Destins de Gloire...

sofiping a dit:
... je viens de finir ce livre et je regrette presque cette verité , car nous n'aurons plus jamais l'occasion de lire de superbe fiction sur cette affaire comme a pu le faire le trés talentueux James Ellroy en 1987 dans Le dahlia noir .

Tu peux toujours lire l'autobiographie d'Ellroy, Ma part d'ombre. ;)
 
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Réactions: PATOCHMAN
On oublie vite sonnyboy,
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né dans une mangeoire à ban y a bientôt 3 ans. Et oui déjà ! en si peux de temps il a rattrapé l'autre là de nas'areth :p
 
Dory a dit:
Ce n'est pas un récit ..autobiographique?

Ce n'est pas de sa mère dont il s'agit?

Non, Ellroy s'est inspiré de l'histoire d'Elizabeth Short pour exorciser le meurtre de sa propre mère, dans des conditions assez similaires. Mais le meurtre de sa mère est restée inélucidé.
 
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C’est par un beau soir de printemps, qu’à la sortie de la boîte de nuit “Borntoubiheulyve”, Gérard Lécasse fait la connaissance de Madeleine Deproust, surnommée “La fée caca”.

Après lui avoir vomi son reste de bourbon dans le cou, il fit plus profondément connaissance avec elle sur la banquette arrière housse léopard de sa Renault Fuego GTL. 2 minutes plus tard, ils se quittèrent pour ne plus jamais se revoir.

7 mois plus tard, Sam Lécasse décidait déjà de faire chier son monde, en pointant le bout de son nez prématurément. Sa mère, ne se doutant de rien, était tranquillement installée au cinéma, en train de regarder le dernier film de son cinéaste préféré, Luc Besson, intitulé “Léon se tape Angel-A, pendant que Nikita pompe le Grand Bleu dans le Subway”. Certe, elle trouvait le titre un peu long, mais cela avait l’avantage de permettre à tout les fans de Besson de comprendre le film avant même de l’avoir vu. Donc, disais-je, Sam nous les casses déjà, avec deux mois d’avance. Les premières images qu’il aperçu fûrent hélas du Besson. Il était déjà mal barré ce petit !

Douze années plus tard, et après une intervention technique dite de la dernière chance, une équipe Zaïro-Portugo-Hongroise de Rotterdam réussit enfin à extraire Sam de sa couveuse, et cela en direct, devant des millions de téléspectateurs. Sa vie en serait bouleversée à jamais. Par le manque d’espace, ses bras ne purent se développer correctement. Cela le perturba toute sa vie. Manquant de longueur, il ne pouvait atteindre sa queue sans se pencher dangereusement en avant. Il pissait donc toujours avec la tête dans les chiottes. La masturbation était aussi pour lui un problème. Heureusement, il fit la connaissance de Sonny, un ami qui était toujours prêt à lui tendre la main pour lui rendre quelques petits services.

A 25 ans, Sam fit une nouvelle rencontre déterminante. Amok Ocadiz. Ce fut pour lui une révélation.Comme s’il avait rencontré Dieu en personne. Amok accompagna Sam dans les dernières années de sa vie. Il s’amusaient beaucoup ensemble à des jeux bien innocent, comme, par exemple, la savonette qui glisse. De par le handicap de Sam, cela ne rendait que plus attrayantes les parties.

On retrouva, après 6 mois de recherche Sam, un beau matin. Il était descendu dans la cave, s’était glissé dans sa couveuse, qu’il avait gardé par nostalgie, avait laché un pet de l’autre monde, pour finir asphyxié. Il avait pris soin, au préalable, de marqué sur sa boite en plexi : home suite home.
 
C'est trop triste...

Trop triste....

J'en chie..:D
 
L'assiette du pauvre, toujours...
 
rezba a dit:
Non, Ellroy s'est inspiré de l'histoire d'Elizabeth Short pour exorciser le meurtre de sa propre mère, dans des conditions assez similaires. Mais le meurtre de sa mère est restée inélucidé.

Ma part d'ombre est bien un livre autobiographique ... il y parle , entre autres , de son enfance et donc ... de sa mère et de son assassinat ... Il y tentera également de faire la lumière sur cette histoire ... aidé d'un détéctive du nom de Bill Stoner ... affaire classée , non résolue .

;)

Le Dahlia noir est une fiction ... James Ellroy est hanté par le meurtre de sa mère et s'appuis sur l'histoire d'Elisabeh Short pour son récit . Ce livre est le premier volume d'une serie intitulée Le quatuor de Los Angeles ... suivront Le grand nulle part , L.A. confidential et White jazz . :up: :love:
 
1874-1965

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Tantale était roi de Lydie.
Il avait la réputation d'être extrêmement riche et les dieux le considéraient comme supérieur à tous les mortels.
C'est pour cela qu'il était invité à leur table sur l'Olympe, mais il avait la fâcheuse habitude de dérober le nectar et l'ambroisie des dieux qu'il partageait avec d'autres mortels et de colporter les ragots de l'Olympe.
Pourtant les dieux vinrent une fois dîner dans son palais. Parce la région souffrait d'une terrible disette ou pour vérifier la prescience des dieux, Tantale égorgea son fils Pélops, le fit cuire dans un chaudron et le servit à l'occasion du banquet.

Les dieux se rendirent immédiatement compte de l'horrible nature de cette nourriture à l'exception toutefois de Déméter qui, à cette époque là, était fortement troublée par la disparition de sa fille.
Ils ressuscitèrent Pélops et inventèrent un supplice terrible pour Tantale. Il fut pendu à un arbre (ou immergé jusqu'à la poitrine) pour l'éternité dans le Tartare et affligé d'une soif et d'une faim inextinguibles. Chaque fois qu'il se penchait pour boire de l'eau, elle se retirait et l'arbre regorgeait de fruits, mais quand il voulait en saisir un, le vent en écartait les branches.
 
G2LOQ a dit:
Chaque fois qu'il se penchait pour boire de l'eau, elle se retirait et l'arbre regorgeait de fruits, mais quand il voulait en saisir un, le vent en écartait les branches.

C'est horrible ! :affraid: un vrai supplice de Tantale !!! :eek:
 
Jacques Brel (1929-1978)

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"Le Grand Jacques" vient d'être élu "le plus grand Belge de tous les temps", hier soir sur la RTBF, annonce La Libre Belgique. Brel devance le roi Baudouin et le père Damien, plébiscité lui par les Flamands. Et Le Soir de déclarer : "On dira ce qu'on voudra mais la Belgique est bien un pays imprégné par le catholicisme, Damien comme Baudouin étant des représentants de cette religion. Pourtant, le gagnant est un bouffeur de curés et de grenouilles de bénitier... qui fut surnommé l'abbé Brel."