Oui, mais c'est bien organisé parce qu'ils enlèvent des moyens partout pour que les derniers ne soient pas toujours les mêmes. Par contre on se demande s'il y a encore des premiers. 
Oui, mais c'est bien organisé parce qu'ils enlèvent des moyens partout pour que les derniers ne soient pas toujours les mêmes.
Faudrait que je remette la main sur les documents préparatoires du Comité Technique Paritaire Académique (Académie de Nantes) de décembre dernier.Ben là, ça n'est pas vraiment ce qu'ils font :siffle: Nous étions déjà les derniers, et là, ils aggravent encore notre écart avec l'avant dernier, et pas qu'un peu : l'an prochain, avec deux classes en moins et 38 élèves en plus, va falloir pousser les murs pour les classes de 5ème si on veut que des gosses ne suivent pas les cours depuis le couloir :rolleyes:
Ben quoi ? Elle avait toutes les qualités, non ?Dans mon lycée, une collège a eu une sorte de crise de folie il y a quelques années. Elle, qui n'était originellement que paranoïaque, mesquine, méprisante et méchante (elle a planté tous ses stagiaires...), est devenue aphasique à la suite d'un choc nerveux, et a dû suivre une rééducation pour réapprendre à parler. Elle n'était plus en mesure de faire cours. Résultat des courses : on l'a reconvertie dans un poste administratif à l'Inspection Académique..
Je vous trouve (je cite Cratès, mais y'a pas que toi) un peu dur avec les administratifs.Bien évidemment, il y a aussi beaucoup de gens compétents et consciencieux dans les services administratifs Mais la logique perverse du système est que les erreurs commises par les gens des bureaux sont sans conséquences pour eux tant qu'ils n'affectent que les enseignants, c'est-à-dire des personnes anonymes, lointaines, étrangères à leur univers professionnel, et sans possibilité de coercition ni même parfois de contestation.
Je vous trouve (je cite Cratès, mais y'a pas que toi) un peu dur avec les administratifs [...]
Pas totalement...La comparaison avec l'armée, qui n'est pourtant pas la plus souple des institutions, est édifiante à cet égard, parce que le va-et-vient permanent des responsables entre les missions de gestion et celles de combat, ainsi que l'expérience concrète indépassable que représente ce dernier, y ramènent régulièrement au principe de réalité.
Lorsqu'à Dien Bien Phu le Lt-colonel Piroth, commandant l'artillerie, se rend compte qu'il a totalement sous-estimé l'artillerie du Viet Minh, et que ses propres pièces sont impuissantes à la faire taire, il se suicide à la grenade. Nos propres chefs, où sont-ils lorsque nous avons un problème ?
Trop dangereux : on serait trop nombreux à être tentés de s'en servirLes grenades sont autorisées à l'EN ? :affraid:
![]()
Cratès tu parles d'or, je salue ta connaissance de l'EN (normal) mais aussi tes connaissances en Histoire de nos armées, c'est très impressionnant (sans ironie aucune de ma part). Je suis évidemment d'accord avec toi.