Destins de Gloire...

Brel on s'en fout... je fais juste remonter le thread....
 
Le dernier jour d'un mois de la première guerre mondiale, un obus éclate et deterre le cadavre d'un grand capitaine français des temps anciens et une hallebarde.
En multipliant le nombre de jours du mois de la découverte par la longueur, en pieds, de la hallebarde, puis par le quart du nombre d'années écoulées entre sa mort et sa découverte et enfin par la moitié de l'âge au moment de sa mort, on trouve 225533.

:zen: :D
 
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Réactions: PATOCHMAN
PATOCHMAN a dit:
... A Nestor le pingouin, qui a passé sa vie avec le bras d'un sale hippie dans la boite à oeufs... Et sans se plaindre, s'il vous plait! :o Quand on pense à ceux qui passent leur temps à geindre... Pfffffff!!!!!

Toute une vie de fist fucking...

J'en ai les larmes aux yeux...
 
PATOCHMAN a dit:
... A Nestor le pingouin, qui a passé sa vie avec le bras d'un sale hippie dans la boite à oeufs... Et sans se plaindre, s'il vous plait! :o Quand on pense à ceux qui passent leur temps à geindre... Pfffffff!!!!!

Je crois qu'on peut dire que Nestor le pingouin était un bel en.... :p :D :D :D
 
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Fruit de la rencontre fusionnelle entre Pascal Sevran et La Mère Denis, Henry Zoto, né dans le Calvados, à Mormoi Leuzguègue,était loin de s’imaginer à quel point sa vie de ouineur allait marquer l’humanité toute entière.

Abandonné dès sa naissance par son père qui préfèrera finalement se taper Tintin, Henry est élevé par sa mère, Denis. Ayant très peu de ressource, elle est obligée de faire des petits boulots comme, par exemple, désanusseuse, peigneuse de girafe, ou encore sexeuse d’éléphant. Finalement, elle accepte de faire une publicité pour les machines à laver Vedette. C’est au cours du tournage de l’une d’elles que le drame eu lieu : la voisine de Denis, Sarah Molyunpeu, se pointa en plein milieu d’une prise, entraînant Henry par le bout de l’oreille, pour interpeller Denis : “Dis-moi la vieille, je voulais juste te dire que ton abruti de rejeton passe ses journées à mater dans le vestiaire de la troupe de majorette. Un vrai pervers !”. “Ça c’est vrai, ça” s’écria la Mère Denis, pour seule réponse. “Coupez, on la garde !” s’époumona Paul Unetourtel, le réalisateur de la pub. On connait alors le destin de cette publicité, mais, ce que l’on sait moins, c’est que les véritables auteurs de ce succès, Denis et Henry, ne touchèrent jamais un seul centime des bénéfices engendrés par Vedette.

Noyée dans le désespoir, Denis mis fin à ses jours d’une manière tragique : elle encastra sa tête dans sa machine à laver Vedette (qu’elle avait reçu en cadeau), en prenant soin, au préalable, de programmer le mode “hurricane centrifugeuse”, force maximale. Henry ne s’en remit jamais.

Il décida de quitter Mormoi Leuzguègue, histoire de repartir de zéro, et non pas à zéro. C’est vers son père qu’il décida de jouer sa dernière carte. Finalement, Pascal, toujours la main sur le c½ur, décida de le prendre comme coiffeur de son émission de variétés. C’est ainsi qu’Henry fit la connaissance de célébrités comme Michel André, Pierre Vazy, Edouard Gruton, ou encore Patrick Fiori. Malheureusement, c’est en faisant le brushing d’une autre star, Sylvain Mouchion, que le destin rattrapa une nouvelle fois Henry. Il faut savoir auparavant, que Sylvain Mouchion, comme toutes les stars, avaient quelques exigences. Pour sa part, il souhaitait que son dentier trempe quelques minutes, non pas dans un verre, mais dans un grand saladier, remplit d’un mélange de viandox et d’hépatoum. Au cours du brushing, Henry aperçu dans le miroir, une autre star internationale, sa star internationale à lui : Geneviève Ancor. 25 ans qu’il attendait ce moment. Son sang ne fit qu’un tour. Une réaction en chaîne incroyable débuta. Henry fut victime d’une érection violente, ce qui eu pour effet de ne plus irriguer son cerveau. Il lâcha alors le sèche-cheveux qui finit sa course dans le saladier. L’électrocution foudroyante se produisit. Le fil du sèche-cheveux, enroulé autour de la jambe d’Henry, eu raison de la vie de notre héros. Au passage, quelques étincelles touchèrent le Damart thermolactyle de Sylvain qui se transforma instantanément en torche humaine. L’assistante, partant d’une bonne intention, jeta instinctivement le saladier sur Sylvain, ce qui eu pour effet, hélas, d’alimenter davantage le feu.

En hommage à cette tragédie, Michel André, Pierre Vazy, Edouard Gruton, Patrick Fiori et Geneviève Ancor entonnèrent, quelques semaines plus tard, sur le plateau TV de Pascal Sevran, une version bouleversante et inoubliable d’”Allumer le feu”.