De la vie des macgéens
- Créateur du sujet thebiglebowsky
- Date de début
Sans doute aussi. Ce pourquoi j'ai précisé 'L'UNE des raisons'
Non. Ca c'est parce que les rosbifs ne font jamais rien comme tout le monde
À cause des lois européennes, auxquelles la France devait se soumettre. Mondialisation, quand tu nous tiens…
Non. C'était seulement une directive destinée à uniformiser l'éclairage des bagnoles en europe, pas une loi. On a toujours le droit de mettre des feux jaunes, sauf qu'il faut trouver les loupiotes qui vont bien.
Bon, on va peut-être s'arrêter la sinon Toumaï va encore raler qu'on n'est pas dans parlons vrum-vroum.
Mais je me souviens parfaitement le jour J avoir pété la coquille jaune de mes loubardes pour qu'elles passent au blanc.
Je pensais la même chose et surtout que c'était une directive européen applicable a toutes les voitures neuves. Donc obligatoire.
Je rentre chez moi hier sur les coups de 20h00.
J'entends un bruit d'arrosage sans que je vois vraiment qui arrose.
Je me dis "tiens, bizarre, à cette heure-là ça m'étonnerait que le gardien soit encore ici à arroser les plantes".
C'était, en fait, un voisin.
Il me dit qu'avec ces chaleurs tout va crever si on ne fait pas quelque chose et que si, en plus, ça ramène un peu de fraicheur, c'est pas plus mal.
Il faut savoir que j'habite dans un ensemble d'immeubles disposés en carré autours d'une cour goudronnée plantée de quelques arbres épars qui peinent à y jeter de l'ombre. Quand le soir arrive, les courants d'air ne font que déplacer toute la chaleur accumulée de la cour.
Le voisin s'est cogné l'arrosage de l'intégralité de la cour ainsi les murs des immeubles sur 2 mètres de hauteur (en demandant aux habitants des rez-de-chaussées de fermer leur fenêtres).
Je ne veux même pas savoir combien de m3 de flotte ont été perdues.
Oui, "perdues", car force a été de constater que ça n'a absolument rien changé à la température ressentie.
S'il recommence ce soir, je lui dirai que c'est gentil de se soucier de ça, mais qu'il est préférable de préserver notre bien le plus précieux, l'eau.
PS : Pour dire vrai, le voisin n'a pas arrosé que la cour. Tous les gosses étaient dehors à essayer de passer sous le jet. Malgré les protestations du voisin, ils ont fini par y réussir, hilares.
J'entends un bruit d'arrosage sans que je vois vraiment qui arrose.
Je me dis "tiens, bizarre, à cette heure-là ça m'étonnerait que le gardien soit encore ici à arroser les plantes".
C'était, en fait, un voisin.
Il me dit qu'avec ces chaleurs tout va crever si on ne fait pas quelque chose et que si, en plus, ça ramène un peu de fraicheur, c'est pas plus mal.
Il faut savoir que j'habite dans un ensemble d'immeubles disposés en carré autours d'une cour goudronnée plantée de quelques arbres épars qui peinent à y jeter de l'ombre. Quand le soir arrive, les courants d'air ne font que déplacer toute la chaleur accumulée de la cour.
Le voisin s'est cogné l'arrosage de l'intégralité de la cour ainsi les murs des immeubles sur 2 mètres de hauteur (en demandant aux habitants des rez-de-chaussées de fermer leur fenêtres).
Je ne veux même pas savoir combien de m3 de flotte ont été perdues.
Oui, "perdues", car force a été de constater que ça n'a absolument rien changé à la température ressentie.
S'il recommence ce soir, je lui dirai que c'est gentil de se soucier de ça, mais qu'il est préférable de préserver notre bien le plus précieux, l'eau.
PS : Pour dire vrai, le voisin n'a pas arrosé que la cour. Tous les gosses étaient dehors à essayer de passer sous le jet. Malgré les protestations du voisin, ils ont fini par y réussir, hilares.
Pour le pastis !!!
Bien sûr.
Pourquoi d'autre, sinon ?
PS : D'expérience, car il m'est arrivé de boire l'apéro avec le dit voisin, je crois pouvoir dire qu'il ne gaspille pourtant pas l'eau d'habitude (vue la faible quantité qu'il met dans son pastis).
Dernière édition:
Pas la peine de se laver, pourvu qu’on aie du pastis…
Au-delà d'une certaine dose de pastaga, j'ai pu remarquer qu'on n'en avait plus rien à foutre d'être propre.
Y a comme qui dirait une certain relâchement.
Y a comme qui dirait une certain relâchement.
Vous m’avez donné envie de mettre ma bouteille d’anisette sur le cul !?
Il en restait pas bézef dans le flacon. Mais bon… Deux glaçons, un trait d’eau plate… Et voilà ! L’anis gras envahit le palais, le soleil absent la plupart du temps réchauffe la couenne quand l’alcool accentue la donne… Bref ! Le p’tit bonheur du dimanche soir !
Il en restait pas bézef dans le flacon. Mais bon… Deux glaçons, un trait d’eau plate… Et voilà ! L’anis gras envahit le palais, le soleil absent la plupart du temps réchauffe la couenne quand l’alcool accentue la donne… Bref ! Le p’tit bonheur du dimanche soir !
J'ai bossé un temps en face de chez Cristal Anis. Ça m'aura permis d'aller y jeter mon œil curieux et de découvrir leur anisette.
À mon goût, c'est bien différent du pastis, mais ça a son charme.
À mon goût, c'est bien différent du pastis, mais ça a son charme.
Pitain !
Non seulement le printemps pourri a pour conséquence que mes concombres ont le format cornichon, que les limaces m'ont ruiné deux plants de courgettes sur trois et que mes pieds de tomates ne font que des feuilles, mais en plus une bestiole a trouvé le chemin de mon bac à compost et vient bouffer mes épluchures avant qu'elles aient eu le temps de se transformer en engrais.
VDM
Non seulement le printemps pourri a pour conséquence que mes concombres ont le format cornichon, que les limaces m'ont ruiné deux plants de courgettes sur trois et que mes pieds de tomates ne font que des feuilles, mais en plus une bestiole a trouvé le chemin de mon bac à compost et vient bouffer mes épluchures avant qu'elles aient eu le temps de se transformer en engrais.
VDM
Tu rends donc hommage à TheBig avec ces concombre atrophié.
Je trouve ça plutôt cool, au moins elle ne s’attaque pas à tes plantes directement.
la bestiole... Chez nous aussi la coupable ou plutôt les coupables est une horde de moustachues dont les robes vont du gris au beige. Elles se planquent sous la litière du lapin que j'y verse ou sous les cartons et attendent leur provende. Au premier étage de mon immeuble! Je les aurai un jour; je les aurai!
