Tu reconnais quand meme que le snow pour la poudre c'est quand meme le must
Y'a des nioubes de partout, que voulez-vous.
:rolleyes:
Il y a vingt ans de ça, quand on s'emmerdait sur nos planches raides et longues, à plus savoir quoi trouver comme connerie pour s'amuser (mettre des vélos sur des planches, des skateboard, reprendre le stenmark, faire du monoski comme fab'fab', tout ça...) le snowboard a constitué une vraie alternative de glisse, et un avantage en neige non dammée.
Ça te foutait un bordel monstre, plus personne pouvait espérer tracer une courbe dans un champ lardé par des surfers, ces couillons n'arrêtaient pas de déglinguer les tire-culs parce qu'ils savaient pas les prendre, bref. On rigolait.
Mais ça fait quand même un bon bout de temps que le freeride est redevenu le terrain de conquête de ceux qui n'aiment pas avoir les deux pieds dans le même sabot.
Une preuve ?
Depuis l'an dernier, l'unification des différentes compétitions mondiales de freeride dans une seule, le Freeride World Tour, donne le truc suivant :
2/3 de skieurs, 1/3 de surfeurs dans les inscrits de départ, 2/3 de skieurs, 1/3 de surfeurs dans les 40 meilleurs.
La raison est simple : on va plus vite en ski, et surtout, on peut s'embarquer dans des trips qui seront beaucoup trop dangereux en surf.
En freeride, le surf n'a qu'un seul avantage : les statistiques donne le surfeur légèrement vainqueur dans la course à la survie en cas d'avalanche.
Ce n'est pas Xavier De Le Rue qui me contradira.
Bref, les surfeurs sont toujours des branleurs, rien n'a changé.