: c'était comment l'informatique avant le Mac ?

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Personnellement, rien de bien spécial : début avec Sinclair ZX Spectrum, ensuite Amiga et Atari pour passer au Victor VPC II (sans DD, avec 2 floppy's) et surtout la découverte de Multiplan qui était l'ancêtre d'Excel et qui a véritablement marqué le début de ma carrière professionnelle (je suis très vite devenu un "spécialiste" de Multiplan, ce qui m'a ouvert bien des portes :rateau:).
Dans un même temps, j'ai travaillé sur IBM AS400 et aujourd'hui, je suis encore stupéfait de découvrir que des entreprises travaillent encore avec ce système ! (Idem pour les IBM Thinkpads dont je possède une collection relativement complète et pour la plupart encore en état de marche !)
Jusqu'au jour où ... j'ai découvert l'iMac G3 DV600 Flower Power qui a véritablement marqué le début de l'histoire d'amour avec le Mac !:love:

Ah ? Vu ton grand âge, j'aurais plutôt pensé que tes débuts en informatique, c'était ça :

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:D
 
Comment c'était avant le Mac....

Hé bien pt'i gars... C'était au début des années 1980. Mes parents m'avaient offert un Ti99/4A. Il était beau, avait un super clavier et on pouvait utiliser des cartouches de ROM pour le transformer en console de jeu vidéo. Il fallait le brancher sur la TV... J'ai lu, relu et rerelu le manuel, faisant connaissance avec le TiBasic, un hybride improbable de basic et de Pascal. Que de soirées a taper des CALL HCHAR et autres CALL VCHAR !

Alors vint la sainte Bible de l'époque, j'ai nommé l'HEBBBBBBBBBBBBBBDOgiciel, ses interminables listings et les blagues de Carali. Que de séances de frappe et de débogage ensuite! Vu que j'avais un clavier QWERTY, c'est depuis cette époque que je n'utilise plus les accents.
À l'époque, pt'i, fallait laisser l'ordo allumé, vu qu'il n'y avait rien pour enregistrer les softs.... avant que j'achète un câble introuvable pour brancher un bête lecteur de K7 (des petites bandes magnétiques dans un boitier plastique, hein, qui servait pour la musique des groupes d'alors... genre Dire Straits...)

Puis est venu un Amstrad clc 464, surpuissant avec son proc 8 bits qui était bien plus véloce que les TMS 9900 de Ti (16 bits...), avec le 'locomotive basic" qui portait bien son nom, son enregistreur K7 intégré, puis ses disquettes 3 pouces de mer... introuvables!

Mais tout cela avait un problème: tu allumais ta machine: tu avais 4 lignes blanches, ou vertes, sur un écran noir. Tout ce que tu pouvais y faire, c'est taper du code. Des heures. Et après, un bon RUN, pour finir en "IMPROPER ARGUMENT IN 120" ou and "BAD SUBSCRIPT IN 280".
En fait, à part t'amuser (beaucoup), et en apprendre (pas mal) tu ne pouvais presque rien faire comme travail utilisable.

On trainait dans les magasins d'ordis: des librairies (oui) ou on pouvait tripoter les MSX, les VIC 20, les Commodore 64 des aristos, mais on n'avait pas accès au st Graal: les boutiques "Apple", pour les ceusses qui roulaient en R25 toute option ! Une fois, mon paternel, habillé en travailleur, a voulu m'acheter un Apple IIC. On l'a reluqué comme Martin Luther King a un meeting du ku klux klan... J'ai su ce jour-là que je me passerai des vendeurs Apple.

Et puis, on a su qu'une révolution venait de Californie: Lisa, la mère du Mac. C'était presque une légende: on disait qu'il n'y avait plus besoin de code! LE DIEU CODE ÉTAIT MORT ! Il suffisait de cliquer, pointer, bouger un machin nommé souris, et on pouvait faire des trucs insensés, voir des documents comme ils allaient être imprimés, même que ça s'appelait du "ouiziouigue", mon gars!

Ya eu des bonzes de chez IBM, des barbus qui parlaient en vexa, des anciens de chez HP qui causaient en RPN, qu'on dit que c'était des jouets pour hippies friqués, que ça valait pas leur machine sous DOS (un truc de code), que c'était nul parce que n'importe quel pékin pouvait s'en servir... Faut dire que ça valait son poids en or massif ! Trop cher pour moi... Mais comme je trouvais ça génial, je tannais mon paternel pour qu'il m'offre... des actions Apple. Beaucoup d'action apple (et c'était pas simple, à l'époque, d'acheter depuis la campagne des actions aux USA... Bien, bien, bien des années plus tard, il m'en remerciera...)

Et puis un jour, bien des années après, en troisième cycle, je suis arrivé dans un labo de recherche, et là.... des macs ! Plein de macs ! des Mac plus, et même un disque dur, et hô miracle, un Mac II Cx avec copro mathématique ! Ze ultimate weapons of the deadly dead! J'ai vite été promu "chef mac": lorsque j'ai allumé mon premier mac, j'ai entendu un "Dzoing!" céleste (avant, on n’entendait rien, vu que pas mal de machines n’avaient même pas un haut-parleur, ou une merdouille juste bonne a faire bip).
En plus, ça écrivait en noir sur fond blanc, et sur un écran super, qu'on y voyait bien, même qu'on pouvait y dessiner une geisha en train de se coiffer! Et il y avait un truc nommé hypercard, qui te permettait de faire.... des programmes, sans taper une ligne de code! ZE révolution!

Après cette découverte, je commençais à monnayer mes services, rédigeant des thèses de science à partir des brouillons pour des étudiantes de troisième cycle qui n'avaient pas accès a ces machines, voulaient profiter de mes modestes talents graphiques et de mes moins modestes talents stylistiques, et prêtes à payer de leurs jolies personnes... mais ceci est une autre histoire.
 
bonsoir

mon premier fut un Commodore 64, avec son lecteur de disquette 5,25 pouces souple
vendu pour un Atari 512
remplacé par un Atari 1024
The Power without the Price
les joies du TOS
j'ai attendu que le Mac soit accessible a mes moyens, le LC III avec son écran a moins de 9 000 Fr

depuis j'ai toujours eu du Mac

me souviens avoir moi aussi taper les programmes en Basic d'hebdogiciel, et les poke du commodore
 
Dernière édition:
Je suis informaticien de métier et j'ai obtenu une maîtrise d'informatique au début des années 70, avant l'apparition du Mac et même des micro-ordinateurs !
Mon premier ordinateur a été un Apple ][ Plus en 1978. La config était la suivante :
- l'unité centrale 32K de RAM + l'extension de 16K donc 48K (haut de gamme !)
- deux lecteurs de floppy disc 5 pouce 1/4 de 140K de capacité chacun (royal !)
- un moniteur Zénith (fond noir, caractères verts)
- une imprimante Epson à aiguille bi-directionnelle
Prix de la config : 25 000 francs (l'imprimante à elle seule coûtait 7 000 francs !)
Comme j'avais étudié la compilation, la théorie des automates et des langages, je m'exerçais à programmer des mini interpréteurs, d'abord en basic de l'Apple ][ puis en Logo et en Lisp (j'ai toujours eu une préférence pour les langages et la programmation fonctionnelle). C'est sur l'Apple ][ que j'ai appris le langage Prolog d'Alain Colmerauer. Je programmais aussi et j'imprimais des courbes fractales (ça prenait des heures, voire des nuits car je laissais la bécane tourner). Je faisais aussi de la musique avec l'Apple ][. J'avais acheter aux US, via une coopérative en France, le système de Mountain Computer Music System qui consistait en 2 cartes interconnectées (par une nappe) sur lesquelles il y avait 16 oscillateurs et un crayon optique qui me permettait d'écrire directement des partitions sur l'écran de l'Apple ][ (tout ça au début des années 80 !). Voir ici : Passort Designs Soundchaser and Mountain Computer MusicSystem | Applefritter (je n'avais pas le clavier). En 1983, j'ai acheté un synthétiseur Yamaha DX7. J'ai donc acheté une carte d'interface midi pour l'Apple ][ (le fond de panier avec ses 8 connecteurs était presque rempli...) et je me suis mis à programmer en assembleur 6502 (le processeur 8 bits de l'Apple ][) pour que l'ordinateur pilote en temps réel et fasse jouer de la musique au DX7. J'ai appris certains algorithmes temps réel de cette façon ! Tous mes copains étaient assez sidérés de voir un ordinateur qui créait et pilotait un synthétiseur en temps réel à l'époque. En fait, je l'ai vu un peu plus tard, il se faisait des choses semblables à l'IRCAM (j'ai vu, à cette époque, là-bas, un Apple ][ qui pilotait en temps réel 3 DX7. La programmation était en langage FORTH (voir Forth (langage) - Wikipédia). Je me suis procuré un Mac Plus d'occasion (128K) fin 85 (il a fallu que je rachète une interface midi et il n'y avait pas l'équivalent du système de Mountain Computer). J'ai donc gardé mon Apple ][ jusqu'au début des années 90. Perso, j'ai vécu l'avènement du Mac comme une régression par rapport à l'Apple][ car, pour la musique, je ne pouvais pas faire autant de choses avec
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Maintenant, j'ai un MacPro "early 2008" avec 32 Go de RAM, 2 quadriprocesseurs à 3,2 GHz, une carte graphique Quadro 4000, 4 disques durs internes de 500 Go, 2 lecteurs/graveurs de DVD double couche (que je n'utilise pratiquement plus), la carte wifi (qui était une option en 2008, comme ça va vite !). J'ai aussi un iMac de juin 2011 avec un disque de 2 To, un quadriprocesseur i7 (hyperthreading) à 2,8 GHz, 8 Go de RAM. Il est pour ma femme qui fait un peu de montage vidéo.
Pour la musique, j'utilise les logiciels suivants : Logic Pro 9 et X, metasynth 5.3, tassman 4, MachFive 2 et 3, UVIWorkstation, MOTU Symphonic Instrument, TimewARP 2600, XX 5.3, Noatikl et IanniX. J'utilise les systèmes Snow Leopard (j'ai certains programmes qui ne tournent que sous ce système et je tiens à Rosetta) et Mountain Lion (j'ai "sauté" Lion) et je n'utilise pas Mavericks car j'ai des tas de logiciels pour lesquels ce système est problématique, en particulier avec metasynth qui est le logiciel que j'utilise le plus avec Logic Pro et MachFive.
Autres équipements informatiques : borne Apple Airport Extrem, iPad 2, Apple TV 2, disque dur multimédia TVIX HD M6600N (double tuner TNT, HD, wifi) utilisé via Samba par les Mac et un NAS Synology DS411J avec 4 disques de 2 To chacun en réseau Ethernet et exploité sur les Mac via Samba également.
Je reconnais que c'est une config un peu "haut de gamme" mais chacun ses hobbies...
Ça a bien changé depuis l'APPLE ][ en 78 !
 
En 1985, animateur et secrétaire d’un groupe de jeune, j’avais remplacé, inspiré par un copain, ma petite machine à écrire portable par un Schneider CPC 464, cousin de l’Amstrad CPC 464 illustré dans l’article en lien avec ce sujet.
J’avais bien été intrigué par un article dans le soir, parlant d’une petite firme américaine qui avait présenté un petit ordinateur original à interface conviviale, mais qui n’était pas compatible avec les ordinateurs d’IBM et très cher, qui serait réservé au monde professionnel… Je ne m’étais pas senti concerné, étant étudiant et avec des moyens très limités.

l’imprimante matricielle me permettait de sortir des textes soit en qualité listing, soit en qualité courrier, et même en gras (je ne me souviens plus si l’italique était géré).
Fini de retaper toute une page pour pouvoir changera tournure d’une phrase!

Bon, côté mise en page, les couper-coller et glisser-déposer se faisaient sans souris, avec papier, ciseaux et colle. Le résultat final passait par la photocopieuse…

Quand au graphisme, je me souviens avoir été tout fier d’avoir pu, aidé par une bouquin sur la programmation en Basic, dessiner à l’écran quatre cercles qui pouvaient rappeler les quatres anneaux de Audi, et même de les imprimer… Bon, les lignes étaient des ensembles lettres…

6 ans plus tard, je pensais acheter quelque chose de plus moderne, mais rien ne me tentait vraiment, surtout que les vendeurs me disaient que pour ne pas payer trop cher, le mieux c’était d’acheter coréen… Ce qui ne me paraissait pas politiquement correct vu les conditions de travail là bas… Maintenant, on n’a plus le choix: quasi tout ce qu’on achète est fabriqué en Chine…

Puis un jour, un copain qui m’en parlait de temps en temps a débarqué avec son Macintosh SE dans son sac de transport.
Déjà l’écran de démarrage m’a paru sympa.
Puis voir les icônes de ses documents et applications plutôt que de taper une ligne de commande et attendre que l’ordi trouve le programme sur la cassette (pourvu qu’on n’ai pas fait de faute de frappe), c’était vraiment magique :)
Quand il a ouvert un document, que j’ai vu non seulement qu’on pouvait utiliser plusieurs polices de caractères merveilleusement lisses, qu’en plus on pouvait modifier leur taille à volonté, j’ étais séduit.
Après une petite démo de mise en pages dans Aldus PageMaker et de la simplicité d’installation d’une police, la question ne se posait plus: il me fallait un Mac!

C’est comme ça que, fin de l’été 1992 je profitais d’un bradage des fins de série de Macintosh Classic pour m’en offrir un, gonflé à bloc sur le conseil du copain, bien que pour moi, 4Mo de Ram et 40 Mo de disque dur, ça paraissait extravagant ;)

Armé d’un petit scanner à main 256 tons de gris de Logitech pour le illustrations, fini, désormais, les mises en page avec ciseaux et colle et plus besoin d’aller photocopier mon document: toute la mise en page et l’impression finale étaient désormais faits maison :)
 
Le clavier ABC du CASIO FX-702P avec son interface K7 et son imprimante en listing 2,5 cm sur papier alu. Les parties de cartes avec cet 'ordinateur portable' pendant les cours de latin ou de philo.
Le rêve inaccessible d'un disque dur apple sur l'apple //e (1983), et le lecteur 3,5 de 800k enfin. le ZX81 du cousin, avec les différents add-on (mémoire, clavier) pour les fêtes.
Ensuite les apple //c de la fac, avec souris, l'UCSD Pascal, puis le Modula-2 (1 disquette pour le finder, une disquette pour le compilateur... 5'1/4 évidemment) Le tout en 80 colonnes avec écran vert. Lisa avait encore des disquettes 5'1/4 aussi, mais c'était pour le responsable de la salle info.

Un peu plus tard, la grosse désillusion des écrans/contrôleurs terminaux passifs 5250 avec leur bruit de mitrailleuse pour le Ctrl-G alors que l'apple 2GS arrivait, puis le Mac LC, mais c'est déjà une autre histoire.

Bref en mode caractère, avec peu de souris, et le minitel en //.
 
Début en 76 en 4e, avec une TI la SR51 II, quelques pas d'écriture = résolution d'équation de degré 1 par itération, de tout façon pas de mémoire conservé = ressaisir vite le programme depuis le carnet.
Puis une TI 57 (56 pas de programme), je fais parti d'un club où la plupart ont des HP = comparaison des performances de calcul, de précisions après la virgule ou sur les grands chiffres
Enfin pour mes 18 ans en 1981 = un Oric Atmos (cassé la tirelire), suivi rapidement d'un lecteur de disquette Tran et d'une imprimante Brother (re-cassé la tirelire).
Bricoleur avéré, j'ai rapidement tout installé dans un boitier métallique avec les 3 alim = Atmos, disquette, péritel.
Cette ensemble a fonctionné pour tenir à jour les cartes de fidélité du magasin de mes parents (2 mailings annuels) pendant plus de 18 ans.
En 1984, découverte d'Apple II : calcul d'une denture d'engrenage avec possibilité de revenir en arrière des calculs. Bien sur de longues heures a saisir des programmes des journaux de l'époque, et à faire tester mes réalisations par mes collègues d'étude.
En 87, découverte du PICK (système multi-utilisateur gestionnaire de base de donnée) et surtout Windows 3.1 = 1er impression WYSIWYG » = « What You See Is What You Get », soit en français « ce que vous voyez est ce que vous obtenez (à l'impression) » REVOLUTIONNAIRE !
Et enfin, en 88, découverte de l'ordinateur de mon directeur : Macintosh Plus avec un disque externe de 10 Mo (MégaOctets)
Achat d'un 1er Macintosh II (pour la boite bien sur, faut pas plaisanter avec les tarifs), puis un 2éme, ... dans un environnement de PC. Présentation au Directeur Informatique de l'époque des avantages. Mise en place d'un réseau bureautique et de ma 1er imprimante réseau = tu branches, ça marche. Feu vert pour continuer.
 
1985, j'ai 13 ans et je reçois mon 1er "ordi": un belgo-germanique Schneider CPC-464 (cassette) avec écran monochrome vert. J'étais émerveillé par un jeu aux graphismes ridicules: Jet Set Willy. J'ai acquis les bases de l'informatique avec ce truc: programmation en Basic, et même une ébauche de base de données. C'était un des premiers CPC-464: le clavier alphanumérique n'était pas coloré comme il l'a été par la suite. J'ai eu après (vive Saint-Nicolas) le stylo optique (complètement inutile!) et le synthétiseur vocal (alors là, je raconte pas la frime quand je programmais des petits trucs très "SF" pour l'époque;p)

Après: Schneider CPC-6128 (disquette) avec écran couleur acheté d'occasion à un copain de classe. Ensuite revendu pour ma première moto ;) et ensuite Amiga 500 avec écran couleur et imprimante 24 aiguilles qui coûtait quand-même un os pour l'époque (600€)!

Mes premiers cours d'informatique datent de ma 1ère secondaire (lycée 6ème en France? vers 12-13 ans quoi): des cours du soir sur PC 8086 et Apple II.

Au début de mes études supérieures, m'étant détourné momentanément de l'informatique, j'utilisais le Schneider Joyce (orienté traitement de texte) d'un ami !

Après, plusieurs PC... en passant pour les jeux par une PlayStation (la 1ère) et une GameCube avant de connaitre mon premier Mac (2005?): un iBook 12". Aujourd'hui à la maison, on a 3 Mac, 3 PC, 3 iPad, une Wii et une PS4 (mais on est 6 sans compter bébé hein)

J'ai encore aussi un Vectrex de 1982, mais il ne s'allume plus :(
 
Dernière édition:
Bonjour a tous,
pour moi avant le Mac ça a commencé vers 1985 quand mon grand-père s'est fait offrir pour son départ à la retraite un Philips VG5000 avec alimentation et lecteur de cassette externes. Des heures à taper des programmes en Basic qu'on trouvait dans des revues ou des livres consacrés rien qu'à ça. On trouvait aussi des jeux qu'on pouvait acheter chez les revendeurs de la marque. Tout allait bien jusqu'à ce que l'alimentation crame et qu'on n'arrive pas à en trouver un autre.

Ensuite mon grand père a eu un ATARI 520 st puis ma mère m'a payé un ATARI 1040 st, le top avec le lecteur de disquette. A cette époque j'étais au collège et plein de copains avait des Atari, on pouvait alors de prêter des jeux. Les autres avaient des AMSTRAD CPC 464 ou 6128.

Par la suite il y a eu un Performa LC (mais je ne sais plus lequel, je dirai 400) à la maison, puis quelques années plus tard un Quadra quelque chose.

Ensuite une fois dans la vie active, j'ai voulu faire comme tout le monde et je me suis payé un PC, un portable 12" avec lecteur DVD (un des premiers à le proposer d'ailleurs), c'était en 1999.
A suivit ma première connexion a internet en 56 k grâce à un FAI américain qui proposait un forfait illimité !!!

Ensuite j'ai eu différent PC acheté monté ou monté par mes soins (rue montgallet me voilà !)

Jusqu'à ce que je me paye un ibook G4 12" sur lequel j'avais monté un lecteur superdrive et gonflé la Ram (Il fonctionne toujours d'ailleurs).

Ensuite je me suis payé un Mac Mini (2009) puis un Mac mini (Late 2012) sur lequel j'écris aujourd'hui.
 
hô miracle, un Mac II Cx avec copro mathématique ! Ze ultimate weapons of the deadly dead!

Tiens, c'est marrant, ça, c'est le premier Mac sur lequel j'ai bossé, en 92, le IIcx, mais j'en avais une opinion différente de la tienne : "Ze ultimate daube of the deadly dead!" … Avec son 68030 à 20 Mhz, il était presque deux fois plus lent que le SE30 que j'ai eu par la suite, qui n'avait, lui, qu'un 68030 à 16 Mhz ! :mouais:
 
Bonjour,
J'ai découvert l'informatique à 13 ans ,en 1979, sur le TRS80 du père d'un copain.Puis j'ai acheté un ZX81, un TI 99/4a -le 1er 16bit grand public, et en 1984 un Apple IIe (et sa carte CP/M - Z80). A l'époque , il n'était pas rare de passer la nuit sur l'ordinateur pour le remettre en route, d'utiliser un éditeur de secteur pour modifier des fichiers et , tout au moins pour moi, il n'y avait pas de connexion à un réseau (le premier fut actif sur mon ordinateur suivant: un Apple 2 GS -toujours fonctionnel-(équipé d'une carte PCTransporter AE permettant d'executer du MSDOS)+un disque dur SCSI de 20Mo+une imprimante imagewriter+un minitel comme modem et un abonnement à calvaclub) mais ,à cette période en 1986, le Mac était déjà né.
Bonne journée
 
Pour ma part j'ai commencé l'aventure à l'école, au club informatique, équipé alors de "fabuleux" Micral 80-22. Je rappelle que Micral, société française, est l'inventrice du mot et du concept "micro-ordinateur"...
On tapait des kilomètres de listing en LSE juste pour faire bouger un curseur à l'écran car la bête était pourvue d'une carte graphique.
micral8022g-0.jpg


Après, comme beaucoup, ZX81, Oric Atmos, Commodore 64 et AMIGA.
Oui je suis d'accord que l'Amiga est une vraie transformation, une étape majeure dans l'histoire de l'évolution informatique.

Plus intéressant : mon premier contact avec Apple fut par le biais... d'un clone !!!
Oui oui, un clone d'Apple IIc, par la compagnie ITT. Un ITT20-20 :

itt2020a.jpg

Et oui, avec la petite pomme arc-en-ciel en bas à droite ! Une machine beaucoup moins chère que celle de copertino, mais qui faisait tout pareil !

Ce qui me valut de savoir faire fonctionner un ordi Apple, et d'être embauché quelques mois plus tard par un des premiers revendeurs Apple à ouvrir en France, à St-Etienne.
Le reste... j'ai connu tous les mac sans exception, du Lisa au dernier MacPro. C'est une longue histoire d'amour et de détestation mêlées, mais toujours avec passion.
Happy birthday, my old friend, and so long baby !
 
Ma première machine était un Acorn Electron, petit frère de l'Acorn BBC, avec K7 et extension pour cartouche ROM et imprimante. Pas de disquette ni de HDD au lancement, ils sont apparus par après. A ce temps là, j'écoutais la BBC car il y avait une émission qui émettait le son audio de programmes pour Acorn BBC et hop la k7 dans le lecteur et le code était importer dans la bécane et ça fonctionnait !
http://en.wikipedia.org/wiki/Acorn_Electron
Mais, très bon langage de programmation, soit assembleur soit Basic avec une pointe de Pascal, ils étaient très bien pour l'apprentissage de la programmation.
 
Commencé sur Cpc464 déjà boosté avec lecteurs de disquettes 3 pouces et 5 1/4 et extension de 512 ko
Puis Amiga 2000, A 500, A600, A1000, A1200, A3000, A4000 et CD32 presque toutes toujours ici en cours de restauration et mega customisées (A1200 dans un boitier de A2000 avec extension Mediator pour utiliser des cartes PCI), une tuerie cette machine mais qui n'a pas pu ni su percer dans le monde pro hors musique et video... a cause comme souvent de marketeux
Côté PC j'ai commencé avec un pote avec un vieux 386 trouvé dans la rue sur lequel on s'est essayés à Linux, puis des tours montées et bidouillées à la main, jamais acheté une machine complète (cyrix, AMD DURON, AMD, Pentium 1,2,3,4 et Pro).

Tant que je peux j'évite l'Intel, les AMD moins chers sont bien suffisants et on peut les faire évoluer sur la durée plus longtemps, ils changent moins leurs sockets. Actuellement un FX 8350 à 4ghz payé 170 euros sur une carte mère à 90 euros et 32 go de ram et un ssd ) bien assez puissant même pour de la production avec photoshop et lightroom.
Les Intel sont plus puissants mais à mon avis bien plus coûteux.

Enfin côté Mac, acuellement un MacbookPro 17 payé pas très cher car plus à la mode mais bien assez puisssant pour les déplacements et son écran confortable (1920x1200)
Entre temps j'ai utlisé (souvent professionnellement) et gardé
SE30, Mac classic couleur, Mac LC2 et 3, LC475, Mac IICI, Mac performa 650, Powermac G3, puis powermac G4 mirror bi G4 à 1,2 ghz. Côté portable ce fut Powerbook G4 titanium (qui est encore là), Macbookpro late 2008 (revendu) et le Macbookpro 17 de 2011.

Je dois en oublier quelques uns au passage
 
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Réactions: melaure
à 12/13 ans, en 1977, comme premier ordinateur, j'ai eu une calculatrice programmable : la Ti57...
Comme j'étais fauché, je n'ai eu que cela jusqu'au lycée que j'ai quitté avant la terminale ...

Au lycée j'avais accès à un Goupil (3 je crois)...

à 18 ans, en 1983, Comme premier vrai boulot, j'étais programmeur Cobol essentiellement sur des Micro-Ordinateur de marque ZILOG et de type 1/05 (et 1/35, et autres), qui tournaient avec un genre de CP/M (CP/M étant l'ancêtre de MS-DOS) et avaient, comme microprocesseur un Z80 bien sûr, et deux disquettes 8 pouces pour le 1/05 et deux disques de 10 Mo pour le 1/35, dont un amovible (un truc d'au moins 50cm de diamètre...) Tout cela avec un écran/clavier en Qwerty et sans souris.

Si mes souvenirs sont bons, le 1/05 coutait 50 000 FRF.

Pour la petite histoire le ZILOG 1/35 avait la particularité d'être en forme de vrai bureau avec à la place des tiroirs le micro-ordinateur et les disques. La console (l'écran/clavier en un seul morceau) étant posé sur le bureau.

Puis dans la boite, il y eu les PC sous MS-DOS, soit disant compatible IBM-PC... et des mini-ordinateur Wang VS...
etc. etc.

Premier contact avec Apple en 1984 avec l'Apple II (mieux vaut tard que jamais) puis quelques années plus tard les MAC...
Premier contact avec Windows avec la version 2.0 autour de 1990 (je ne sais plus exactement ?), mais c'est surtout la version 3.0 (et non pas 3.1) qui a commencé à prendre de l'ampleur dans les entreprises, puis la 3.1 pour les particuliers...
 
Ma première rencontre (du 3ieme type) avec l'informatique c'est fait sur TO7 tournant à la vitesse folle de 1 Mhz et son crayon optique.
Le mac et sa souris ont ensuite tout changé mais était-ce vraiment un meilleur dispositif de pointage ?
Quand j'y repense ce TO7 était sacrément en avance sur son temps: Un stylo pour pointer sur un écran dans les années 80!
A l'aire de l'iPad tactile multipoint et carburant au Ghz ça peut fait sourire mais avec le recul on se rends compte que l'idée n'était pas mauvaise.
 
Quand j'y repense ce TO7 était sacrément en avance sur son temps: Un stylo pour pointer sur un écran dans les années 80!

Je ne voudrais pas te faire de peine, mais moi, j'ai connu ça dans les années 70, sur les terminaux passifs de la compagnie d'assurance où je bossais durant cette décennie ! :siffle:
 
J'ai commencé avec un Amstrad CPC 464 monochrome... puis j'ai fini par recupérer un adaptateur péritel que j'ai du réparer... (tout peté)...
Plus tard j'ai récupéré un PC Tandy equipé d'un 8088... et d'un maousse HDD de 20 Mo (gros comme une boite à chaussure)...
Mais bon vieux nanar... avec lequel j'ai fait un semblant de bureautique... à l'époque, seules les consoles marchaient bien.
Puis suis passé à un 486 DX 2 66... puis 486 DX 4 120.... Il fallait tout le temps batailler pour liberer de la RAM... et bonjour les conflits d'adresse de périphériques permanents... c'était lourdingue....
Ca a été la merdouille jusqu'à XP... puis XP a lui aussi fini par lasser : marre de formater tous les 6 mois pour retrouver un PC vaguement stable et moins amorphe... puis à force de me faire pousser aux fesses par mes freres "passe au mac"... j'ai pris un mac mini pour mettre sous la tv (un G4 1,25 que j'ai overclocké)... puis finalement un mini core duo 1,66 que j'ai mis en parrallèle de mon PC (un delll à ce moment)... et j'ai switché parce que ca marchait top..
Donc imac 24 " allu ... depuis remplacé par un 27 (le 24 est à mon père maintenant)...
En parallèle j'ai eu une pelleté de ibook (2) puis moultes MBP (7)... et un mac mini (avec 2 disques)... je ne parle pas du stock de ibidules....
Il faudra vraiment qu'apple fasse de la daube pour que j’aille voir ailleurs...
Joli matos (mais qui perd toute bidouillabilité !!!!) stable, durable (les perfs ne chutent pas avec le temps)...
Youpi apple...

PS: le seul produit que je n'ai pas aimé, le time capsule !!! (que des galères)
Mention spéciale à l'airport extreme !!!
 
Tiens, c'est marrant, ça, c'est le premier Mac sur lequel j'ai bossé, en 92, le IIcx, mais j'en avais une opinion différente de la tienne : "Ze ultimate daube of the deadly dead!" … Avec son 68030 à 20 Mhz, il était presque deux fois plus lent que le SE30 que j'ai eu par la suite, qui n'avait, lui, qu'un 68030 à 16 Mhz ! :mouais:

Certes, mais j'ai omis de rajouter que e "mien" était nanti d'une carte graphique optionnelle et d'un absolumentissime généralissime moniteur format A4.
Pour finir ma thèse alors que j'enseignais, j'ai acheté un SE/30 d'occasion, pas cher, qui faisait un bruit d'enfer (le ventilo avait une pale cassée, j'ai cassé l'autre, en face, ce qui l'a équilibré et a fait disparaitre le bruit). Je le transportais dans mes salles de cours et j'ai fini ma thèse avec...
Il fonctionne toujours... :up:
 
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