Destins de Gloire...

Toute épilation aussi ...

:D :D
 
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Albert Palnord (1968-1987)

Albert Palnord, plus souvent appelé "l'accident" par ses parents, eu une enfance heureuse dans la communauté de La Raie, charmant petit village de la frontière italienne.
Son destin bascule le jour où ses parents décident de délocaliser la production de leur usine de saindoux à Montcul (que je n'ai plus à présenter).

Albert fut repéré, lors d'une de ses soirées de beuverie, par des chercheurs de chez Biactol© et embauché comme cobaye. Commencèrent alors, des années et des années de traitement...
Qu'est-il arrivé me direz-vous?
Et bien je vous répondrais qu'Albert n'est pas mort à cause des nombreux effets secondaires liés au traitements qu'on lui faisait essayer... Non sa mort fut plus tragique.
Il était en train de dépuceler sa fiancée Fanny Soulbabi quand il s'accrocha l'appareil dentaire dans la cloture électrifiée qui bordait le champ voisin. Le choc électrique, amplifié par l'appareil dentaire, lui fut fatale...

Ainsi s'achève la triste histoire d'Albert Palnord.
 
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Ernest-Emile Lantreaud,

né en 1921 à La Celle Saint-Cloud (92), Ernest-Emile grandit dans un pavillon de banlieue entre son père, un expert-comptable rigoureux, et sa mère experte-comptable rigoureuse, dont il est le fils unique. Remarqué par ses professeurs de mathématiques pour sa rigueur, il attire également l'attention de ses professeurs de gymnastiques pour sa rigueur. Plein de rigueur, il obtiendra son baccalauréat malgré une note étrangement basse en histoire-géo, dûe à une impasse sur la géographie des Balkans qui ne laisse pas d'étonner vue sa rigueur (il s'en expliquera, bien plus tard, auprès de son ami Léon Brisquier, expert-comptable : en fait son professeur avait la grippe le jour de la leçon sur ce sujet et avait donné un cours de piètre qualité).
Devenu lui-même expert-comptable, il entre à la BNP où très vite remarqué par sa rigueur, il gravira un par un les échelons qui mènent à son bureau au quatrième étage du bâtiment 22C, porte 485, bureau qu'il partage avec rigueur avec Bernadette Souret et Jean-Erwan Le Fennec. Marié à 23 ans à Josette Lefébure, experte-comptable, il aura un fils, Emile-Ernest, qui deviendra expert-comptable.

Les autres moments de sa vie sont sans intérêt.

Il meurt subitement en octobre 1977 des suites mal soignées d'une erreur de recopie dans un tableau d'amortissement des bénéfices non commerciaux bruts consolidés du deuxième trimestre.

La décision de ne pas gratifier sa mémoire d'obsèques nationales reste obscure. Néanmoins, si tout le monde était comme lui, on n'en serait pas là où on en est. :mad:
 
 
LE JEUNE LEGIONNAIRE ROMAIN SATURNIN PEUTROVITE

Il lance un pari a ses camarades:
Il leur promet d'aller mouler un bronze dans la tente de son supérieur. Une fois en place sur le trône, Saturnin commence à faire ce que tout homme est censé faire à sa place, pousser. Mais les rations de ragoût indigeste des précédents jours avaient mis à mal son système digestif, si bien que le malheur arriva. Pris de coliques abominables, le pauvre légionnaire ne pouvait plus quitter le sympathique cabinet de son supérieur. Après un bon quart d'heure passé à ch** en spray (quelle formule ignoble, mais pleine de sens !), il se décide enfin à quitter les lieux lorsqu'il s'aperçoit avec dégoût qu'il ne peut pas laisser l'oeuvre d'art (le chiotte, pas ce qu'il y a dedans) dans cet état.
Comme vous le savez, les casques des soldats romains de l'époque étaient décorés de poils rigides, un peu comme une brosse ! Tiens, la bonne idée ! Aussitôt le légionnaire Peutrovite entreprend de décrotter la cuvette avec son casque. Tant pis pour les odeurs, la brosse à chiotte est née !"

Désolée:rose: heu je n'ai pas trouvé une photo de Saturnin ..

Je tiens à remercier Patochman et tous ceux qui ont contribué au rangement dans ce thread...
 
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Réactions: anntraxh
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