un niveau de conscience altéré par le manque de sommeil- à l'exégèse des propos de pouppinou, sympathique individu de type "cabot attiré par la métaphysique", dont la pensée s'aventure volontiers au-delà des sentiers battus !
J'ai découvert le niksen* !
C'est vachement bien pour le dasein** !
* la recherche google est ton amie !
** pareil si t'as fait l'impasse en philo !
C'est vachement bien pour le dasein** !
* la recherche google est ton amie !
** pareil si t'as fait l'impasse en philo !
Tu recommandes donc d'associer les deux ?
(Voilà bien des pistes de réflexion tentantes pour votre humble serviteur...
)
Et sinon, en attendant la réponse d'aCLR, je vais me permettre de vous parler brièvement d'une expérience assez rare que j'ai vécue cette nuit, à ma plus grande surprise...
Une personne dont nous dirons qu'elle fut pour moi "une amie chère" m'a recontacté à ma plus grande surprise...
Car je la croyais morte depuis plus d'un an.
Elle n'en est plus très loin, car hélas ses jours sont comptés.
Mais je vais peut-être pouvoir faire la paix avec elle, avant que la délivrance ne l'emporte vers la vie éternelle à laquelle elle croit et à laquelle elle aspire.
Pas très joyeux tout ça me direz-vous, alors que de mon point de vue, si.
Ce n'est pas elle qui redoute sa propre mort, c'est moi.
Quant à moi, je me disais que je n'avais pas eu le temps de lui dire certaines choses...
Une deuxième chance m'est offerte.
Puissiez-vous vivre une expérience de ce genre ne serait-ce qu'une seule fois...
Une personne dont nous dirons qu'elle fut pour moi "une amie chère" m'a recontacté à ma plus grande surprise...
Car je la croyais morte depuis plus d'un an.
Elle n'en est plus très loin, car hélas ses jours sont comptés.
Mais je vais peut-être pouvoir faire la paix avec elle, avant que la délivrance ne l'emporte vers la vie éternelle à laquelle elle croit et à laquelle elle aspire.
Pas très joyeux tout ça me direz-vous, alors que de mon point de vue, si.
Ce n'est pas elle qui redoute sa propre mort, c'est moi.
Quant à moi, je me disais que je n'avais pas eu le temps de lui dire certaines choses...
Une deuxième chance m'est offerte.
Puissiez-vous vivre une expérience de ce genre ne serait-ce qu'une seule fois...
Bonne journée... D'un user de la nuit aux user's du jour...
Du noir obscur au noir sombre se dévoilant,
Sur un cycle perpétuel côté levant,
Le jour, d'avenir passe à l'instant au présent,
Chers amis, appréciez ces nouveaux moments.
Nota : Cet Alexandrin ne peut exister que par la négation du féminin. Désolé mesdames.
Du noir obscur au noir sombre se dévoilant,
Sur un cycle perpétuel côté levant,
Le jour, d'avenir passe à l'instant au présent,
Chers amis, appréciez ces nouveaux moments.
Nota : Cet Alexandrin ne peut exister que par la négation du féminin. Désolé mesdames.
Dernière édition:
A être niché sur le toit du monde on ne peut que prendre de la hauteur...
D'une baie de toit, la lune éclaire mon âme,
Réalité d'un antre de tranquilité.
Départ d'une impasse couleur de macadam,
Elle s'ouvre sur ma nouvelle destinée.
Longeant des quais aux parfums de terre promise,
Où mouettes, ilots, sirènes sont fragrances.
Enfin corps et esprit ne sont plus compromis,
L'accord arrive pour qui saisira sa chance.
D'une baie de toit, la lune éclaire mon âme,
Réalité d'un antre de tranquilité.
Départ d'une impasse couleur de macadam,
Elle s'ouvre sur ma nouvelle destinée.
Longeant des quais aux parfums de terre promise,
Où mouettes, ilots, sirènes sont fragrances.
Enfin corps et esprit ne sont plus compromis,
L'accord arrive pour qui saisira sa chance.
Texte libre dans la fureur d'une nuit silencieuse, phénomène libérateur ou la métaphore d’une âme parfum d’une nature humaine singulière.
D’âme, telle l’image d’un liquide « fragancé » contenu dans son flacon aussi beau soit-il,
D’âme, emprisonnée au reflet informel de son enveloppe se voulant bien souvent trop belle,
D’âme, se libérant peu à peu de son contenant pour en être pulvérisée à l'univers tout entier,
D’âme, libérée peu à peu par vaporisation et divergent le visible liquide en odeur invisible.
D’âme, se voulant présente mais devenue invisible et originale sans représentation,
D’âme, reprenant sa place où l’être invisible contenu est enfin libéré,
D’âme, demeurant présente que par les sens dévolus à l’invisible,
D’âme, libérée pour un retour au transcendant qui se veut être un retour à l’espace originel.
D’âme, telle l’image d’un liquide « fragancé » contenu dans son flacon aussi beau soit-il,
D’âme, emprisonnée au reflet informel de son enveloppe se voulant bien souvent trop belle,
D’âme, se libérant peu à peu de son contenant pour en être pulvérisée à l'univers tout entier,
D’âme, libérée peu à peu par vaporisation et divergent le visible liquide en odeur invisible.
D’âme, se voulant présente mais devenue invisible et originale sans représentation,
D’âme, reprenant sa place où l’être invisible contenu est enfin libéré,
D’âme, demeurant présente que par les sens dévolus à l’invisible,
D’âme, libérée pour un retour au transcendant qui se veut être un retour à l’espace originel.
Dernière édition:
La nuit tombe,
Le jour se lève,
Question de point de vue,
Pour moi la nuit se lève,
Le jour tombe.
La mort n’est-elle pas une naissance ?
Naître est mourir par défaut, plus ou moins vite il est vrai mais la finitude est là quoi qu’il en soit.
Point de vue causé par le cycle universel qui de là où l’on est, ce qui commence n’est que la fin d’une chose et vice versa. De réelle fin n’est que la croyance de celui qui de néant fait dogme pour croire que tout n’est que chute. L’âme perdue ne raisonne plus et ne voit que le néant comme le fainéant qui ne veut faire l’effort pour trouver les réponses et solutions qu’il ne cherchait pas.
Le mouvement détruit notre certitude, la certitude du moment se trouvant en défaut à chaque instant.
Malheureux celui qui veut arrêter le mouvement pour trouver la vérité dans ce qu’il dit. La seule façon de saisir l’instant et d’être dans celui-ci, la vérité c’est d’avancer pour être dans l’instant qui ne cesse d’évoluer et parfois de progresser pour celui qui sait le comprendre et en profiter.
Quand le corps se couche l’esprit se lève et prend son envole pour trouver l’imaginaire. L’imaginaire n’est qu’un instant qui lui aussi avance mais qui ne peut être partagé, comme avancer sur un sentier caché de tous et connu que de nous même.
La nuit est tombée et pourtant elle m’éclaire de sa lumière blanche qui ne fait apparaitre que les contours essentiels au contraire de tout ce que je ne vois pas le jour qui m’éblouis et me rend presque aveugle.
La nuit est propice au double instants, vivre 2 vies en parallèle, le réel et l’imaginaire se longent et se côtoient pour que la réflexion de l’être grandisse en soi et nous fasse avancer bien plus vite que le jour où tout se mêlent, s’emmêlent, se brouillent et viennent à nous corrompre malgré le besoin de se frotter à l’altérité d’autrui pour trouver en soit la force qui nous pousse à évoluer et pour le bien à progresser. Rencontrer l’altérité pour progresser en soi n’est pas une obligation de la rencontre de l’être semblable mais de la rencontre de tout sensible.
De nuits je me nourris, j’en vis parfois et de cette vie qui sera le jour venu sérénité pour muer en l’état prochain d’une fin et début de cycle.
Le cycle est la seule trajectoire du renouveau et de l’éternité qui fait relativiser notre malheureuse état d’être dit humain, expérience qui ma foi, pour celui faisant preuve d’un minimum d’intelligence et de cohérence trouve en soit les réponses de cette aventure à l’expérience humaine qui n’est qu’une partie de la saga qui nous est proposée.
Nuit tu éveilles mes sens et fais tourner mon regard qui n’a plus rien à voir à l’extérieur pour forcer ce regard en mon for intérieur et inviter ma raison, mon imaginaire nourrit de l’expérience accumulée pour comprendre l’ignorant que je suis et voir avec le grand recule que tu me donnes, l’évidence qui se trouve dans les contours pour celui qui sait les remplir de sa réflexion et sa sagesse qui n’est pas l’apanage d’un âge forcément avancé dans ce monde d’ « aveugle ».
Le jour se lève,
Question de point de vue,
Pour moi la nuit se lève,
Le jour tombe.
La mort n’est-elle pas une naissance ?
Naître est mourir par défaut, plus ou moins vite il est vrai mais la finitude est là quoi qu’il en soit.
Point de vue causé par le cycle universel qui de là où l’on est, ce qui commence n’est que la fin d’une chose et vice versa. De réelle fin n’est que la croyance de celui qui de néant fait dogme pour croire que tout n’est que chute. L’âme perdue ne raisonne plus et ne voit que le néant comme le fainéant qui ne veut faire l’effort pour trouver les réponses et solutions qu’il ne cherchait pas.
Le mouvement détruit notre certitude, la certitude du moment se trouvant en défaut à chaque instant.
Malheureux celui qui veut arrêter le mouvement pour trouver la vérité dans ce qu’il dit. La seule façon de saisir l’instant et d’être dans celui-ci, la vérité c’est d’avancer pour être dans l’instant qui ne cesse d’évoluer et parfois de progresser pour celui qui sait le comprendre et en profiter.
Quand le corps se couche l’esprit se lève et prend son envole pour trouver l’imaginaire. L’imaginaire n’est qu’un instant qui lui aussi avance mais qui ne peut être partagé, comme avancer sur un sentier caché de tous et connu que de nous même.
La nuit est tombée et pourtant elle m’éclaire de sa lumière blanche qui ne fait apparaitre que les contours essentiels au contraire de tout ce que je ne vois pas le jour qui m’éblouis et me rend presque aveugle.
La nuit est propice au double instants, vivre 2 vies en parallèle, le réel et l’imaginaire se longent et se côtoient pour que la réflexion de l’être grandisse en soi et nous fasse avancer bien plus vite que le jour où tout se mêlent, s’emmêlent, se brouillent et viennent à nous corrompre malgré le besoin de se frotter à l’altérité d’autrui pour trouver en soit la force qui nous pousse à évoluer et pour le bien à progresser. Rencontrer l’altérité pour progresser en soi n’est pas une obligation de la rencontre de l’être semblable mais de la rencontre de tout sensible.
De nuits je me nourris, j’en vis parfois et de cette vie qui sera le jour venu sérénité pour muer en l’état prochain d’une fin et début de cycle.
Le cycle est la seule trajectoire du renouveau et de l’éternité qui fait relativiser notre malheureuse état d’être dit humain, expérience qui ma foi, pour celui faisant preuve d’un minimum d’intelligence et de cohérence trouve en soit les réponses de cette aventure à l’expérience humaine qui n’est qu’une partie de la saga qui nous est proposée.
Nuit tu éveilles mes sens et fais tourner mon regard qui n’a plus rien à voir à l’extérieur pour forcer ce regard en mon for intérieur et inviter ma raison, mon imaginaire nourrit de l’expérience accumulée pour comprendre l’ignorant que je suis et voir avec le grand recule que tu me donnes, l’évidence qui se trouve dans les contours pour celui qui sait les remplir de sa réflexion et sa sagesse qui n’est pas l’apanage d’un âge forcément avancé dans ce monde d’ « aveugle ».
Aujourd'hui est la nuit magique des chevaliers modernes chevauchant leur monture les confrontant à chaque instant à l'étude de la physique terrestre pour l'apprivoiser, l'appréhender pour qu'elle ne leurs soit pas fatale.
Cette physique qui se veut être maitrisée à la perfection pour être le leader de la beauté d'une course qui n'en finit pas en épuisant jusqu'à son terme la nuit qui ne fait que passer dans ces 2 tours d'horloges.
Oui 2 cycles. 2 vies partagées en équipe tout juste suffisant pour se dépasser physiquement, mentalement et techniquement.
2 cycles de légende "Tronienne" où la vie n'est qu'un jeu. Mais attention un jeu de gladiateur réservé aux courageux animés par la seule énergie constructrice qui vaille, la Passion. Et pour ceux qui voyant les aiguilles de l'horloge tourner et le retard accumulé par les affres de l'épreuve alors seul finir avec panache devient l'unique motivation.
C'est la nuit que je préfère de l'année... La nuit des 24H des cycles lumineux où la légende de TRON vient chatouiller mon imaginaire alors que devant moi la réalité de l'épreuve se déroule et que je partage avec mes ami(e)s là pour servir nos trois chevaliers combattant pour la gloire de notre équipe qui se sent à ces moments précis, vivre plus que jamais.
C'est en côtoyant la possibilité de la perdre qu'elle nous apparait la plus vivable, la plus belle et la plus appréciable.
Tenir pour ces 2 cycles et rendre un dernier hommage à ceux qui font ce que nous sommes, qui font qui nous sommes, qui font que l'on s'est trouvé.
Encore 10h30 et la partie sera gagnée. La place importe peut du moment que l'on ait trouvé la sienne.
[ 24H Motos 2021 ]
[ www.team-metiss.com ]
Cette physique qui se veut être maitrisée à la perfection pour être le leader de la beauté d'une course qui n'en finit pas en épuisant jusqu'à son terme la nuit qui ne fait que passer dans ces 2 tours d'horloges.
Oui 2 cycles. 2 vies partagées en équipe tout juste suffisant pour se dépasser physiquement, mentalement et techniquement.
2 cycles de légende "Tronienne" où la vie n'est qu'un jeu. Mais attention un jeu de gladiateur réservé aux courageux animés par la seule énergie constructrice qui vaille, la Passion. Et pour ceux qui voyant les aiguilles de l'horloge tourner et le retard accumulé par les affres de l'épreuve alors seul finir avec panache devient l'unique motivation.
C'est la nuit que je préfère de l'année... La nuit des 24H des cycles lumineux où la légende de TRON vient chatouiller mon imaginaire alors que devant moi la réalité de l'épreuve se déroule et que je partage avec mes ami(e)s là pour servir nos trois chevaliers combattant pour la gloire de notre équipe qui se sent à ces moments précis, vivre plus que jamais.
C'est en côtoyant la possibilité de la perdre qu'elle nous apparait la plus vivable, la plus belle et la plus appréciable.
Tenir pour ces 2 cycles et rendre un dernier hommage à ceux qui font ce que nous sommes, qui font qui nous sommes, qui font que l'on s'est trouvé.
Encore 10h30 et la partie sera gagnée. La place importe peut du moment que l'on ait trouvé la sienne.
[ 24H Motos 2021 ]
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