Monsieur l'écrieur semble en baisse depuis quelques temps. Dernièrement, il se prenait les pieds dans le tapis,
voulant faire le malin en parlant du sport régional, aujourd'hui il étale sur la place publique une expérience que lui et moi avons vécu un soir de cohue.
Je me suis, c'est exact, modéré lorsque
nous avons fait l'acte : ses cris de douleur m'ont fait pitié et, devant ses supplications et la vision de son petit corps se tortillant comme un lombric coupé, j'ai passé la cinquième en cote.
J'aurais du le lendemain matin filmer l'individu lorsqu'il m'a apporté le petit déjeuner au lit en boitillant, mais je ne me moque jamais des chauves et ce jour là, en panne de toile émeri, il était tout tourneboulé de devoir sortir décoiffé. Nul n'était besoin d'en rajouter.
Concernant ce qu'il dit sur les autres modérateurs, force est d'avouer que
certains propos sont vrais, mais je ne dirais pas lesquels.