¡ Hola !
Je suppose que tu as pu ouvrir une session dans l'OS «
El Capitan» installé dans le volume
SOS.
Alors voici l'étape suivante : tu télécharges l'utilitaire ☞
gdisk☜ (clique le lien rouge) de
Roderick Smith (le développeur de «
rEFInd») > ce qui te fait acquérir un paquet d'installation intitulé :
gdisk-1.0.3.pkg. Tu le double-cliques et un exécutable
gdisk va se trouver installé à l'adresse :
/usr/local/bin/gdisk (
/usr est un des répertoires invisibles graphiquement dans l'OS où se trouvent localisés des utilitaires exécutables). Tu peux désormais appeler directement
gdisk dans le «
Terminal».
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Tu lances le «
Terminal» de l'OS (que tu trouves à l'adresse :
Applications >
Utilitaires > «
Terminal.app»). Dans sa fenêtre > tu appelles
gdisk à destination de la table de partition de ton disque interne qui est nécessairement
disk0 par la commande :
--> après validation > une demande de
password s'affiche (commande
sudo pour passer en droits
root - car tu n'es plus
-bash-3.2#, càd. un avatar de
root ici > tu es
kasual$ : un simple admin, qui doit élever ses privilèges en s'authentifiant pour pouvoir adresser la table de partition
GPT du disque) --> tape ton mot-de-passe de session admin à l'aveugle - aucun caractère ne se montrant à la frappe - et valide de nouveau.
Tu devrais obtenir l'affichage suivant :
Bloc de code:
Warning: Devices opened with shared lock will not have their
partition table automatically reloaded!
Partition table scan:
MBR: protective
BSD: not present
APM: not present
GPT: present
Found valid GPT with protective MBR; using GPT.
Command (? for help):
la dernière ligne
Command (? for help): étant l'invite de commande du menu "
Main" (principal) de
gdisk. Il s'agit d'une interface interactive avec
gdisk > où tu vas pouvoir saisir des commandes adressées à ce programme et consistant en la saisie de simples lettres suivie d'une validation avec la touche "
Entrée" (↩︎) --> ce qui suscite chaque fois un retour d'affichage de
gdisk.
Saisis la commande :
(changer le
type d'une partition) et ↩︎ --> tu obtiens le retour :
te demandant de choisir un numéro de rang de partition comme cible.
Saisis la commande :
(choix de la partition n°
2 du disque - celle qui est corrompue) et ↩︎ --> tu obtiens le retour :
Bloc de code:
Current type is 'xxxxxxxxxxxxx'
Hex code or GUID (L to show codes, Enter = AF00):
- où je ne ne peux pas anticiper ce que le programme
gdisk va détecter comme
type (ou non type) logique actuel de ta partition --> quoi qu'il en soit > tu es invité à saisir un
code désignant le nouveau
type que tu veux voir inscrit dans la table
GPT pour cette partition n°
2.
Saisis la commande :
(
Apple_Filesystem_00 --> il s'agit de deux zéros) et ↩︎ --> tu obtiens le retour :
Bloc de code:
Changed type of partition to 'Apple HFS/HFS+'
Command (? for help):
--> malgré la déclaration : "
type de partition changé à "Apple_HFS/HFS+" > il faut bien comprendre que ce changement n'a été effectué que dans un
cache du programme
gdisk > et que la table
GPT n'a pour l'instant pas le moins du monde été sur-écrite. Le
Command (? for help): est le ré-affichage de l'invite de commande principale.
Saisis la commande :
(
write : écrire le
cache à la table de partition
GPT) et ↩︎ --> tu obtiens le retour :
Bloc de code:
Final checks complete. About to write GPT data. THIS WILL OVERWRITE EXISTING PARTITIONS!!
Do you want to proceed? (Y/N):
--> l'alerte préliminaire dit que : la vérification finale a été accomplie. Le programme
gdisk est sur le point d'
écrire à la table de partition
GPT. Cet acte d'écriture va éditer l'inscription dans la table de partitions existantes. Cette alerte est classique : elle est l'annonce de la totale supériorité logique du programme
gdisk sur le programme standard
gpt > en ce que
gdisk est capable d'ouvrir la table de partition
GPT d'un disque en mode "
live" > alors que des volumes se trouvent actuellement
montés, voire démarrés, sur des partitions de ce disque. Bien qu'on se trouve dans le cas d'une «
Resource busy » (ressource occupée) > cet état de choses ne bloque pas
gdisk qui va pouvoir doubler le
kernel (le noyau du Système «
El Capitan» démarré) qui charge actuellement les partitions de la table
GPT du disque > pour écrire au fichier original de l'en-tête du disque.
Donc en réponse à la demande interactive :
Do you want to proceed? (Y/N): (voulez-vous exécutez l'action ?) -->
Saisis la commande :
(
yes) et ↩︎ --> tu obtiens le retour :
Bloc de code:
OK; writing new GUID partition table (GPT) to /dev/disk0.
Warning: Devices opened with shared lock will not have their partition table automatically reloaded!
Warning: The kernel may continue to use old or deleted partitions.
You should reboot or remove the drive.
The operation has completed successfully.
Cette annonce classique de
gdisk déclare exécutée l'édition de la table de partition
GPT active du
disk0. Les avertissements qui suivent reflètent la puissance opératoire de
gdisk : le programme a été capable de modifier les écritures originales de la table de partition
GPT de l'en-tête du disque > sans que le
kernel s'en soit aperçu le moins du monde > car le
kernel charge les partitions d'une table de partition dans l'équivalent d'une «
mémoire-cache », ce qui fait qu'il est possible à un programme puissant de modifier les inscriptions des partitions dans la table originale sans que le chargement des partitions dans le
cache de
kernel soit le moins du monde affecté.
L'invite de commande normale du «
Terminal» (du style :
kasual$) est restituée, montrant que le programme
gdisk a coupé. Il arrive, lorsque l'action d'écriture de
gdisk est une rectification du
type d'une partition (changement du code) > et que ce changement de
type restaure la conformité avec le
système de fichiers existant dans le conteneur de la partition > que le volume
remonte instantanément (comme un ballon gonflé à l'hélium) sur la partition.
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Si le seul changement logique qui ait affecté la partition
disk0s2 a été une corruption de son
type de partition > sans que le
système de fichiers JHFS+ ait été du tout affecté (pas de reformatage) --> alors la
restauration du
code AF00 correct peut redonner immédiatement accès au
système de fichiers pour le service
diskarbitrationd de l'OS «
El Capitan». Si ce service (qui est un serveur permanent de l'OS) détecte un
système de fichiers JHFS+ qui passe la probation sans erreur > il y a une chance qu'il passe instantanément la tâche au
kernel de
remonter le volume correspondant sur la partition.
Si tu ne vois pas affiché sur ton Bureau de session le volume
Mactinosh HD remonté sur la partition
disk0s2 >
re-démarre une fois > en rebootant sur le volume
SOS et vérifie si le
Finder t'affiche le volume
Macintosh HD. Si ce n'est pas le cas (ou même si ça l'est) > repasse une commande :
et poste le tableau des partitions retourné.
Tu seras du moins absolument sûr d'une chose : le
code associé à la partition
disk0s2 est désormais le
bon > donc son
type est fixé adéquatement dans la table de partition
GPT comme "porte d'accès" à la lecture du
système de fichiers par le service
diskarbitrationd. Si le volume
Macintosh HD n'a pas été remonté dans la foulée > c'est qu'à partir de ton OS «
Ubuntu» tu aurais affecté le
système de fichiers JHFS+ de la partition
disk0s2 et pas seulement le
type de la partition en changeant son
code.