Le seul moyen que j'ai trouvé est, comme indiqué ci dessus, d'utiliser Onyx.
J'utilise le procédé du
clone de préférence à
TimeMachine, mais je pense que la problématique est la même : comment rendre visible la Bibliothèque d'un compte d'utilisateur dans le
clone (ou le
backup) ?
- Certes, passer par «
Onyx» est une option praticable, mais je la trouve assez malcommode à l'usage de par le nombre d'actions impliquées : lancer «
Onyx», renseigner le mot-de-passe
admin, sélectionner l'onglet des
Paramètres, attendre le chargement des informations, choisir
Finder et cocher la case : "
Afficher les fichiers et dossiers et cachés" => opérer les manipulations voulues dans la Bibliothèque d'utilisateur du
clone /
backup => redécocher la case des
Paramètres/Finder/"Afficher les fichiers et dossiers et cachés" => quitter «
Onyx».
- Personnellement parlant, cette cascade de manipulations me saoule rien qu'à l'anticiper. D'où ma nette préférence pour la méthode fixe mentionnée par
François au message
#13 :
Je m'en suis sorti en rendant la Bibliothèque de mon Compte visible, avec le Terminal de ma session
=> il suffit, en effet, d'attacher une fois pour toute l'
attribut de visibilité (
flag: nohidden) à la Bibliothèque personnelle du compte dans l'OS, et par voie de conséquence tout
clonage ou
backup de ce dossier préservera sur le dossier de "
destination" l'attribut de visibilité appendu sur le dossier "
source". Pour cela, la commande à passer depuis la session de l'OS dans le «
Terminal» est :
(je corrige la commande du message
#13 qui mentionnait
/Library comme cible : c'est la Bibliothèque Générale de l'OS qui serait par là désignée, laquelle n'a nullement besoin qu'on la rendre visible au
Finder, puisqu'elle est affichée par défaut. La cible - pour la Bibliothèque personnelle de l'utilisateur dont la session est ouverte - est
Library tout court, pour la raison suivante : lorsque cet utilisateur lance le «
Terminal», l'invite de commande dans le
shell est du type :
où il convient de relever que l'opérateur
username est toujours
loggé par défaut dans la localisation indiquée par le
tilde ~ qui précède son nom d'utilisateur,
tilde ~ qui désigne en chemin relatif la
racine du dossier de compte de l'utilisateur qui a ouvert la session. Par suite, la désignation de
Library tout court, équivaut à
~/Library en
chemin relatif, ou encore à
/Users/username/Library en
chemin absolu : c'est l'objet
Library immédiatement présent dans l'espace de
loggement d'utilisateur qui est l'espace racine de son compte.)
La commande
chflags appelle l'utilitaire
UNIX éponyme (abrégé de
change_flags : modifier les
flags ou attributs implicites fixés comme de petits drapeaux logiques sur tel ou tel objet : fichier ou dossier) avec l'option
nohidden = non_caché (l'option inverse pour cacher un élément est donc
hidden). L'intérêt de ce genre de
flag fixé à demeure sur un objet, c'est qu'il équivaut à une injonction permanente à l'adresse du
Finder : «
Affiche graphiquement l'élément ! » => par suite, le
Finder obtempère et affiche graphiquement l'objet bénéficiant du
flag: nohidden. C'est une modification fixe, aussi bien sur l'original que sur une copie (par
clonage ou
backup) - mais toujours réversible, en cas de volonté de recacher l'élément au
Finder, par la commande inverse :
(on relèvera que, si la Bibliothèque personnelle d'un compte d'utilisateur est masquée par défaut au
Finder, c'est parce qu'une instruction à l'installation attache a priori à cet objet le...
flag: hidden => il est donc de bonne guerre de lui substituer le
flag: nohidden de manière à récupérer la visibilité graphique qui était l'apanage de la Bibliothèque personnelle de compte avant l'OS «
Lion 10.7» qui a inauguré ce masquage.)