Bonjour
Ce fil n'est vraiment pas sérieux.
D'abord, il y a tous les vieux qui parlent des difficulté de leur temps, et pas un qui parle du bouchon à passer au copain avant la fin de la journée..
Ni d'ailleurs de la fiole de gniole pour la récrée des CE1, et qui permettait de tenir à la pluie. j'en déduis donc subtilement qu'ils font semblant d'avoir connu, mais qua'en réalité, ils rapportent les propos du copain de leur nurse.
Donc, des informations sérieuses, un peu, pour relever le niveau (dès qu'on parle de scolaire, depuis l'antiquité, le niveau baisse) :
1) l'Opus Déi, dont au sujet de laquelle qu'on cause en début de fil, n'a pas choisi d'investir les écoles privées catholiques. Elle a ses propres établissements scolaires non conventionnés, comme les sectes, si bien que l'État (1) ne peut vérifier que le diplôme du directeur, et la validité des extincteurs, mais certainement pas l'enseignement.
2) Les écoles privées (il n'y a plus beaucoup de religieux pour y enseigner) sous contrat d'association (95% des écoles privées non professionnelles) sont astreintes aux mêmes effectifs que les établissements publics (mais ceux-ci sont moins vérifiés si elles trichent sur les chiffres). Comme cela, elles peuvent choisir leurs élèves, comme demain pourront le faire les établissements publics. Il est clair que pour Sarko, ce n'est vraiment pas la peine de dépenser des impôts bêtement à l'éducation des gosses en difficulté, qu'on laissera entre eux dans l'établissement malfamé de leur quartier, avec moins d'heure de cours et des effectifs plus chargés
Et avec les économies, on peut toujours construire des prisons.
@+
JM
(1) Ni l'État, ni le directeur diocésien