dossier VAR

PDD

Membre expert
Club iGen
18 Mars 2010
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Trooz Belgique
Bonjour à tous,
En examinant le contenu de mon DD (MBPR sous ML) et en cliquant sur l'image de mon HDD j'ai vu apparaitre le dossier PRIVATE dans lequel on trouve le sous dossier VAR qui contient 10G de sous-sous dossiers marqués quasi tous par des interdictions. Merci de me dire si ce dossier peut être éliminé pour gagner 10G de place...
 
Touche pas à ce dossier!
Il contient des composants essentiels du système

Normalement ce dossier est masqué. Comment l'as-tu affiché?
 
Vas-y Supprimes ! il y à écrit Interdit mais ça veux dire fonce, supprime les et Gagnes 10Go, ( bon ensuite t'a plus d'OS.. )


FONCE :D















A prendre au second degré. Surtout ne supprime rien..
 
Salut PDD.

En épigone de mes trois prédécesseurs : Locke :coucou:, r e m y :coucou: et Ruben :coucou:), je suis voué à enfoncer les portes qu'ils ont ouvertes avec la grisante sensation des espaces libres :D

Le répertoire graphiquement invisible : var est ainsi nommé par abréviation de : variable. Ce qui indique que les éléments qu'il contient sont des fichiers à contenu sujet à variation requis par le fonctionnement du Système de l'OS (à la différence, par exemple, des éléments à contenu 'fixe', tels les fichiers structurels de la Bibliothèque-Système ou encore des répertoires /bin ou /sbin contenant les programmes binaires UNIX.

En exemple de ces fichiers à contenu variable : les logs (journaux) du Système, les db (database : base de données de caches), les folders (références d'affichage graphique), les vm (virtual machine : la sleepimage ou cliché du Bureau actif à la mise-en-sommeil d'après l'option de veille standard, ainsi que les swapfiles éventuels = extension de la RAM au disque). Tout cela fait pas mal de Go ensemble, c'est sûr...


...mais que se passerait-il en cas de suppression du répertoire var? - Un plantage sans appel de l'OS, car cet emplacement est requis par de multiples processus du Système précisément pour y archiver et/ou consulter ces données à caractère variable. Et le Système ne peut pas régénérer un répertoire var supprimé, s'il faisait défaut, non plus que son arborescence en multiples sous-dossiers spécifiques, s'il était dévasté formellement de l'intérieur.

Le répertoire var fait partie des 3 dossiers-Système à présenter une anomalie logique remarquable depuis les origines d'OSX : les 3 dossiers recelés dans le super-répertoire /private (avec tmp et etc) --> celle d'avoir leur chemin d'accès extrapolé hors du répertoire parent directement à l'espace-racine de l'OS ouvert à partir du point de montage / sous forme de liens symboliques : /⤻etc, /⤻tmp et ⤻var. Cette anomalie logique prend valeur de 'révélateur' : la nécessité pour toutes sortes de processus de pouvoir 'appeler directement' ces destinations depuis la racine.

Il me revient en mémoire l'affaire d'un billettiste de ce forum, qui avait cru bien faire en ne supprimant que le lien symbolique : ⤻var, indûment démasqué, en le prenant pour une espèce d'alias en souffrance dans l'espace-racine de l'OS --> le résultat ne s'était pas fait attendre : plantage du Mac au re-démarrage et obligation d'instruire le plaignant sur la manière, démarré sur le «Recovery HD», de re-créer dans le «Terminal» un lien symbolique : ⤻var avec les droits corrects afin de pouvoir démarrer son OS. Et il n'avait même pas supprimé l'original (le dossier var contenu dans le super-répertoire /private). Ce qui permet néanmoins de conclure à la nécessité incontournable de l'existence de cette destination pour le fonctionnement de l'OS.

Il n'est pas impossible, intrinsèquement, de 'faire le ménage' à la pince entomologique à l'intérieur de l'arborescence préservée de /private/var en s'attaquant à son contenu de fichiers. J'avoue m'en être assidûment rendu coupable :D. Oui : j'ai bidouillé ma sleepimage en la remplaçant par un fichier verrouillé vide (ce qui me fait gagner de 8 à 16 Go) tout en choisissant le mode du sommeil simple classique. Idem pour les swapfiles. J'ai sévi régulièrement, tel un Attila iconoclaste dans le dossier com.apple.IconServices, lorsque «Mavericks» était nanti d'un processus IconAgent bogué qui générait itérativement du cache-graphique sous forme d'une inflation de fichiers séparés. J'avoue : j'ai ravagé les logs, j'ai désherbé le cache, j'ai sournoisement investi le Home_Folder de root...

Pfuit! Tout cela n'est qu'une fuite en aval vaine, voire dangereuse si on ne sait pas ce qu'on fait quand on le fait. Car sans arrêt les destinations de var se ré-emplissent avec le fonctionnement du Système. La solution est en amont, quand on se pose des problèmes de place : arrêter de gonfler son Home_Folder d'utilisateur de fichiers graphiques qui auraient meilleure latitude de s'ébattre sur des supports externes ...
 
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Salut PDD.

En épigone de mes trois prédécesseurs : Locke :coucou:, r e m y :coucou: et Ruben :coucou:), je suis voué à enfoncer les portes qu'ils ont ouvertes avec la grisante sensation des espaces libres :D

Le répertoire graphiquement invisible : var est ainsi nommé par abréviation de : variable. Ce qui indique que les éléments qu'il contient sont des fichiers à contenu sujet à variation requis par le fonctionnement du Système de l'OS (à la différence, par exemple, des éléments à contenu 'fixe', tels les fichiers structurels de la Bibliothèque-Système ou encore des répertoires /bin ou /sbin contenant les programmes binaires UNIX.

En exemple de ces fichiers à contenu variable : les logs (journaux) du Système, les db (database : base de données de caches), les folders (références d'affichage graphique), les vm (virtual machine : la sleepimage ou cliché du Bureau actif à la mise-en-sommeil d'après l'option de veille standard, ainsi que les swapfiles éventuels = extension de la RAM au disque). Tout cela fait pas mal de Go ensemble, c'est sûr...


...mais que se passerait-il en cas de suppression du répertoire var? - Un plantage sans appel de l'OS, car cet emplacement est requis par de multiples processus du Système précisément pour y archiver et/ou consulter ces données à caractère variable. Et le Système ne peut pas régénérer un répertoire var supprimé, s'il faisait défaut, non plus que son arborescence en multiples sous-dossiers spécifiques, s'il était dévasté formellement de l'intérieur.

Le répertoire var fait partie des 3 dossiers-Système à présenter une anomalie logique remarquable depuis les origines d'OSX : les 3 dossiers recelés dans le super-répertoire /private (avec tmp et etc) --> celle d'avoir leur chemin d'accès extrapolé hors du répertoire parent directement à l'espace-racine de l'OS ouvert à partir du point de montage / sous forme de liens symboliques : /⤻etc, /⤻tmp et ⤻var. Cette anomalie logique prend valeur de 'révélateur' : la nécessité pour toutes sortes de processus de pouvoir 'appeler directement' ces destinations depuis la racine.

Il me revient en mémoire l'affaire d'un billettiste de ce forum, qui avait cru bien faire en ne supprimant que le lien symbolique : ⤻var, indûment démasqué, en le prenant pour une espèce d'alias en souffrance dans l'espace-racine de l'OS --> le résultat ne s'était pas fait attendre : plantage du Mac au re-démarrage et obligation d'instruire le plaignant sur la manière, démarré sur le «Recovery HD», de re-créer dans le «Terminal» un lien symbolique : ⤻var avec les droits corrects afin de pouvoir démarrer son OS. Et il n'avait même pas supprimé l'original (le dossier var contenu dans le super-répertoire /private). Ce qui permet néanmoins de conclure à la nécessité incontournable de l'existence de cette destination pour le fonctionnement de l'OS.

Il n'est pas impossible, intrinsèquement, de 'faire le ménage' à la pince entomologique à l'intérieur de l'arborescence préservée de /private/var en s'attaquant à son contenu de fichiers. J'avoue m'en être assidûment rendu coupable :D. Oui : j'ai bidouillé ma sleepimage en la remplaçant par un fichier verrouillé vide (ce qui me fait gagner de 8 à 16 Go) tout en choisissant le mode du sommeil simple classique. Idem pour les swapfiles. J'ai sévi régulièrement, tel un Attila iconoclaste dans le dossier com.apple.IconServices, lorsque «Mavericks» était nanti d'un processus IconAgent bogué qui générait itérativement du cache-graphique sous forme d'une inflation de fichiers séparés. J'avoue : j'ai ravagé les logs, j'ai désherbé le cache, j'ai sournoisement investi le Home_Folder de root...

Pfuit! Tout cela n'est qu'une fuite en aval vaine, voire dangereuse si on ne sait pas ce qu'on fait quand on le fait. Car sans arrêt les destinations de var se ré-emplissent avec le fonctionnement du Système. La solution est en amont, quand on se pose des problèmes de place : arrêter de gonfler son Home_Folder d'utilisateur de fichiers graphiques qui auraient meilleure latitude de s'ébattre sur des supports externes ...


Explication parfaite ! Je pense qu'il ne la supprimera pas :D
 
Une fois ce fil consulté, c'est le cache de Safari qu'il devrait purger après qu'icelui ait pris de l'embonpoint soumis qu'il fut au régime macomaniac. :D
 
Salut PDD.

En épigone de mes trois prédécesseurs : Locke :coucou:, r e m y :coucou: et Ruben :coucou:), je suis voué à enfoncer les portes qu'ils ont ouvertes avec la grisante sensation des espaces libres :D

Le répertoire graphiquement invisible : var est ainsi nommé par abréviation de : variable. Ce qui indique que les éléments qu'il contient sont des fichiers à contenu sujet à variation requis par le fonctionnement du Système de l'OS (à la différence, par exemple, des éléments à contenu 'fixe', tels les fichiers structurels de la Bibliothèque-Système ou encore des répertoires /bin ou /sbin contenant les programmes binaires UNIX.

En exemple de ces fichiers à contenu variable : les logs (journaux) du Système, les db (database : base de données de caches), les folders (références d'affichage graphique), les vm (virtual machine : la sleepimage ou cliché du Bureau actif à la mise-en-sommeil d'après l'option de veille standard, ainsi que les swapfiles éventuels = extension de la RAM au disque). Tout cela fait pas mal de Go ensemble, c'est sûr...


...mais que se passerait-il en cas de suppression du répertoire var? - Un plantage sans appel de l'OS, car cet emplacement est requis par de multiples processus du Système précisément pour y archiver et/ou consulter ces données à caractère variable. Et le Système ne peut pas régénérer un répertoire var supprimé, s'il faisait défaut, non plus que son arborescence en multiples sous-dossiers spécifiques, s'il était dévasté formellement de l'intérieur.

Le répertoire var fait partie des 3 dossiers-Système à présenter une anomalie logique remarquable depuis les origines d'OSX : les 3 dossiers recelés dans le super-répertoire /private (avec tmp et etc) --> celle d'avoir leur chemin d'accès extrapolé hors du répertoire parent directement à l'espace-racine de l'OS ouvert à partir du point de montage / sous forme de liens symboliques : /⤻etc, /⤻tmp et ⤻var. Cette anomalie logique prend valeur de 'révélateur' : la nécessité pour toutes sortes de processus de pouvoir 'appeler directement' ces destinations depuis la racine.

Il me revient en mémoire l'affaire d'un billettiste de ce forum, qui avait cru bien faire en ne supprimant que le lien symbolique : ⤻var, indûment démasqué, en le prenant pour une espèce d'alias en souffrance dans l'espace-racine de l'OS --> le résultat ne s'était pas fait attendre : plantage du Mac au re-démarrage et obligation d'instruire le plaignant sur la manière, démarré sur le «Recovery HD», de re-créer dans le «Terminal» un lien symbolique : ⤻var avec les droits corrects afin de pouvoir démarrer son OS. Et il n'avait même pas supprimé l'original (le dossier var contenu dans le super-répertoire /private). Ce qui permet néanmoins de conclure à la nécessité incontournable de l'existence de cette destination pour le fonctionnement de l'OS.

Il n'est pas impossible, intrinsèquement, de 'faire le ménage' à la pince entomologique à l'intérieur de l'arborescence préservée de /private/var en s'attaquant à son contenu de fichiers. J'avoue m'en être assidûment rendu coupable :D. Oui : j'ai bidouillé ma sleepimage en la remplaçant par un fichier verrouillé vide (ce qui me fait gagner de 8 à 16 Go) tout en choisissant le mode du sommeil simple classique. Idem pour les swapfiles. J'ai sévi régulièrement, tel un Attila iconoclaste dans le dossier com.apple.IconServices, lorsque «Mavericks» était nanti d'un processus IconAgent bogué qui générait itérativement du cache-graphique sous forme d'une inflation de fichiers séparés. J'avoue : j'ai ravagé les logs, j'ai désherbé le cache, j'ai sournoisement investi le Home_Folder de root...

Pfuit! Tout cela n'est qu'une fuite en aval vaine, voire dangereuse si on ne sait pas ce qu'on fait quand on le fait. Car sans arrêt les destinations de var se ré-emplissent avec le fonctionnement du Système. La solution est en amont, quand on se pose des problèmes de place : arrêter de gonfler son Home_Folder d'utilisateur de fichiers graphiques qui auraient meilleure latitude de s'ébattre sur des supports externes ...
Merci de ta réponse comme toujours celle d'un expert (que je ne suis évidemment pas), bien sur je l'ai mis à la corbeille pour faire une expérience dangereuse, mais avant je l'avais sauvé et de plus fait un clone et aussi une sauvegarde TM. Le fichier VAR dans la corbeille ne semble pas poser de problème, mais comme tu l'expliques bien au redémarrage du Mac il n'a pas été content et je l'ai relancé avec mon TM sans problème. Par contre à mon grand étonnement (comme signalé dans un autre message, bon doublon, je sais) le dossier "autre" de mon stockage était diminué de 20G avec un Mac toujours aussi vivace et sans aucun disfonctionnement.

---------- Nouveau message ajouté à 19h57 ---------- Le message précédent a été envoyé à 19h27 ----------

Touche pas à ce dossier!
Il contient des composants essentiels du système

Normalement ce dossier est masqué. Comment l'as-tu affiché?
Simplement en cliquant sur l'icône de mon HD.
 
Si /Var était visible à la racine du disque HD c'est probablement que ton système MountainLion n'est pas à jour.

Une mise à jour avait rendu ce dossier visible (ce qui en avait conduit plusieurs à le supprimer, comme le rappelle Macomaniac). La mise à jour suivante avait corrigé cette visibilité retrouvée indument
 
Je me demande si ce que PDD a mis expérimentalement à la corbeille (en ayant assuré ses arrières auparavant : bien lui en a pris! :)) n'est pas le lien symbolique : /⤻var démasqué dans l'espace-racine, au lieu du répertoire original /private/var. Car à moins d'ouvrir le répertoire /private (également invisible graphiquement), il est impossible d'avoir affaire au dossier var "pirsonnellement en pirsonne" (comme ils disent dans les polars de Camillieri) - on ne rencontre d'emblée que son "lieu-tenant".

Maintenant que r e m y m'y refait penser, il y a eu une MÀJ tartive de «Mountain Lion» (la 10.8.5 peut-être?) dans laquelle l'attribut d'invisibilité (le flag: hidden) n'était pas fixé sur le fichier mach_kernel (le noyau de l'OS qui résidait alors directement dans l'espace-racine), et son brutal dévoilement dans un lieu aussi voyant quand on ouvre une fenêtre-Finder, assorti d'un intitulé si peu flatteur pour le francophone, avait déclenché des réflexes de nettoyage gratinés :D. Je n'ai pas souvenir que ç'ait pu être le cas pour les liens symboliques à la racine. Il doit s'agir d'une commande passée au Finder d'avoir à afficher les fichiers invisibles (soit par le «Terminal», soit par «Onyx» par exemple), que PDD aurait oublié de dé-commander ensuite - non?

Si le dossier /private/var lui-même avait été mis à la corbeille, je ne suis pas sûr du tout que l'OS n'aurait pas planté avant le re-démarrage. Je me suis amusé un jour à verrouiller (flag: uchg) un des dossiers de /private/var (le dossier Folders précisément) pour voir ce qui allait se passer --> :D --> tout s'est figé aussi vite que prend le plâtre : Finder bloqué. J'en ai tiré la conclusion qu'il y a une activité incessante dans l'OS qui a besoin de la destination de ce dossier. Virer à la corbeille le lien symbolique, par contre, ça doit pouvoir passer jusqu'à l'extinction, car pas mal de processus doivent suivre le chemin absolu au répertoire (/private/var) et pas le chemin symbolique (/⤻var), lequel doit davantage compter en cours de démarrage.
 
Dans mon cas lors de l'achat de mon MBPR 15" j'ai effectué le premier démarrage à partir du mon 15" core 2 duo sous SL. C'est (je pense) la raison pour laquelle j'ai toujours l'icône de mon HDD visible et active dans le coin supérieur droit de l'écran. Si je clique dessus je vois apparaitre ma bibliothèque, le dossier "PRIVATE" et le reste (comme c'était le cas avec SL). Mais la bibliothèque n'est pas complète et je dois aussi, si besoin est, aller chercher une partie cachée comme normalement elle est avec ML. Mon ML est bien sur à jour comme toutes mes applications. Le dossier VAR que j'avais mis dans la corbeille faisait 9,6G et l'ordi à fonctionné normalement jusqu'au démarrage suivant. Comme signalé dans mon autre message pourquoi le redémarrage avec TM (pris 1h en usb3) m'a t-il fait gagner 20 G de stockage dans "AUTRE"...
 
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