De la vie des macgéens


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Mamy Zoë (de là haut) vous souhaite un joyeux Noël et un excellent réveillon baigné de paix, d'amitié et d'amour ! :+1:

Ce serait merveilleux si le monde pouvait arrêter de s'estourbir au moins durant cette nuit !
Mais bon ... ce serait un peu trop demander ! :disappointed_relieved:

Et ... pensées pour Powerdom ! :+1:
 
Joyeux Noël à tous :fork_and_knife::smiley:
Quant à @Powerdom , je me demande s'il ne nous a pas envoyé un signe ici:

 
Je ne sais pas si vous le savez mais on est passé à côté d’un bicentenaire ! « De quoi ?! » me demanderez vous. « Un bicentenaire on en aurait quand même entendu parler ?! » Ouais mais nan !? Ou alors dans la presse spécialisée hé hé ?!

C’est en cherchant à débusquer un anachronisme architectural dans un film situé à l’époque victorienne que j’ai découvert la chose. Dans la scène qui me mit sur la piste, l’un des protagonistes fuit ses poursuivants à travers la ville. Au détour d’une ruelle il grimpe au perron d’une habitation par un escalier de béton.

Et là ! Question ! Le ciment Portland, indispensable à la fabrication d’un béton, existait-il dans les années 1850 ?

Et là ? Réponse ! Le brevet déposé par son inventeur, Joseph Aspdin, date du 15 décembre 1824 !

« Et maintenant ? » me direz-vous. « Jamais tante Martine, une fois son apéricube avalé, ne fera deviner à ses convives et en trois mots : ciment portland, Joseph Aspirine ou mieux 15 décembre 1824 ! » Et vous aurez raison. Mais bon voilà ! On occupe son cerveau comme on peut en attendant minuit ! Hi hi hi !
 
Dernière édition:
Je ne sais pas si vous le savez mais on est passé à côté d’un bicentenaire ! « De quoi ?! » me demanderez vous. « Un bicentenaire on en aurait quand même entendu parler ?! » Ouais mais nan !? Ou alors dans la presse spécialisée hé hé ?!
Fêtons plutôt le « bicent-et-unaire » du pont de Souillac, toujours en fonction alors qu’il a été inauguré le 1er janvier 1824, conçu par Louis Vicat, qui a travaillé sur les premiers ciments artificiels.
 
Tu as du abuser d'antigel ou de substance illicites avant le réveillon. Car d'après ton post nous avons onze mois et demi devant nous avant de célébrer ce bicentenaire :grinning:

bonne année !
Abusé par le jus de raisin fermenté je me suis trompé ! Il fallait lire 1824 ! Je corrige, merci !
 
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Réactions: Gerapp38 et loustic
À part le fait que j’ai l’impression que le passage à l’an 2000, c'était hier, j’ai passé un excellent réveillon. J’espère que vous aussi, même si celui-ci est déjà plus loin.

Bonne Année à tous.

Pour le cadeau au nez rouge, je trouve ça mignon. En tout cas, si tu le laisses traîner, les chats vont sûrement apprécier. Ça a l'air de bien rouler ce truc-là.
 
Pour évoquer les ambiances festives récentes... :)


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Pour accommoder les restes :

Pommes de terre au foie gras mi-cuit

4 Pers.
4 Pomme(s) de terre 300 g Foie gras mi-cuit Beurre
Sel poivre

Préparation :

Préparation20 min Cuisson53 min

1. Préchauffez le four à 180°C.
2. Lavez et séchez les pommes de terre. Placez-les, sans les éplucher, dans un plat allant au four.
3. Enfournez et faites cuire les pommes de terre pendant 45 minutes, en les remuant régulièrement.
4. A la sortie du four, laissez tiédir les pommes de terre sur une grille puis coupez-les en deux, dans le sens de la longueur.
5. Videz la chair des demi pommes de terre sans abîmer leur peau.
6. A l’aide d’une fourchette, écrasez la chair des pommes de terre avec un bon morceaux de beurre dans un saladier. Salez et poivrez à votre goût.
7. Coupez le bloc de foie gras mi-cuit en cubes et ajoutez-les à l’écrasé de pommes de terre. Mélangez bien toujours à l’aide d’une fourchette.
8. Farcissez les peaux de pommes de terre avec cette préparation. Placez les demi pommes de terre fourrées au foie gras dans le même plat allant au four. (ayant servi à la cuisson des pommes de terre)
9. Enfournez et faites cuire pendant 8 minutes.
10. A la fin de la cuisson, dressez les demi pommes de terre fourrées au foie gras dans les assiettes.
11. Dégustez bien chaud accompagné d'une salade verte assaisonnée.

:yum::yum::yum:
 
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Réactions: loustic et Gerapp38
Les amis*, alors qu'il écoutait une émission radiophonique sur France Culture, votre modérateur est tombé sur le cul ! Inutile de vous réjouir à l'idée qu'il a souffert de la chose, votre modo était déjà assis. Son popotin va bien. Mais pour le reste, il a mal dans son for intérieur !

Figurez-vous que dans cet épisode radiophonique, il était question de bouffe. Donc… Après l'écrasée de patate au foie gras et les pommes sautées d'un bananier, on reste à table avec ce qui suit. Ou disons qu'on va faire un tour dans la chaîne d'approvisionnement de nos caddies.

La scène se passe à Boulogne-sur-Mer et plus précisément à l'intérieur de sa criée, l'une des plus grandes d'Europe. Une journaliste interviewe l'un des responsables du site. Et le sujet des quotas de pêche arriva sur le tapis.

Avant de vous dévoiler ce qui le fit choir au fin fond de sa chaise, votre modo-râleur doit vous donner l'idée qu'il se faisait des quotas de pêche. Son imaginaire fleur bleue envisageait un système de pesée accolé au chalut du bateau. Une balance énonçant au pêcheur la quantité de poissons pris dans le filet et donc le temps pour lui de relever le chalut. Bref un outil qui permettrait aux pêcheurs de laisser à l'eau la poiscaille à même de maintenir la ressource. Mais ça c'était avant d'entendre la réalité de l'océan !

[début de la retranscription de l'échange oral entendu dans l'émission LSD et sa série Manger la France, dans l'épisode 4/4 : Y'a plus de saisons]
— On a un quota sur une grande majorité de nos espèces ici à Boulogne, excepté sur le rouget barbet et l'encornet…
— Gildas Dubois, responsable de la criée de Boulogne-Sur-Mer, une des plus grandes d'Europe par laquelle transitent la plupart des poissons que nous mangeons en France.
— Et sinon la grande majorité des espèces sont assujetti à des quotas justement, dans l'idée de préserver la ressource.
— Si le bateau pêche par mégarde plus de bars qu'il n'a l'autorisation de le faire…
— Oui…
— qu'est-ce qu'il se passe avec les bars pris dans les filets ?
— Bah il ne pourra pas les commercialiser ! Euh… Alors il a une obligation de débarquement mais ce ne sera pas commercialisé.
— Donc les bars sont jetés ?
— Alors ce n'est pas jeté ça va partir sur la troisième transformation. Euh… Alors normalement…
— C'est quoi ça ? C'est la troisième dimension la troisième transformation ?
— Alors non absolument pas ! Ça va t'être réduit… Euh… On ne peut pas… En fait… Ils ont une obligation de débarquer parce qu'ils l'ont pêché. De toute façon le produit est mort ! Donc même s'il le rejette ça va rentrer dans la chaîne de l'écosystème. Donc ils ont une obligation de débarquement. Ils doivent ramener le produit mais on ne peut pas le commercialiser pour une consommation humaine. Donc ça va être réduit en farine pour de la nourriture animale par exemple… Euh… Pour nourrir les poissons d'élevage…
— Ça veut dire qu'un très bon bar sauvage…
— Oui…
— Peut se retrouver… Euh… transformé…
— En farine de poissons !
[fin de la retranscription de l'échange oral entendu dans l'émission LSD et sa série Manger la France, dans l'épisode 4/4 : Y'a plus de saisons]

C'est à ce moment mes amis* que votre modérateur se brisa virtuellement le coccyx ! Point de système de pesée embarqué comme votre modérateur se plaisait à l'imaginer ! Le surplus de pêche une fois le quota atteint est transformé en farine pour l'élevage des poissons, des poulets, des vaches par le passé et tout ce qui mange des protéines animales !

:warning: Mais attention les amis*, il ne s'agit pas avec cette intervention d'une critique de la législation européenne ou la permission d'ouvrir un débat à consonance politique… C'est forbidden ! Mais juste d'une situation qui aurait pu mal finir si votre modo-râleur n'avait été assis au moment d'entendre les mots qu'il vous a retranscrit. Bref d'un instant de vie où l'on se dit : j'ai bien fait d'être assis hi hi hi !

*c'est une image, hein ! Votre modérateur n'apprécie personne.
 
Ben quoi?
Vous croyiez vraiment que les quotas étaient là pour soutenir la croissance des espèces?
Nigauds crédules!
Ils sont là pour soutenir les cours! "Ce qui est rare est cher"...:tongue:
 
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Réactions: Gwen