Macgeneration, l'essentiel du mac EN FRANÇAIS

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Rem. Dans ce dernier sens (et p.anal. avec obvier à, parer à, remédier à) l'emploi trans. indir. pallier à qqc., critiqué par les grammairiens puristes, est fréq.: Je serais parfaitement heureux, si je n'avais le coeur plein de la tristesse de Ghéon. J'ai écrit à Jean Schlumberger d'y pallier s'il se peut dans une note (Gide, Journal, 1914, p.418). On pourrait, pour pallier immédiatement aux symptômes asphyxiques, (...) pratiquer l'intubation (Bory ds Nouv. Traité Méd. fasc. 8 1925, p.288). Le tannage au fer constitue seulement un procédé de crise destiné à pallier au manque éventuel d'approvisionnement en sels chromiques (Bérard, Gobilliard, Cuirs et peaux, 1947, p.94).
 
* Romuald fout une paire de baffes le aCLR

:D

• FOUTRE, verbe trans.


Nous pouvons distinguer la forme avec les mains


C.− Vulg. [Accompagné d'un compl. prép. locatif; avec indication de mouvement] Envoyer, mettre (quelque chose, quelqu'un) quelque part; en partic. jeter brusquement, violemment. Foutre qqn à la porte; foutre en l'air, par terre. Synon. flanquer (fam.), fiche/ficher (fam.), jeter.− Voilà le dénoûment, dis-je. Brûlons! Je reste. − On me foutrait en prison, dit Antoine qui sort (Renard, Journal, 1909, p. 1225):
2. − D'abord, toi, n'en faut plus, tu es trop laid. Dans la société future, il n'y aura plus de boscos. On les fout à l'eau en naissant. Rolland, J.-Chr.,Buisson ard., 1911, p. 1306.
− [Avec un datif éthique] Foutez-moi ça au feu. Fouts-moi toutes ces canailles-là à la porte quand ils se présentent (Flaub., Corresp.,1853, p. 241).Mais il recula devant la troisième [assiettée], que le fermier voulait lui faire manger de force, en répétant : « Allons fous-toi ça dans le ventre. T'engraisseras ou tu diras pourquoi, va, mon cochon! » (Maupass., Contes et nouv.,t. 2 St-Antoine, 1883, p. 195).
− Loc. Foutre qqc. plein + compl. locatif avec ou sans prép. Mettre en grande quantité. Foutez-moi des grenades plein vos poches et en bas! (Vercel, Cap. Conan,1934, p. 243).
Emploi pronom. réfl. indir. S'en foutre plein la panse. − Les officiers ne disaient trop rien quand on chapardait? − I' s'en foutaient eux-mêmes plein la lampe, et comment! (Barbusse, Feu, 1916, p. 37).
♦ Au fig. En foutre plein la vue à qqn. Épater quelqu'un. Foutre (qqn) dedans, se foutre dedans (cf. ce mot I B 3). Foutre (qqn) sur la paille*.
− Emploi pronom. réfl. Synon. de s'envoyer, se flanquer (fam.), se fiche (fam.). Se foutre en bas d'une échelle. Ah, j'aurais donné dix francs pour être là à le surveiller quand il irait se foutre à l'eau, je l'aurais laissé faire, ah oui! (Giono, Baumugnes, 1929, p. 199).


Ou sans les mains


A.− Trivial. Posséder charnellement.
Synon. baiser (vulg.), enculer (trivial).

La femme (...) est en rut et veut être foutue. Le beau mérite! (Baudel., Cœur nu,1867, p. 643).
Je suis ce soir, au chemin de fer, à côté d'un ouvrier complètement saoul, qui répète à tout moment : « Non, je ne la foutrais pas, quand on me donnerait tout Paris... oui, tout Paris, non, je ne la foutrais pas! » (Goncourt, Journal, 1872, p. 900).
♦ Emploi abs. Faire l'amour. Synon. baiser (vulg.). Plus l'homme cultive les arts, moins il bande (...). Foutre, c'est aspirer à entrer dans un autre, et l'artiste ne sort jamais de lui-même (Baudel., Cœur nu, 1867 p. 663):
1. M. de Lameth, qui avait conservé dans un âge très avancé la puissance ithyphallique, disait que, dans sa jeunesse, il bandait tous les jours, mais ne foutait que le dimanche. Mérimée, , 1870, p. 46.
 
:hein: :D
 
Rem. Dans ce dernier sens (et p.anal. avec obvier à, parer à, remédier à) l'emploi trans. indir. pallier à qqc., critiqué par les grammairiens puristes, est fréq.: Je serais parfaitement heureux, si je n'avais le coeur plein de la tristesse de Ghéon. J'ai écrit à Jean Schlumberger d'y pallier s'il se peut dans une note (Gide, Journal, 1914, p.418). On pourrait, pour pallier immédiatement aux symptômes asphyxiques, (...) pratiquer l'intubation (Bory ds Nouv. Traité Méd. fasc. 8 1925, p.288). Le tannage au fer constitue seulement un procédé de crise destiné à pallier au manque éventuel d'approvisionnement en sels chromiques (Bérard, Gobilliard, Cuirs et peaux, 1947, p.94).

La concierge est sur le pallier.
 
Bien. Je propose maintenant de revenir au sujet (ou de laisser tomber, aussi bien ;))
 
Bien. Je propose maintenant de revenir au sujet (ou de laisser tomber, aussi bien ;))

C'est la première fois que je vois un sujet partir autant en c***.
En même temps, vu le thème, la conversation ne pouvait pas être pérenne sans en sortir.

A moins que d'autres n'aient envie signer la "pétition contre les illettrés" (voir mon premier message (page 1 du fil).
 
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Réactions: Lio70
...et mauvais joueur avec ça...crise d'adolescence?...

Le Bonsoir vous va....

???
A qui cela s'adresse-t-il?
Parce que si c'est pour ma pomme je ne vois pas le rapport avec mon commentaire.
 
Surtout ne pas fermer ce sujet. Il vit toujours. On a bien marche dessus mais il respire encore. C'est parti pour etre un cru bourgeois, voire un grand cru. Evidemment comme il a ete mis en bouteille par Tatouille, moi et quelques autres, il y a beaucoup de tanin mais... ca reste digeste et s'accomode bien d'un gibier a la broche avec une belle sauce.

Non mais c'est vrai quoi, le langage SMS c'est insupportable.

On ne pourra pas dire que je ne reste pas dans le sujet.
 
Je doute toutefois que ce fil dépasse le #50
 
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