Illustrator, panneaux publicitaires et formats de fichiers

Splendora

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17 Avril 2021
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Bonjour à toutes et tous!

Pour un client, je dois réaliser 4 affiches publicitaires sur 2 panneaux (recto et verso différents à chaque fois). Un panneau mesure 5,6m x 2,2m et le deuxième est un 4x3.

Après entretien avec l'imprimeur de mon client, celui-ci m'indique les contraintes techniques suivantes :

-fichiers au 1/10ème résolution à 300dpi (56cmx22cm et 40cmx30cm donc)
-travail au CMJN directement (je n'envoie pas un fichier RGB qui sera converti par ses soins)
-Pas de fonds perdus
-Polices vectorisées
-Pas de profil colorimétrique (il se "débrouillera avec", dixit)
-Envoi d'un fichier PDF uniquement (l'imprimeur est en télétravail et ne pourra pas gérer un fichier Ai ou autre...)

Je suis designer de base et travaille surtout en 3D ou Photoshop. Mais pour ce boulot je vais travailler sur Illustrator, qui est un logiciel qui n'a aucune logique pour moi surtout en regard de sa proximité avec Photoshop mais cela reste ma perception et mon problème. Surtout pour la vectorisation et les dégradés de formes dont j'aurai besoin. Ma deadline est extrêmement serrée et le stress monte en flèche.

Les affiches comprendront une photo chacune, d'environ 21mp à 300dpi, des éléments graphiques (cadres principalement, avec ou sans dégradés de couleurs et de formes) et bien sur des textes (avec ombres portées et contours externes).

Mon soucis, c'est que je ne comprends pas bien la philosophie d'Illustrator. Mes questions :

-Pourquoi seules les polices doivent être vectorisées au sein d'une image qui comprendra des photos et des éléments graphiques non étirables à l'infini? Comment ces deux derniers éléments seront-ils "étirés" sur de tels formats?

-Dois-je faire coïncider parfaitement mes éléments sur le plan de travail (sur les bords surtout) ou ce n'est pas grave si certains éléments sortent du cadre? Exemple : je trace un carré qui dépasse le plan de travail car ce qui m'intéresse c'est de remplir le plan de travail d'une couleur admettons. De toutes facons le PDF ne rendra que ce qui est à l'intérieur du plan de travail? J'ai bon? Question incongrue mais qui a une importance pour certains éléments.

-J'ai sélectionné le profil "Pré-presse pour l'Europe 3" et "Coated FOGRA39" c'est correct?

-Enfin, je ne comprends pas l'intérêt des calques sur Illustrator vu qu'au fond, tout semble lié sur le même truc. Quand je suis sur un calque je peux quand même sélectionner les autres. Et comme je crois qu'il faut envoyer une image avec un calque unique à l'imprimeur (ou un PDF du coup ça supprime le problème), vaut-il mieux que je travaille directement sur un calque (qui sera composé de groupes en plus) ou peu importe vu que l'imprimeur ne recevra qu'un PDF?


Ouf! Voilà, je vous prie de m'excuser pour ce pavé mais j'ai essayé d'être le plus exhaustif possible vu la pression que j'ai. Cela fait plusieurs jours que je cherche des réponses concrètes et j'ai pu lire un paquet de sujets où certains des forumeurs d'ici avaient des connaissances pointues que je n'avais pas sans toutefois trouver de vraies réponses à mes questions. Un grand merci à vous!
 
Bonjour, il m'arrive souvent de travailler sur de grands panneaux, les fichiers finaux sont toujours des pdf.
Pour ça, je travaille avec InDesign. Tout est préparé en amont dans illustrator et photoshop et importé dans ind.
Les textes sont fait dans ind. J'utilise les calques d'ind. Je joins une image...
Dedans il y a de tout, du vecto, du matriciel et du texte.

Capture d’écran 2021-04-17 à 12.14.19.jpg
 
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Réactions: aCLR et bdlapierre
Bonjour, il m'arrive souvent de travailler sur de grands panneaux, les fichiers finaux sont toujours des pdf.
Pour ça, je travaille avec InDesign. Tout est préparé en amont dans illustrator et photoshop et importé dans ind.
Les textes sont fait dans ind. J'utilise les calques d'ind. Je joins une image...
Dedans il y a de tout, du vecto, du matriciel et du texte.

Voir la pièce jointe 223351
Bonjour Toum'aï! Merci de ta réponse! Je vois ID revenir souvent sur les forums. Je l'ai vu que je possède la suite Adobe mais je ne me suis jamais penché dessus. Et en 48 heures ça va être difficile de me plonger dans un nouveau logiciel...
 
Bonjour à toutes et tous!

Pour un client, je dois réaliser 4 affiches publicitaires sur 2 panneaux (recto et verso différents à chaque fois). Un panneau mesure 5,6m x 2,2m et le deuxième est un 4x3.

Après entretien avec l'imprimeur de mon client, celui-ci m'indique les contraintes techniques suivantes :

-fichiers au 1/10ème résolution à 300dpi (56cmx22cm et 40cmx30cm donc)
-travail au CMJN directement (je n'envoie pas un fichier RGB qui sera converti par ses soins)
-Pas de fonds perdus
-Polices vectorisées
-Pas de profil colorimétrique (il se "débrouillera avec", dixit)
-Envoi d'un fichier PDF uniquement (l'imprimeur est en télétravail et ne pourra pas gérer un fichier Ai ou autre...)

Je suis designer de base et travaille surtout en 3D ou Photoshop. Mais pour ce boulot je vais travailler sur Illustrator, qui est un logiciel qui n'a aucune logique pour moi surtout en regard de sa proximité avec Photoshop mais cela reste ma perception et mon problème. Surtout pour la vectorisation et les dégradés de formes dont j'aurai besoin. Ma deadline est extrêmement serrée et le stress monte en flèche.

Les affiches comprendront une photo chacune, d'environ 21mp à 300dpi, des éléments graphiques (cadres principalement, avec ou sans dégradés de couleurs et de formes) et bien sur des textes (avec ombres portées et contours externes).

Mon soucis, c'est que je ne comprends pas bien la philosophie d'Illustrator. Mes questions :

-Pourquoi seules les polices doivent être vectorisées au sein d'une image qui comprendra des photos et des éléments graphiques non étirables à l'infini? Comment ces deux derniers éléments seront-ils "étirés" sur de tels formats?

-Dois-je faire coïncider parfaitement mes éléments sur le plan de travail (sur les bords surtout) ou ce n'est pas grave si certains éléments sortent du cadre? Exemple : je trace un carré qui dépasse le plan de travail car ce qui m'intéresse c'est de remplir le plan de travail d'une couleur admettons. De toutes facons le PDF ne rendra que ce qui est à l'intérieur du plan de travail? J'ai bon? Question incongrue mais qui a une importance pour certains éléments.

-J'ai sélectionné le profil "Pré-presse pour l'Europe 3" et "Coated FOGRA39" c'est correct?

-Enfin, je ne comprends pas l'intérêt des calques sur Illustrator vu qu'au fond, tout semble lié sur le même truc. Quand je suis sur un calque je peux quand même sélectionner les autres. Et comme je crois qu'il faut envoyer une image avec un calque unique à l'imprimeur (ou un PDF du coup ça supprime le problème), vaut-il mieux que je travaille directement sur un calque (qui sera composé de groupes en plus) ou peu importe vu que l'imprimeur ne recevra qu'un PDF?


Ouf! Voilà, je vous prie de m'excuser pour ce pavé mais j'ai essayé d'être le plus exhaustif possible vu la pression que j'ai. Cela fait plusieurs jours que je cherche des réponses concrètes et j'ai pu lire un paquet de sujets où certains des forumeurs d'ici avaient des connaissances pointues que je n'avais pas sans toutefois trouver de vraies réponses à mes questions. Un grand merci à vous!
Bonjour

- A ta question sur le profil colorimétrique le client à dit qu'il s'en fichait.

- A la question du pourquoi de la vectorisation des polices, un fichier avec un texte vectorisé ne réclamera pas l'installation des polices sur le système du client. A ta question sur le pourquoi du texte vectoriel étirable se pose, sans agressivité, une interrogation sur ta formation de base, laquelle a tu suivi s'il te plaît ? . Il s'agit de la différence de base entre une image bitmap (netteté dépendante de la résolution au format) et une image vectorielle, définie par des vecteurs qui peut s'agrandir à souhait, sa netteté sera définie par le périphérique de sortie (imprimante, flasheuse).

- Les calques d'illustrator sont des outils qui te permettent par exemple de sélectionner des éléments d'un calque d'un seul coup en verrouillant les autres calques et leur éléments qui les chevaucheraient

 
Ça c'est sûr mais quand on est professionnel on apprend les trois applications en même temps et Acrobat en plus.
 
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Réactions: bdlapierre
Les profils sont ceux que je choisis dans Photoshop d'une part et Illustrator d'autre part tout est synchronisé. Puis à l'export d'ind, je choisi "inclure les profils de source balisés".
Avec ill, je travaille en CMJN, avec Photoshop, le profil RVB est Adobe 1998 mais je passe mes images en CMJN une fois le travail fini et je mets le profil FOGRA27.
 
Bonjour

- A ta question sur le profil colorimétrique le client à dit qu'il s'en fichait.

- A la question du pourquoi de la vectorisation des polices, un fichier avec un texte vectorisé ne réclamera pas l'installation des polices sur le système du client. A ta question sur le pourquoi du texte vectoriel étirable se pose, sans agressivité, une interrogation sur ta formation de base, laquelle a tu suivi s'il te plaît ? . Il s'agit de la différence de base entre une image bitmap (netteté dépendante de la résolution au format) et une image vectorielle, définie par des vecteurs qui peut s'agrandir à souhait, sa netteté sera définie par le périphérique de sortie (imprimante, flasheuse).

- Les calques d'illustrator sont des outils qui te permettent par exemple de sélectionner des éléments d'un calque d'un seul coup en verrouillant les autres calques et leur éléments qui les chevaucheraient

Bonjour bdlapierre, je suis designer, terme un peu générique aujourd'hui. Je dessine, conçois et fais produire des objets principalement, même si mon territoire de jeu va au-delà de ça. Je ne suis pas graphiste de formation si cela est ta question. Et je ne prétends pas l'être même si j'ai en tête à moyen terme de me former plus en avant dedans pour développer mes compétences et élargir mon offre. Je prends note de tes réponses et t'en remercie.

En ce qui concerne les polices vectorielles je connais la nuance entre bitmap et vecto, et la réponse que j'attendais était celle que tu as donnée en premier : un fichier avec un texte vectorisé ne réclamera pas l'installation des polices sur le système du client. Là je comprends l'intérêt vis-à-vis de la tâche qui m'est assignée. J'avais bien saisi l'intérêt technique mais j'ai parfois du mal à ne pas intellectualiser certains points de pinaillage qui paraissent logiques aux yeux des autres! Merci beaucoup de ta réponse ;)
 
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Réactions: bdlapierre
Bonjour à toutes et tous!

Pour un client, je dois réaliser 4 affiches publicitaires sur 2 panneaux...
Rectification, au vu de tes questions : tu dois embaucher un professionnel de l'affichage et lui donner un brief avec tes éléments à incorporer et il fera le montage. Car oui, 48 h pour appréhender Illustrator ou mieux, InDesign dans ce cas, c'est trop peu.

Ensuite, tu devrais te former sérieusement sur la suite Adobe. Tes questions sont légitimes, mais il faut comprendre pas mal de choses. Comprendre l'intégration des polices, des couleurs et autres subtilités de la publication assistée par ordinateur.

Et pour répondre plus concrètement à tes interrogations :

-Pourquoi seules les polices doivent être vectorisées au sein d'une image qui comprendra des photos et des éléments graphiques non étirables à l'infini? Comment ces deux derniers éléments seront-ils "étirés" sur de tels formats?
Comme dit précédemment, cela permet de ne pas avoir à envoyer les polices à l'imprimeur. Mais, un bon imprimeur devrait pouvoir travailler à partir du PDF sans avoir besoin d'incorporer les polices. Les affichistes sont souvent de mauvais imprimeurs malheureusement.
-Dois-je faire coïncider parfaitement mes éléments sur le plan de travail (sur les bords surtout) ou ce n'est pas grave si certains éléments sortent du cadre? Exemple : je trace un carré qui dépasse le plan de travail car ce qui m'intéresse c'est de remplir le plan de travail d'une couleur admettons. De toutes facons le PDF ne rendra que ce qui est à l'intérieur du plan de travail? J'ai bon? Question incongrue mais qui a une importance pour certains éléments.
Pas de soucis pour sortir du cadre, ton PDF sera envoyé au format que tu as définit dans Illustrator et le reste sera masqué comme tu l'as compris.
-J'ai sélectionné le profil "Pré-presse pour l'Europe 3" et "Coated FOGRA39" c'est correct?
Oui, ça peut, mais l'imprimeur s'en fiche apparemment. Donc, attention, tes couleurs ne seront jamais réellement bonnes chez cet imprimeur. Mais pour de l'affichage, ça a en effet moins d'importance que pour un packaging que tu dois imprimer encore et encore.

-Enfin, je ne comprends pas l'intérêt des calques sur Illustrator vu qu'au fond, tout semble lié sur le même truc. Quand je suis sur un calque je peux quand même sélectionner les autres. Et comme je crois qu'il faut envoyer une image avec un calque unique à l'imprimeur (ou un PDF du coup ça supprime le problème), vaut-il mieux que je travaille directement sur un calque (qui sera composé de groupes en plus) ou peu importe vu que l'imprimeur ne recevra qu'un PDF?
Les calques ne sont là que pour t'aider à placer tes objets. C'est la base de la suite Adobe et ce qui a permis une meilleure productivité comparée aux autres logiciels de dessin et de mise en page des années 80/90. Le PDF va tout aplatir, ne t'en soucie pas. Mais apprendre leur intérêt est fort instructif et utile pour bien travailler.
 
Bonjour à toutes et tous!

Pour un client, je dois réaliser 4 affiches publicitaires sur 2 panneaux (recto et verso différents à chaque fois). Un panneau mesure 5,6m x 2,2m et le deuxième est un 4x3.

Après entretien avec l'imprimeur de mon client, celui-ci m'indique les contraintes techniques suivantes :

-fichiers au 1/10ème résolution à 300dpi (56cmx22cm et 40cmx30cm donc)
-travail au CMJN directement (je n'envoie pas un fichier RGB qui sera converti par ses soins)
-Pas de fonds perdus
-Polices vectorisées
-Pas de profil colorimétrique (il se "débrouillera avec", dixit)
-Envoi d'un fichier PDF uniquement (l'imprimeur est en télétravail et ne pourra pas gérer un fichier Ai ou autre...)

Je suis designer de base et travaille surtout en 3D ou Photoshop. Mais pour ce boulot je vais travailler sur Illustrator, qui est un logiciel qui n'a aucune logique pour moi surtout en regard de sa proximité avec Photoshop mais cela reste ma perception et mon problème. Surtout pour la vectorisation et les dégradés de formes dont j'aurai besoin. Ma deadline est extrêmement serrée et le stress monte en flèche.

Les affiches comprendront une photo chacune, d'environ 21mp à 300dpi, des éléments graphiques (cadres principalement, avec ou sans dégradés de couleurs et de formes) et bien sur des textes (avec ombres portées et contours externes).

Mon soucis, c'est que je ne comprends pas bien la philosophie d'Illustrator. Mes questions :

-Pourquoi seules les polices doivent être vectorisées au sein d'une image qui comprendra des photos et des éléments graphiques non étirables à l'infini? Comment ces deux derniers éléments seront-ils "étirés" sur de tels formats?

-Dois-je faire coïncider parfaitement mes éléments sur le plan de travail (sur les bords surtout) ou ce n'est pas grave si certains éléments sortent du cadre? Exemple : je trace un carré qui dépasse le plan de travail car ce qui m'intéresse c'est de remplir le plan de travail d'une couleur admettons. De toutes facons le PDF ne rendra que ce qui est à l'intérieur du plan de travail? J'ai bon? Question incongrue mais qui a une importance pour certains éléments.

-J'ai sélectionné le profil "Pré-presse pour l'Europe 3" et "Coated FOGRA39" c'est correct?

-Enfin, je ne comprends pas l'intérêt des calques sur Illustrator vu qu'au fond, tout semble lié sur le même truc. Quand je suis sur un calque je peux quand même sélectionner les autres. Et comme je crois qu'il faut envoyer une image avec un calque unique à l'imprimeur (ou un PDF du coup ça supprime le problème), vaut-il mieux que je travaille directement sur un calque (qui sera composé de groupes en plus) ou peu importe vu que l'imprimeur ne recevra qu'un PDF?


Ouf! Voilà, je vous prie de m'excuser pour ce pavé mais j'ai essayé d'être le plus exhaustif possible vu la pression que j'ai. Cela fait plusieurs jours que je cherche des réponses concrètes et j'ai pu lire un paquet de sujets où certains des forumeurs d'ici avaient des connaissances pointues que je n'avais pas sans toutefois trouver de vraies réponses à mes questions. Un grand merci à vous!
Les elements débordant du plan de travail d'illustrator ne seront pas pris en compte à l'export pdf.

La philosophie d'illustrator est vectorielle justement. Ce n'est pas forcément évident de nos jours puisqu'au fil des versions l'import des images bitmap à été rajouté à illustrator et l'usage de polices vectorielles dans photoshop.
La règle voudrait qu'on traite des objets vectoriels, logotypes, etc, dans illustrator, des images dans photoshop, et faire le montage dans indesign.

Ceci dit, quitte à faire hurler les puristes, il m'est arrivé de travailler dans le logiciel ou j'étais le plus à l'aise, illustrator pour une mise en page simple au lieu d'ouvrir indesign.
Si tu est plus à l'aise avec photoshop et que tu as des images à traiter, tu pourrais peut-être importer tes elements illustrator dans ce logiciel.

 
Rectification, au vu de tes questions : tu dois embaucher un professionnel de l'affichage et lui donner un brief avec tes éléments à incorporer et il fera le montage. Car oui, 48 h pour appréhender Illustrator ou mieux, InDesign dans ce cas, c'est trop peu.

Ensuite, tu devrais te former sérieusement sur la suite Adobe. Tes questions sont légitimes, mais il faut comprendre pas mal de choses. Comprendre l'intégration des polices, des couleurs et autres subtilités de la publication assistée par ordinateur.

Et pour répondre plus concrètement à tes interrogations :


Comme dit précédemment, cela permet de ne pas avoir à envoyer les polices à l'imprimeur. Mais, un bon imprimeur devrait pouvoir travailler à partir du PDF sans avoir besoin d'incorporer les polices. Les affichistes sont souvent de mauvais imprimeurs malheureusement.

Pas de soucis pour sortir du cadre, ton PDF sera envoyé au format que tu as définit dans Illustrator et le reste sera masqué comme tu l'as compris.

Oui, ça peut, mais l'imprimeur s'en fiche apparemment. Donc, attention, tes couleurs ne seront jamais réellement bonnes chez cet imprimeur. Mais pour de l'affichage, ça a en effet moins d'importance que pour un packaging que tu dois imprimer encore et encore.


Les calques ne sont là que pour t'aider à placer tes objets. C'est la base de la suite Adobe et ce qui a permis une meilleure productivité comparée aux autres logiciels de dessin et de mise en page des années 80/90. Le PDF va tout aplatir, ne t'en soucie pas. Mais apprendre leur intérêt est fort instructif et utile pour bien travailler.
Bonjour Gwen! Les maquettes ont été faites sur Photoshop, pour ça aucun problème je maîtrise. Cela me permet de faire des prévisualisation rapides pour ensuite tout refaire sur Illustrator. Du moins c'était l'idée, peut-être pas si bonne au départ :D

Mais vous avez tous répondu à mes interrogations avec les mots et les informations dont j'avais besoin. Donc un grand merci à tous! J'ai du coup intégré pas mal de détails et j'ai refais un test dans un nouvel état d'esprit avec vos précieux conseils, j'ai testé sur une affiche 56x22 en pdf et le résultat semble vraiment à la hauteur. Je vais juste devoir faire l'impasse sur de subtils dégradés couleurs + formes bien trop complexes. Même en agrandissement maximal tout semble au poil!
 
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Réactions: bdlapierre
Ton imprimeur donne des consignes du siècle dernier… (Ça ne le disqualifie pas nécessairement mais ce n'est pas très encourageant.)

La vectorisation des polices impliquait de convertir les polces en contours (plus de lettres éditables, définies à partir d'un fichier de police, mais juste un tracé vectoriel). Ça évitait les problèmes lorsqu'on envoyait un fichier en format natif et que l'imprimeur n'avait pas le fichier de police correspondant. Dans la mesure où les polices sont intégrées dans ton PDF, le problème ne se pose plus.

Pour les photos, tu respectes la résolution demandée au format réduit (donc résolution finale de 30 dpi).

Pour les fonds perdus, s'il ne veut vraiment pas de fond perdu, il devrait t'indiquer une distance de sécurité où il n'y aura rien. Autrement, mieux vaut faire dépasser les éléments et définir la trimbox aux dimensions exactes de ton document (avec mise à l'échelle bien sûr).

Pour le profil, le Fogra 39 est sans doute bon. Si tu imprimes (en Europe) en offset sur papier couché, ça correspond aux réglages moyens. Néanmoins, si l'imprimeur utilise ensuite un autre profil CMJN ça ira moins bien. Encore une fois, il te sort des préconisations prudentes mais peu pertinentes…

Les calques sont juste une manière de se faciliter le travail en cours de création.

En gros, tu devrais t'en sortir comme tu es parti. Néanmoins, comme le dit Toum'aï, si tu as la possibilité de préparer tes éléments dans les logiciels adaptés avant de les réunir dans InDesign, c'est encore mieux.

(P.S. J'arrive après la bataille avec une réponse entamée avant de dîner… :rolleyes: )
 
Rectification, au vu de tes questions : tu dois embaucher un professionnel de l'affichage et lui donner un brief avec tes éléments à incorporer et il fera le montage. Car oui, 48 h pour appréhender Illustrator ou mieux, InDesign dans ce cas, c'est trop peu.
+1.
 
-Polices vectorisées
Pour préciser ce qu'ont dit mes camarades (que je salue au passage), dans un PDF bien fait les polices sont incorporées et il n'y a donc pas besoin de les joindre et pas non plus besoin de les vectoriser : à l'ouverture du PDF, le logiciel (lecteur PDF ou RIP) sait retrouver dans le PDF les polices dont il a besoin pour afficher et imprimer correctement les textes contenus dans le PDF.

Sauf que, entre :
  • les imprimeurs qui sont restés au siècle dernier et qui n'ont pas compris que les PDF (qui incorporent les polices) ne sont pas des EPS (qui n'incorporent pas les polices, et là c'est le bordel si les textes ne sont pas vectorisés) alors ils continuent à appliquer aux PDF les consignes des EPS sans rien y comprendre,
  • les imprimeurs incompétents qui ne savent pas traiter correctement les PDF,
  • les graphistes incompétents et les bricoleurs (qui croient savoir faire de la PAO parcequ'ils ont une suite Adobe sur leur PC) et qui ne savent pas faire des PDF correctement,
  • les mêmes graphistes et bricoleurs qui ne savent pas gérer correctement les fontes et qui "travaillent" avec des fontes pas adaptées ou qui ne sont pas incorporables…
… pour au moins ces 4 raisons (et certainement d'autres) les problèmes potentiels et réels de polices dans les PDF flashés par les imprimeurs restent nombreux, alors le plus simple et le plus sûr est de tout vectoriser, malgré tous les inconvénients de la vectorisation.

(en fait, personne ne voit vraiment les déformations des lettres causées par la vectorisation, alors que tout le monde voit bien la zoulie police machin-truc gratuite de chez Dafont (ou autre daube du même acabit) qui a été remplacée par du Courier)

Bref, ton imprimeur est soit un branque qui ne sait pas traiter des PDF, soit un imprimeur échaudé qui ne te fait pas confiance et qui choisit la sécurité … ou alors il a recopié bêtement les préconisations des autres !


-travail au CMJN directement
-Pas de profil colorimétrique (il se "débrouillera avec", dixit)

Là, on touche le fond de l'incompétence !!! pour faire simple, on ne peut pas travailler en CMJN sans profil colorimétrique, puisque c'est justement le profil colorimétrique qui fait la conversion de ton image RVB en CMJN, et donc sans un profil colorimétrique défini il n'y a pas de conversion possible, donc pas de CMJN !

Bref, avec des images en CMJN, il a OBLIGATOIREMENT un profil, donc si il demande des images sans profil c'est qu'il n'a vraiment et absolument RIEN compris à la base de la colorimétrie dans l'imprimerie.


****************


Les elements débordant du plan de travail d'illustrator ne seront pas pris en compte à l'export pdf.

L'absence d'une gestion correcte des fonds/bords perdus par Illustrator est une des raisons qui font qu'il est un très mauvais logiciel de mise en page… (alors que c'est si simple avec InDesign !!!)


Ceci dit, quitte à faire hurler les puristes, il m'est arrivé de travailler dans le logiciel ou j'étais le plus à l'aise, illustrator pour une mise en page simple au lieu d'ouvrir indesign.

J'ai souvent perdu mon temps à flasher des mises en page, pourtant simples, merdées par des "graphistes" qui n'avaient pas vu la nécessité d'utiliser InDesign ou XPress et qui se croyaient capables de faire de la mise en page avec Illustrator…

… et puis moi aussi j'ai essayé : j'en ai tant entendu (et lu) qui disaient que pour une mise en page simple (genre un flyer ou une carte de visite, voire une affiche, bref un truc mono-page), il est plus facile d'utiliser Illustrator que InDesign ou XPress, que j'ai voulu essayer, plusieurs fois, à l'époque où j'étais imprimeur… et après quelques dizaines de minutes à perdre mon temps avec Illustrator j'ai toujours fini par TOUT refaire dans InDesign ou XPress…

De plus (et contrairement à InDesign et XPress) Illustrator ne sait pas gérer correctement les surimpressions/défonces : quand un objet d'une couleur recouvre un autre objet d'une autre couleur, Illustrator défonce systématiquement l'objet du dessous, même pour du noir, alors que le noir devrait surimprimer… et en plus Illustrator défonce sans débord, alors que InDesign ou XPress savent faire les grossis-maigris nécessaires. En conséquence, un texte en noir sur un fond de couleur défonce toujours le fond, donc soit il faut gérer manuellement la surimpression du noir (ce que les metteurs en page avec Illustrator ne savent jamais faire), soit il faut avoir un RIP qui le fait automatiquement… soit l'imprimeur s'arrache les cheveux et maudit le crétin de graphistaillon incompétent qui a merdé son fichier dans Illustrator sans savoir s'en servir.

(sans parler du temps perdu au flashage, car les fichiers Illustrator sont une plaie à flasher, alors que InDesign et XPress sont prévus pour le flashage… ceci dit, avec les PDF ce problème a disparu)


Si tu es plus à l'aise avec photoshop et que tu as des images à traiter, tu pourrais peut-être importer tes elements illustrator dans ce logiciel.

Ça, c'est la connerie ultime à ne surtout pas faire : même si Photoshop est capable de conserver certains éléments en vectoriel dans ses fichiers PSD et PDF, il a d'énormes lacunes pour le Print (notamment encore les défonces/surimpressions, grossis/maigris)… et puis c'est tellement tentant de finir par enregistrer le fichier en .JPEG pour qu'il soit moins lourd !!!
Et même si il arrive en PDF-Photoshop chez l'imprimeur, là aussi il a de gros risques de finir pixellisé en JPEG pour le flashage… et avec une impression en trame 15 lpi ça risque d'être très moche (même à 10 mètres).
 
Dernière édition:
Merci Claude72! J'avais lu pas mal de tes posts sur plusieurs sujets, c'est ce qui m'a décidé à m'inscrire ici d'ailleurs et tes réponses sont toujours aussi éclairées. Après dans tout ça se cache une autre réalité, c'est que certains projets font intervenir un paquet d'intermédiaires plus ou moins importants et qu'il y a des choses incontrôlables. Par exemple en architecture quand le client veut absolument tel maçon qui est un copain de collège alors que c'est un branquignole. Et là dans ce cas-ci le client travaille depuis longtemps avec cet imprimeur qui depuis le départ est assez approximatif dans ses demandes. Le responsable que j'ai au téléphone est très sympathique et n'a aucun mal à discuter sur plein de points mais au fond, du moment qu'on lui envoie un PDF, le reste il le "gère". Je précise bien que c'est lui qui formule à chaque fois le fait qu'il n'a, vis-à-vis de ses équipement, aucune exigence particulière. Cela plus mon inexpérience dans Illustrator (j’approfondirai mes connaissances dessus et me formerai sur InDesign par la suite) m'ont amené à poser ces questions.

Maintenant il n'en reste pas moins que c'est à moi de faire le boulot et heureusement grâce à vous j'aurai terminé ce week-end!
 
Et même si il arrive en PDF-Photoshop chez l'imprimeur, là aussi il a de gros risques de finir pixellisé en JPEG pour le flashage… et avec une impression en trame 15 lpi ça risque d'être très moche (même à 10 mètres).
quand je reçois des psd a imprimer, j’aplatis toujours tout car justement, ça évite les erreurs. C’est moche, mais le client est souvent ravis. Triste constat.

sinon, l’imprimeur en question ici, c’est clairement un baranquignol. Mais il faut faire avec apparement. J’ai déjà eu le cas, surtout en affichage. C‘est des personnes qui achètent des machines très cher et qui poussent sur un bouton. Rien d’autre.
 
:coucou: Claude !
J'escomptais bien que tu détaillerais les divers écueils, trop prévisibles, annoncés par les exigences de cet imprimeur… :D

Avec ill, je travaille en CMJN, avec Photoshop, le profil RVB est Adobe 1998 mais je passe mes images en CMJN une fois le travail fini et je mets le profil FOGRA27.
C'est un peu vieillot… ;)

Voir :
https://forum.macbidouille.com/index.php?showtopic=339596 (pour le passage de Fogra 27 à 39)
Et :
https://www.normaprint.fr/blog/deux-nouveaux-profils-icc-standard-disponibles (remplacement du Fogra 39 par Fogra 51 ou 52).
 
:coucou: gwen et baron



Merci Claude72! J'avais lu pas mal de tes posts sur plusieurs sujets, c'est ce qui m'a décidé à m'inscrire ici d'ailleurs et tes réponses sont toujours aussi éclairées.
Merci :merci:
Je dois quand-même préciser que j'ai quitté ce métier depuis maintenant presque 10 ans et que je ne suis pas au courant des dernières évolutions…
Ceci dit, apparemment il n'y a pas grand-chose qui a changé en 10 ans !


Après dans tout ça se cache une autre réalité, c'est que certains projets font intervenir un paquet d'intermédiaires plus ou moins importants et qu'il y a des choses incontrôlables. Par exemple en architecture quand le client veut absolument tel maçon qui est un copain de collège alors que c'est un branquignole. Et là dans ce cas-ci le client travaille depuis longtemps avec cet imprimeur qui depuis le départ est assez approximatif dans ses demandes.
Depuis le passage aux CTP et PDF, les imprimeurs (qui avant ne travaillaient qu'avec des films fournis) ont eu à gérer des contraintes techniques de PAO, logiciels, versions, PDF, transparences, flashage, etc. qui les dépassent complètement… donc il font un peu ce qu'ils peuvent, demandent les mêmes choses que les concurrents (en pensant que si ça marche chez le voisin ça devrait marcher chez eux aussi !), ils sont restés coincés au CMJN parceque l'imprimerie a toujours fonctionné en CMJN, et "sans profil" parceque peu comprennent ce que fait un profil colorimétrique alors ils pensent qu'il vaut mieux s'en passer.
(alors que le principe du flux RVB + profil adapté a été défini il y a déjà plus de 20 ans).

Pour leur défense, il ne faut pas oublier que le procédé offset par exemple est apparu au début du siècle dernier et qu'en plus de 110 ans il n'a eu qu'une seule évolution majeure (2 si on compte le procédé "waterless" qui (à ma connaissance) n'est pas très utilisé en imprimerie de labeur) et les offsettistes d'aujourd'hui ont été formés par les vieux du siècle dernier, qui eux-même avaient été formés par les vieux d'après guerre qui travaillaient selon des principes datant du début du siècle… et le CMJN est encore plus ancien… alors quand déboulent la-dedans des systèmes informatisés qui évoluent en permanence et changent parfois radicalement d'une année sur l'autre, avec des méthodes de travail à l'opposé de leurs bases techniques, ces gens qui sont habitués à travailler selon des principes vieux de plus de 100 ne peuvent pas suivre, ne veulent pas suivre, ni même essayer !!!



Le responsable que j'ai au téléphone est très sympathique et n'a aucun mal à discuter sur plein de points mais au fond, du moment qu'on lui envoie un PDF, le reste il le "gère". Je précise bien que c'est lui qui formule à chaque fois le fait qu'il n'a, vis-à-vis de ses équipement, aucune exigence particulière.
Ça c'est la bonne vieille diplomatie des imprimeurs : "Vous envoyez les fichiers, on se débrouillera avec"…

Parceque quand l'imprimeur commence à avoir des exigences particulières, même légitimes :
  • soit le client n'y comprend rien et donc il n'applique pas ce qu'on lui demande (ou alors il faut passer beaucoup de temps pour tout lui expliquer en long en large et en travers et le rôle d'un imprimeur n'est pas d'assurer la formation en PAO de ses clients !)
  • soit il ne veut pas comprendre une demande particulière parceque ça fait 40 ans qu'il fait ce métier et qu'il a toujours fait autrement.
Mais par contre il y a une chose qu'il comprend toujours très bien, c'est que les autres imprimeurs n'ont pas ces exigences particulières, qu'avec eux c'est plus simple, qu'il suffit de leur donner un PDF et ça sort imprimé… donc il va voir un autre imprimeur, un de ceux qui disent "je gère".

Là, ce que demande ton imprimeur est le standard en matière d'impression 4x3 depuis des années, revu version PDF : fichier PDF, au 1/10e, à 300 dpi, CMJN "sans profil", fontes vectorisés. Et si tu vas en voir 15 autres différents ils te demanderont exactement la même chose, avec, si tu pousses les questions un peu plus loin, la même réponse évasive que tu résumes très bien : du moment qu'on lui envoie un PDF, le reste il le "gère".


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quand je reçois des psd a imprimer, j’aplatis toujours tout car justement, ça évite les erreurs. C’est moche, mais le client est souvent ravis. Triste constat.

J'avais fait le même constat… et c'est simplement parceque le niveau de "compétences" du client qui a bricolé son truc dans Photoshop ne lui permet pas de voir les défauts qui font qu'un vrai pro trouve ça "moche"…

En fait le client ne voit qu'une chose : c'est lui qui l'a fait, l'impression ressemble à ce qu'il avait sur son écran, donc c'est bien et ça lui suffit, car il a réussi à faire son truc tout seul, et il en est fier !
(n'oublie pas que l'humain moyen se contente très bien de sa propre médiocrité.)

Et puis avec une trame 175 lpi sur un papier couché, une mise en page pixellisée passe très bien ! même certains "pros" s'en contentent, comme cet imprimeur online français qui il y a quelques années demandait de préférence des fichiers JPEG parceque c'est (et je le cite) "Le plus simple et le plus sûr" et qui aujourd'hui demande "des fichiers aux formats JPEG (exporté en résolution optimale), PDF (en aplatissant toutes vos images et en vectorisant toutes vos polices) ou TIFF (format JPEG HD compressé).


C‘est des personnes qui achètent des machines très cher et qui poussent sur un bouton.

Et surtout ils achètent un flux PDF moderne, avec lequel il leur suffit de jeter le PDF du client tel-quel, sans même l'ouvrir, dans un hot-folder (qui a été configuré par l'installateur du flux selon un process standard), le flux sort une épreuve basse-définition qu'ils envoient au client par courriel… et si le client dis "OK", alors le flux sort les plaques, ils les impriment et c'est terminé !



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C'est un peu vieillot… ;)

Tout à fait d'accord, et en plus le Fogra27 livré par Adobe est une daube… surtout à cause de son noir à 100% maxi : quand on connaît un peu l'imprimerie, on ne comprends même pas comment Adobe a pu faire une telle connerie !!!???
 
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Bon tout est fini mais j'ai encore une question subsidiaire. Et encore une question de parfait amateur j'en conviens. J'ai enregistré une première fois mes fichiers finaux en .pdf donc. Il y avait juste un petit soucis avec les noirs et les rouges. Je suis parti sur du noir 60/40/40/100 et j'ai retouché les rouges trop oranges à mon goût avec des valeurs de 0/100/100/8. Le résultat me semble à présent parfait et correspondant au cahier des charges du client qui est plus que satisfait du résultat (je vois l'imprimeur lundi).

Sauf qu'en retouchant uniquement les valeurs de ces deux couleurs et en enregistrant le fichier exactement de la même manière, je passe d'un .pdf de 8mo à 45mo. Je n'ai vraiment fait que déplacer les curseurs pour ces deux couleurs et rien de plus. Qu'ai-je raté? Grosso modo qu'est-ce qu'une taille acceptable pour ce genre de projets? Je reconnais une nouvelle fois mon ignorance, je n'ai pas la notion de la chose. C'est basiquement une photo de 21mpx, un rectangle dégradé noir/gris, un logo et 53 lettres dont 19 avec ombre portée. Encore merci à tous de prendre de votre temps!

EDIT : je n'avais pas vu ton dernier message Claude. C'est toujours intéressant de voir quelqu'un de pointu et sûrement passionné dans son domaine. En plus de tes éclairages ça me donne une envie folle une fois ce travail effectué (qui sort de mon boulot de base ok) d'approfondir le sujet. Et ça c'est vraiment, vraiment précieux. Alors pour la énième fois, mes remerciements les plus sincères :)
 
Re bonjour, je fais suite à mon post d'hier, j'ai trouvé d'où venait le problème. J'enregistrais à chaque fois par-dessus les mêmes fichiers. Tout me semble bon désormais. J'ai mes fichiers avec repères pour impression, les blancs sont bien blancs, les noirs sont bien noirs, les rouges sont relativement percutants même si je ne trouve pas de valeurs vraiment rouge vif comme en RGB. Les pdf font 8mo en qualité optimale Pré presse Europe 3, FOGRA39. Ça me parait correct.