Beh en défaut, si justement. Pas noir sur blanc, mais implicitement : « Si tu avais écrit "XPress" à la place de "un logiciel" je n'aurais pas répondu. » Tu as donc estimé (à tort) que je disais qu'InDesign n'était pas capable de gérer des styles séquentiels ou des styles imbiqués. Or mon propos tenait dans ce que, même en cas de styles séquentiels ou imbriqués d'InDesign, l'utilisateur doit dire au logiciel ce qu'il doit faire. Après, que ce soit plus ou moins facile et automatisable dans tel ou tel logiciel, c'est une toute autre question. C'est ce que j'appelle un glissement.
C'est tout le problème de l'écrit face au parlé : parfois on interprète ce que l'on croit lire parce qu'on n'est pas dans la même ambiance...
D'ailleurs les discussions les plus riches sont entre ceux qui partagent le même avis ou presque, ceux qui sont vraiment en opposition n'ont généralement pas grand-chose à se dire.
Par contre, moi les glissements je suis plutôt pour : c'est ce qui fait la richesse des forums, regarde par exemple le sujet Saturation des noirs... (taux d'encrage trop élevé), c'est un vrai poème.